Le royal trône

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 Je vais vous raconter une histoire bien réelle, celle d’un bel homme du nom de Louis-Philippe. C'était un français à l'allure d'un roi, aux manières d'un roi, qui aimait les belles jeunes filles à l'allure de princesse, aux manières de princesse et qui aimaient leurs parures de princesse.

 Un jour qu'il rentrait dans son humble demeure, il confia sa cape bleu marine à son fidèle huissier avant d'entrer à sa royale manière dans la salle du trône, oubliant son habitude qui était de s'humecter au préalable dans un bain purificateur impérial !

 Il caressa extrêmement tendrement et extrêmement légèrement le dossier de son trône, tellement légèrement qu'on aurait dit que le dossier se serait désintégré si Louis-Philippe ne l'avait caressé qu'avec seulement quelques Newton en plus ! Et si tendrement qu'on aurait dit une mère avec son bébé panda. Les rayons de soleil vinrent se refléter alors sur l'assise du trône et caressèrent chaleureusement les joues de Louis-Philippe. C'était comme si le trône répondait aux tendres gestes affectueux de ce dernier.

Puis Louis-Philippe posa comme à sa royale manière, de la façon la plus tendre et la plus noble qu'il soit, son beau postérieur sur l'assise rayonnante du trône. Il ressentait que le trône était en totale symbiose avec lui. Il pouvait sentir les fluides s'écoulant le long des membres et à l'intérieur de l'intégralité du corps de son trône. Il était dans un état de symbiose et de jouissance tel qu'on aurait dit qu'une vierge venait de dépuceler le jeune homme !

Il se décida ensuite à ouvrir ses chakras et extériorisa tout ce qu'il avait retenu en son fort intérieur pendant des heures et des heures durant. C'était pour lui une libération divine qu'il lui avait parut attendre toute une vie !

Et s'attristant de devoir quitter son royal trône pour quelques affaires plus urgentes, il utilisa un mouchoir d'une teinte blanche, comme la divine couleur des mythiques robes des légendaires anges comme dans ces histoires que l'on raconte aux jeunes garçons et aux jeunes filles de bas âges, pour essuyer les petites gouttes qui coulaient le long de sa tendre peau.

 Enfin il se releva aussi tendrement et aussi noblement que lorsqu'il s'assit et l'on pu entendre le trône pleurer le départ de son bon seigneur.

 A ce moment, comme ces moments dans les contes où le héros pleure la mort de son meilleur ami, sa plus jeune sœur, Elizabeth, avec ces bonnes manières de princesse, rentra dans cette noble et royale demeure. Ne pouvant entrer dans la royale salle du trône, la jeune femme l’appella alors à travers la porte :

« Mon très cher frère, je vous prie, s'il-vous-plaît, de me laisser la place pour évacuer mes quelques flatulences de dinosaure !!! »

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