Chapitre 25 - Mickaël
Bon ok j’ai couché avec, je l’ai dépucelée mais ça s’arrête là.
T’as envie de plus.
Ferme là, je me mets pas en couple, je ne peux pas.
Quand on veut on peut.
Ta gueule ! Avoir une meuf dans les affaires c’est prendre le risque de ne plus être aussi efficace et en plus on peut faire pression sur toi. Je ne veux pas mêler Marielle à ça.
Oh donc tu la protèges.
Ma conscience ne veut vraiment pas la fermer !
Et non car tu sais que j’ai raison, tu veux du sérieux avec elle.
Non et je te le prouverai ce soir. Je vais baiser chaque meuf qui viendra se frotter à moi !
Curieuse de voir ça tiens.
Je chasse ma conscience d’un revers de main et referme les boutons de ma chemise puis glisse quelques capotes dans la poche arrière de mon jean. Un peu de déo et du parfum, me voilà prêt pour la soirée. Bon j’espère que cette boite ne sera pas trop pourrave et qu’il y aura plein de meufs. Lorsque je descends, Jack est déjà prêt et s’impatiente.
- Putain mais pourquoi faire une sortie avec des meufs !!! 3 plombes pour se préparer !!!
Elles sont parties en fin de journée s’acheter des fringues et sont rentrées à 20h, on a mangé vite fait et elles sont montées se préparer alors qu’on buvait notre café. Il est 23h30 et elles ne sont toujours pas sorties. On a eu du bol de prendre notre douche avant qu’elles rentrent sinon à coup sûr on aurait été dégagés de la salle de bain. Voilà aussi pourquoi je n’aurais jamais de meuf à moi.
- Putain Julie dépêche !!! Crie Jack
- C’est bon on arrive !!!
- Ça fait 2 plombes que tu dis ça !!!
- Ça va, on ne va pas aller en boite à 21h00 non plus !
- Il est presque minuit, dépêche !!! Putain cette meuf jamais je la marierai, laisse tomber il lui faudrait 3 jours pour mettre sa robe.
Je me marre, ce con est déjà en train de parler mariage. Sa blonde arrive et descend en ronchonnant mais j’avoue que ça valait le coup de la laisser se préparer la reine des neiges. Elle porte une robe rouge pétant, fendue le long de sa cuisse qui laisse entrevoir ses bas résilles. Ses escarpins sont des échasses et ses longs cheveux blonds sont lissés et paraissent plus longs.
- Arrête de mater ma meuf toi, me lance mon pote sous le charme.
- Je fais marcher ma vue, et elle fonctionne plutôt bien si j’en crois au rouge de sa robe, dis-je en la déshabillant du regard.
- Je ne suis pas un morceau de viande Parker, me crache t’elle.
- Pour moi si.
- Connard.
Je ricane comme un con et elle me fait un doigt d’honneur. Lorsque Marielle apparaît, là c’est un putain de choc par contre. Elle porte une robe noire, avec un foutu décolleté, ses manches ou bretelles j’en sais rien lui tombe sur le haut de ses bras, laissant ses épaules découvertes. Ça c’est grave sexy ! La robe arrive à mi-cuisse et vu la peau brillante, je pense qu’elle a mis un collant. Ses pieds sont cachés dans des bottines avec un talon aiguille. Je ne savais même pas qu’elle savait marcher avec ça. Lorsque je la regarde elle me sourit. Elle a laissé ses cheveux lâchés et je l’en remercie car c’est un crime de mettre un élastique dans des cheveux. Son maquillage est plus soutenu mais pas outrageant non plus, le bon dosage pour faire bander.
- T’es…magnifique.
Alors tu abandonnes l’idée de baiser avec toutes les filles que tu vas croiser ? Crie ma conscience
Non hors de question que je renonce à mon projet, je vais baiser tout et n’importe quoi ce soir, il le faut.
Tu veux te prouver quoi ? Que tu t’en fous d’elle ? C’est trop tard, t’es accro à elle comme à de la came.
Non tu verras qu’elle ne compte pas plus que ça. Lorsqu’elle passe devant moi, ses cheveux caressent son cul et j’ai envie de me branler avec.
Fétichiste !
Ta gueule.
On arrive dans la boite de nuit et franchement je n’aurais pas pensé qu’elle soit si bien. Y a un bar avec 3 barmans dont une fille qui me sourit déjà. On s’installe à une table et on commande tous un verre. La piste est blindée de monde, dansant sur David Guetta. Aux 4 coins de la piste, y a des podiums où l’on peut danser. Le DJ chauffe la salle et les filles bougent sur la banquette au rythme de la musique. J’ai trop hâte de la voir danser mais pour le moment, elles restent observatrices.
- Bon ce n’est pas tout ça mais moi je bouge un peu. Dis-je pour aller discuter un peu au bar.
Je discute un peu avec la demoiselle qui va terminer son service d’ici 2h, histoire de la ferrer.
- Bonsoir. Me lance une voix féminine.
- Salut. Dis-je en regardant la bombe superficielle qui vient s’installer à coté de moi.
- Tu m’offres un verre ? Me demande-t-elle
Bah voyons !
- Si tu me laisses te baiser, c’est possible, dis-je sans la regarder.
- T’es direct toi on peut dire.
- J’ai passé l’âge de tourner autour du pot. Alors tu le veux ton verre ?
- Un Martini stp.
Trop facile.
- Un Martini pour la dame et un Morito pour moi beauté.
Je mate ma voisine et putain vu ses seins, tu oublies la branlette au risque de finir la gueule recouverte de silicone. Rien à voir avec les seins naturels de Marielle, ses seins sont doux, lourds, sensibles ou que là…
Tiens tu penses à Marielle. T’as pas dis vouloir baiser toi ?
Si et j’y vais de ce pas.
- Viens avec moi. Dis-je à la blonde pour l’emmener aux chiottes.
Tu verras le fast-food ça n’a pas la même saveur que le gastronomique.
Rien à foutre, faut que je bouffe.
T’as Marielle juste à coté qui attend que ça pour info.
Ta gueule. Je ne vais certainement pas baiser Marielle dans des chiottes dégueulasses, ça va pas bien toi !
Oh donc Marielle est privilégiée. Intéressant.
Putain mais ferme là ! Je ne vais jamais réussir à bander !
Pense à Marielle.
Je n’ai pas envie de lui rouler une pelle à la bimbo, ses lèvres feraient ventouses, dégueulasse. Je la retourne et lui lève sa robe moulante. Sans surprise, elle porte un string ficelle que j’arrache. Elle sursaute mais n’a pas le temps de dire quoi que se soit que la capote rentre en elle. Putain mais cette meuf est un hall de gare. J’ai plus vraiment l’habitude des expérimentées.
Tu repenses à elle.
Ouais comment ne pas penser à elle. Bref je reviens à la blonde qui gémit. Je lui attrape sa tignasse pour être plus bestiale et me vide dans le plastique.
- Y aurait moyen de passer la nuit ensemble ? Me demande-t-elle en rebaissant sa robe.
- Non. Bonne soirée.
Je me casse et retrouve le bar.
- J’ai fini mon service.
- Nikel, j’ai fini de niquer ta cliente.
Elle lève les yeux au ciel et m’emmène dehors pour fumer. On discute un peu mais très vite elle devient entreprenante avec ma queue.
- T’as ce qu’il faut ? Me demande-t-elle essoufflée par la pipe qu’elle m’offre dans un coin.
- Ouais, tourne-toi.
Impossible de la mater en train de prendre ma queue.
Et oui c’est dur de voir le regard d’une autre hein.
Je veux juste son trou du cul, j’ai eu de la chatte, de la bouche mais là j’ai envie d’un cul et ça tombe sur elle.
Ouhhh mais quelle chanceuse dis donc.
Ma conscience se fout de ma gueule mais elle n’a pas tort, elle a de la chance je suis d’humeur généreuse.
- Euh…tu fais quoi…
- Me dis pas que tu n’aimes pas qu’on t’encule. Dis-je en mettant ma capote.
- Si mais là comme ça…
- Impeccable, dis-je en m’enfonçant dans son cul.
- Aie !
- Désolé je n’ai pas le temps pour la tendresse.
Là t’es un vrai connard.
- Et moi je n’ai pas le temps pour les cons ! Crache-t-elle en me dégageant.
Je la regarde s’éloigner en boitant jusqu’à sa voiture. Tant pis pour elle. Je retourne à l’intérieur et je vois une rousse siroter son cocktail. Elle est plutôt pas mal et y a peut être moyen. Je tente une approche et elle ne me dégage pas. Quelques discussions, des sourires, des regards et la voilà prête. Je la chauffe en dansant contre elle, l’embrasse et mon regard se pose sur Marielle qui m’observe. C’est quoi ce regard putain ! C’est insupportable ! Bordel mais qu’est ce que je suis en train de faire !
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