Chapitre 27 - Mickaël
Elle ne compte pas !!!
Tu te mens à toi-même là
Ferme là !!!
Tu sais que j’ai raison
J’ignore ma conscience et rentre dans la salle de bain alors qu’elle est sous la douche. Avec l’eau elle ne doit pas m’entendre et tant mieux, au moins elle ne me demandera pas de partir. J’ai besoin de me laver, pas d’elle mais des 3 autres. C’est moi la pute ce soir et j’ai rejeté ma propre faute sur elle comme un lâche.
Oh c’est bien tu évolues.
Lorsque mon corps se colle au sien, elle sursaute.
- Laisse-moi Mick’.
- Suce-moi.
Toujours dans la finesse toi.
Mes mots manquent de la faire s’étouffer mais là j’ai besoin d’une bonne pipe pour avoir sa marque à elle et pas de l’autre salope qui m’a pompé.
Ouais enfin y a plus subtile comme demande.
Elle ne dit rien et continue de se laver. Je m’attendais à un non ou un rire moqueur mais j’ai le droit au silence. C’est pire.
- Bébé, stp…suce-moi.
SUBTILITÉ !!!!
- T’es grave Mick’ tu sais.
Ah bah ce n’est pas moi qui dirai le contraire.
- Stp…j’ai besoin de sentir ta bouche glisser sur ma queue.
Ah voilà, c’est mieux.
- Demande à tes…
Je pose ma main sur sa bouche, collant son cul contre ma bite. Je sais ce qu’elle allait dire mais je ne veux plus y penser.
T’as honte. Tu t’en veux et ça c’est bien fait pour ta gueule ! Je t’avais prévenu, tu ne m’as pas écouté !
Ma queue s’impatiente et cogne doucement la peau de son cul. Je retire ma main et elle se retourne vers moi.
- Je besoin que tu reprennes possession de mon corps bébé, je me sens sale ce soir. Stp Marie…
Ça c’est bien !!! Communication et séduction, t’es sur la bonne voie.
Je sais que je ne mérite pas une pipe mais là c’est presque vital.
Ouais facile ça.
- Je…Je n’ai jamais…enfin j’ai jamais fais ça Mick’.
Putain même pas elle me jette ! Si je pouvais sauter partout je le ferai.
Tu vois, fallait juste savoir lui parler.
Je caresse sa joue et l’embrasse délicatement. On est a des années lumières de ce qu’il s’est passé à l’étage d’en bas. Là c’est un baiser tendre, un baiser qui me file des frissons un peu partout.
- Alors fais le avec moi bébé.
Ses pupilles se dilatent comme si elle venait de prendre un shoot. Elle regarde ma queue et se mord la lèvre. Ok, donc la position à genoux et moi debout à l’air de l’ennuyer, c’est peut être trop pour elle. Je me laisse glisser par terre et l’emmène avec moi. La distance ce fait plus courte et elle descend doucement vers ma bite. Putain je vais crever si elle ne me suce pas maintenant. Elle dépose un baiser sur mon gland qui perle et sort sa langue pour me gouter. Elle est hésitante et son innocence vibre en moi. A genoux au dessus de ma queue, elle l’enfonce doucement dans sa bouche. Jouis pas putain, jouis pas !!! Dis-je à ma queue qui s’emballe.
Puceau
Ta gueule, tu ne sais pas ce que c’est de te faire sucer par elle.
Techniquement si, je suis ta conscience.
Boucle là !
La bouche de ma belle brune monte et descend et j’ai l’impression que mon sperme suis le mouvement.
- C’est parfait bébé.
On ne s’est jamais aussi bien appliqué pour me sucer et mon cœur se tape un marathon à chaque mouvement. Sa langue s’enroule autour de ma queue qu’elle suce désormais comme un Mister Freeze. Ma queue veut bander plus fort mais elle ne peut pas. Sa langue remonte lentement le long et mon bassin se contracte, ma bite est sur le point de chialer ! Elle continue, accélère et j’explose dans sa bouche. Tout mon corps se met à trembler alors qu’elle continue à me sucer.
- Marie putain !!! Putain !!! Ohhhh bébé, ouiiii vas-y continue !!!!
Ma queue regonfle dans sa bouche aussi vite qu’elle s’est vidée et elle continue à me baiser la bite avec sa belle bouche. Mon cœur tape si fort dans ma poitrine que j’ai l’impression que je vais crever. Je ne suis que tremblements, j’ai plus de force mais elle me suce si bien que je finis par jouir dans une lenteur extrême. C’est doux, c’est calme à un point que ça me bouleverse. Je la regarde se mordre la lèvre gênée alors qu’elle vient de m’offrir la plus belle pipe de toute ma vie.
- T’as été géniale.
- Ravie que ça t’ai plu.
- Je suis désolé bébé pour ce soir, j’ai déconné.
- Merci. Dit-elle comme si elle attendait que ça.
J’ai du mal à me lever tellement elle m’a vidé de mes forces. Je me traîne jusqu’au lit et m’endors si vite que je n’ai même pas fumé ma clope.
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