Chapitre 33 - Mickaël
Cette fille me rend dingue à ne pas vouloir se sortir de ma tête. Impossible de ne pas me branler sans penser à elle. Mais là sa petite jupe écossaise et ses chaussettes mi cuisse, elle veut juste ma mort. Son abruti de mec ne la lâche pas, le bras autour de sa taille, quelques baisers, putain elle doit vraiment se faire chier avec un tel blaireau.
Rageux
Ta gueule. Regarde-là putain, elle sent la chatte à des bornes, elle est faite pour baiser avec moi pas avec ce crétin.
Fallait pas la laisser partir.
Je sais ! Putain qu’elle est belle, ça me rend dingue de la voir avec un autre. Elle a intérêt de tenir sa promesse ou je m’enfilerai de la merde dans les veines jusqu’à les faire éclater.
Et tu mourras, super idée dis donc, t’en as encore beaucoup des comme ça ?
- Tu sais qu’à force de la mater, tu vas redevenir aveugle mon pote. Me charrie Jack.
- Alors la pêche aux infos ça donne quoi ?
- Il lui a proposé de faire un test pour plus mettre de capote mais elle a refusé. Elle aurait, selon Julie, l’impression de te tromper.
- Parfait. Et pour le reste de la promesse ?
- Elle la respecte à la perfection.
Je regarde Jack satisfait et lui se marre de me voir si...
Jaloux ?
Non, si pointilleux avec les engagements.
Ouais jaloux quoi.
Putain mais ferme là toi !
J’ai raiiiiiii…sonnnnnn
Je regrette le temps où jte faisais fermer ta gueule avec ma came.
Arrête de penser à ça.
- Elle t’a dans la peau mon pote. Me dit Jack qui me sort de ma grande conversation avec ma conscience qui ne sait pas fermer sa grande gueule.
En attendant elle est avec un autre.
Rien à foutre de son mec, œil pour œil, dent pour dent et bientôt il en aura plus s’il continue à la peloter.
C’est son mec, normal qu’il la touche. Tu ferais pareil à sa place.
Non à sa place je la baiserai direct.
Mais t’es pas à sa place alors débande car ça fait désordre là.
Faut que je baise.
- Viens avec moi. Dis-je à une fille auquel j’ai oublié son nom mais que j’ai déjà baisé et qui réclame que ça.
Elle ne dit pas non et retire vite sa petite culotte pour m’offrir sa chatte. Les murs tremblent sous mes coups de reins, faisant rire les pisseuses qui se remaquillent. On sort et je laisse la demoiselle à son miroir. J’entre en cours et vais me poser de manière à pouvoir mater Anna qui est vraiment canon aujourd’hui. Rien à foutre qu’elle soit maquée avec tête de flan, je la dessape des yeux comme un gros pervers. Faut que j’arrive aussi à la coincer pour lui offrir son petit cadeau de Noel que je lui ai préparé.
- Bien reprenons notre thème de l’amour. Dit Zacaro
Putain il va encore nous faire son lover, génial. Il nous rappelle les devoirs qu’on va devoir faire pendant les vacances de Noël. Bordel je vais devoir me passer d’elle 15 jours. Ça fait chier !
C’est les vacances, ça sera ça à chaque vacances, faut t’y faire.
Pitié ferme là. L’idée de devoir subir ça tout le long de l’année me fout mal au bide.
Et c’est Zacaro le lover…
Ta gueule. Putain regarde-moi ces cheveux, ils sont magnifiques. Impossible de me concentrer, son corps, sa jupe, sa voix lorsqu’elle prend la parole me tourmente. Est-ce qu’elle a mis une culotte ou l’a t’elle joué réglo avec sa jupe écossaise ? Faut que je sache !
Mauvaise idée.
Alors qu’on sort de cours, je l’attrape par le bras et la fait rentrer dans la chaufferie. Il fait une chaleur à crever mais de toute façon j’ai chaud dès que je la vois.
- Putain c’est quoi ton problème encore ! Crache-t-elle agressivement.
- Ta jupe.
Elle regarde sa jupe puis me regarde sans comprendre.
- T’as une culotte en dessous ?
- Putain mais t’es taré Mick’, vraiment ! Dit-elle en voulant se barrer.
- Dis-moi sinon je viens vérifier par moi-même. Dis-je en lui bloquant le passage.
- T’as pas intérêt ! Oui j’ai une culotte. Maintenant laisse-moi passer !
- Petite joueuse.
- Va te faire foutre !
Alors qu’elle tente de sortir, je la retiens. Je pose ma main contre sa joue.
- Mick’ stp. Dit-elle en frissonnant.
- Pourquoi tu trembles bébé ?
- M’appelle pas comme ça. Je suis avec Brian, Mick’.
- Ouais et alors ?
- On ne peut pas faire ça.
On ? Elle se voit déjà en train de baiser avec moi !!!
- Mais j’ai rien fais Marielle.
J’avance doucement pour la faire reculer jusqu’à ce que son dos se colle à la cage qui nous sépare de la chaudière. Je pose mes mains de chaque coté d’elle et la voilà désormais bloquée contre moi et la seule chose qu’elle trouve à me dire pour se sauver de là c’est qu’il est amoureux d’elle. Mais qu’est ce que je m’en cogne !
- Mick’ stp arrête.
- Mais je ne fais rien. Dis-je en la regardant.
J’approche doucement mes lèvres d’elle et elle me supplie de ne pas faire ça mais ne bouge pas.
- Si je pose mes lèvres sur toi, tu sais ce qu’il va arriver ? Tu vas écarter tes cuisses me laisser rentrer en toi jusqu’à ne plus pouvoir. Tu jouiras comme une dingue, me demandant surement de t’enculer fort après pour m’avoir entièrement en toi, parce que t’adore ça sentir ma queue te limer le cul. Tes principes voleront en éclat en même temps que tes orgasmes exploseront en toi. Et c’est pleine de sperme que tu iras le rejoindre, honteuse et salie.
Ses larmes se forment, alors j’attrape doucement ses cheveux et tire. Ses lèvres sont qu’à quelques centimètres des miennes.
- Mick’…
- Oui bébé tu vas sentir mes lèvres. Dis-je en tirant encore jusqu’à lui tendre le cou à son maximum.
Mes lèvres frôlent les siennes et se posent le long de son cou jusqu’à remonter à son oreille et je lui ressors la phrase des cours de Zacaro
- Être amoureux n’est pas nécessairement aimer. Être amoureux est un état ; aimer, un acte. On subit un état, mais on décide un acte.
On dirait qu’elle ne respire même plus. Je continue.
- Je vais te mettre dans tout tes états car j’ai décidé de ne plus te lâcher. Tu vas subir bébé je t’en fais la promesse. Je vais te tourmenter comme tu me tourmentes.
- Mick’ laisse-moi tranquille.
- En as-tu vraiment envie ?
Ma phrase est à double sens et elle n’ose pas répondre de peur d’être à coté. Je lèche les larmes qui roulent sur sa joue puis lui pose un baiser sur sa pommette.
- Mick’…
- Oui bébé ?
- Laisse-moi partir.
Je relâche ma prise et c’est le moment de lui offrir son cadeau avant qu’elle ne s’échappe.
- D’accord mais avant j’ai ça pour toi. Cadeau de Noël. Dis-je en lui donnant la boite
Elle bug devant la boite puis la prend.
- Mais…fallait pas Mick’…
- On ne va pas se voir pendant les vacances alors je te la file maintenant vu que c’est le dernier jour de cours.
- Ouais je sais. Dit-elle d’un air déçu.
C’est pour toi ça
Un peu ouais ! L’autre abruti comble que dalle en fait. Même pas le vide que je lui laisse.
- Ouvre ton cadeau stp. Dis-je sachant que c’est une fille bien élevée et qui ne me fera pas l’affront de refuser mon cadeau.
Elle l’ouvre et je l’observe. Ses yeux passent du cadeau à moi.
- C’est quoi ? Me demande-t-elle.
- Tourne-toi, je vais te montrer.
- Non !
Je ricane car je sais d’avance qu’elle ne pourra pas me dire non longtemps.
- Allons bébé sois sage et obéis moi. Dis-je en la tournant pour la poser contre la grille seins plaqués contre, tenant ses poignets bras tendus d’une seule main. C’est plus excitant de ne pas voir ce qu’il va arriver.
- Mick’ !!!
- C’est presque trop facile, j’aurais pensé que tu serais plus rebelle.
Je respire son parfum et pose encore une série de baiser dans son cou et la voilà gémissante. Ouais vraiment trop facile.
Ce n’est pas du jeu, tu sais que c’est la faiblesse des femmes ça.
Ouais.
- Pourquoi tu fais ça ?
- Fallait trouver une solution vu qu’il n’est pas foutu de te faire jouir.
- Tu sais rien de ma relation Mick’ !!!
- Oh si je sais.
Jack m’a balancé les confidences qu’elle a faite à Julie, elle n’a jamais réussi à jouir avec son mec. Et elle est à cran. Voilà de quoi m’aider dans mon choix de cadeau. Je le glisse dans sa culotte et elle se débat. Enfin un peu d’action.
- Non Mick’ !!!
- Oh si bébé, c’est là que ça va. Profite. Dis-je en appuyant sur le bouton.
Elle se tend d’un coup et me balance son cul contre moi tentant d’échapper à son cadeau.
- Tu n’as rien à faire, juste le laisser bosser. Dis-je à son oreille.
Ses doigts se crispent sur la cage et elle se cambre sous l’effet du sextoy qui lui pompe son clito tout en vibrant.
- Oui bébé laisse toi aller. Laisse le te pomper comme moi je le faisais, rappelle toi comment jte suçais, comment je te faisais bander. T’adorais tellement ça.
Sa culotte se trempe de plaisir et ses jambes se mettent à trembler dans un merveilleux gémissement de plaisir. Elle contre moi, moi contre elle, je sors ma queue et enroule ses cheveux autour.
- Mick’ non !!!
J’appuie sur le bouton et augmente la puissance pour la faire taire.
Doucement elle n’est pas habituée !
Je ne peux pas !!! J’aime trop l’entendre !!!
Il me faut peu de temps pour jouir dans ses cheveux et elle pour s’effondrer par terre par son orgasme. Je la regarde essoufflée se tenant la chatte surement douloureuse par la succion excessive.
- Ça te change de psycho hein.
Elle me regarde furieuse mais ne me répond pas.
Tu veux qu’elle te dise quoi ? Allez laisse là tranquille.
- Joyeux Noël Anna et passe de bonnes vacances.
Je lui souris fier de mon coups et me barre rejoindre mes potes là laissant sur place prendre conscience de ce qu’elle vient de faire, de ce qu’elle a ressenti avec moi, de ce qu’elle ne ressentira jamais avec son mec.
- Alors quoi de prévu pour Noël ? Me demande un des gars
- Repas de famille à la con.
Bien que je ne vive plus chez mes parents et crèche dans un hôtel, pour Noël j’ai décidé de faire un effort et d’aller au repas de famille que ma mère a préparé. D’habitude je passe le repas de Noël en planant mais là c’est clean que je vais devoir me taper les niaiseries. Sauf que j’avais oublié un élément important, mon père. Alors qu’on est tous autour de la table le jour J, la dinde crevée au milieu, il débarque avec son sac. Oh bah tiens, il a daigné venir cette fois ci. Lorsqu’il me voit, son regard se durcit. J’ai eu beau failli crever, il n’a toujours pas digéré notre dernière dispute.
- Qu’est ce que tu fous là toi ! Me lâche-t-il avant même de dire bonsoir aux autres membres de ma famille.
- Oh Georges, c’est Noël. Dit ma mère
- Soit il se casse, soit je repars, jte préviens !
Je me lève et prend mon blouson. Je ne veux pas que ma mère soit privée de son mari, elle n’a pas besoin d’une absence de plus. Alors je prends ma bagnole et me casse à mon hôtel. J’en ai ras le cul de cette merde de vie ! Ras le cul de mes parents, de Marielle et son mec, de moi et mes putains de problèmes !!!
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