Chapitre 39 - Mickaël
J’en étais sur qu’elle allait venir. Ma petite menace a fait le job.
D’ailleurs c’est minable
Je sais mais je suis capable du pire pour l’avoir près de moi.
Et après tu ne crois pas en l’amour.
Ta gueule.
J’ai raison
T’as tord !
En attendant tu peux faire une croix sur ton week-end sexe avec elle.
Elle craquera, question de temps et de savoir faire.
J’ai un sale pressentiment, elle n’est pas comme d’habitude.
Ouais elle veut résister, elle doit avoir des remords par rapport à son mec mais c’est peine perdue, je vais la baiser tout le week-end. Elle va vite l’oublier tête de gland.
Pour mieux retourner auprès de lui dès lundi.
Tu ne veux pas fermer ta gueule au moins pour ce week-end ?
Non.
Je comprends mieux pourquoi on dit UNE conscience, t’es chiante.
Sexiste.
Connasse.
Tu t’insultes tout seul pour info. Tu comptes sortir de la salle de bain un jour ou pas ?
Si t’arrêtais de me parler, je pourrais me branler tranquille !
Réduit à la branlette le jour de ses 21 ans c’est quand même triste.
Mes 21 ans sont demain et je vais la baiser avant.
L’espoir fait vivre, tu vas vivre vieux. Félicitations.
Ok, c’est bon t’as gagné, je vais le faire mais pitié arrête.
Promis ?
Oui mais à la fin du week-end et rien ne dit qu’elle acceptera.
Qui ne tente rien n’a rien. Allez jte laisse tranquille. T’as des invités qui t’attendent alors fais vite.
Merci.
Je finis enfin ma branlette et peux aller rejoindre mes invités. Lorsque j’arrive dans la pièce ses yeux me bouffent comme si elle n’avait pas manger depuis des mois. Bordel !!! Mais pourquoi elle me mate comme ça !!! Elle veut que je jouisse dans mon fut où quoi !!! Heureusement elle se retourne pour parler avec Julie. Enfin heureusement…pas vraiment car l’envers vaut l’avant. Putain ce cul quand même, cette cambrure qui cache une souplesse que personne ne peut soupçonner.
- T’as de la salive au coin de la bouche. Me lance Jack qui me voit reluquer celle qui a un putain de boul.
Mais quand je dis putain de boul, c’est un putain de boul. Bombé, ferme, doux, putain je kiffe son cul, me frotter contre, ses cheveux enroulés autour de ma queue…
Fétichiste
Ouais et j’assume, je kiffe ses cheveux. Surtout quand ils caressent son cul. Putain elle est trop bonne quand même. Elle se retourne et m’envoie un foutu sourire et elle se mord la lèvre discrètement mais elle cherche quoi là !
- C’est moi où elle t’allume ? Me demande Jack
- Elle m’allume. Je vais la niquer si elle n’arrête pas.
- Parce que tu ne comptais pas te la faire même sans ça ?
- Si.
Il éclate de rire. Elle m’énerve, elle n’arrête pas de m’envoyer des petits regards, des sourires, elle roule des hanches lorsqu’elle bouge et j’en ai ras le bol de bander comme un clebs. Jack revient vers moi et me fait signe de venir au calme.
- Bon j’ai entendu les filles parler, il se trame un truc mec. Me dit-il
- Explique.
- J’ai pas tout saisi mais Marie demandait à Julie à quelle heure elle commençait.
- Commencer quoi ?
- J’en sais rien moi ! Mais elles doivent se préparer ou un truc dans le genre.
- Se préparer ? Putain mais c’est quoi ce bordel.
- J’en sais rien mais y a un complot de meuf là. Ca doit être pour ton anniversaire je suppose.
Je suis pas hyper fan des surprises, disons que je n’ai pas l’habitude mais j’avoue que ça me touche qu’elle ait pensé à me faire une surprise pour mon anniversaire. Mais j’ai quand même un doute, Marie n’arrête pas de me chauffer, c’est vraiment zarb’. Voyons ce qu’elle m’a préparé mais j’espère qu’elle ne va pas me faire un coup de pute, sinon elle va prendre cher. Je n’aime pas qu’on me tape l’affiche et là y a plus d’une vingtaine de potes à moi.
- Il est où le roi de la soirée !!!!! Gueule un des gars.
- Il est là !!!! Crie tout le monde en me pointant du doigt.
J’avoue que ça me fait bien kiffer. On m’offre une coupe de champagne et nous trinquons tous, j’envois un petit sourire à Anna qui ne me lâche pas du regard. Vas-y ma belle, crache le morceau putain, qu’est ce que tu me prépares.
- Si le roi veut bien venir sur son trône. Me lance Julie en m’invitant à m’asseoir sur un fauteuil.
Putain mais qu’est ce qu’elles m’ont préparé. La lumière se tamise et mon cœur est prêt à se barrer. Une musique commence sur une cover de Toxic de Britney Spears et putain je reconnais le corps d’Anna à la seconde qu'il bouge sur le rythme de la musique qui est bien plus langoureuse que l’originale. Elle est habillée d’un shorty noir de danse, de chaussettes hautes noires juste au dessus du genou et des talons aiguilles. Je me demande encore comment elle peut danser avec ça. Ses seins sont remontés dans une brassière cache-coeur, tout est merveilleusement bien mis en valeur, j’avoue que là, elle fait fort. Tout le monde est sans voix et moi le premier. Je ne la lâche pas des yeux, je ne veux rien louper. Mais le tempo s’emballe, et elle met un coup de rein puis se laisse tomber lentement en arrière et putain j’ai l’image de sa pipe acrobatique. Quand elle se redresse c’est d’en des gestes d’un sexy que je ne lui connaissais pas. Ah ouais donc elle peut même me surprendre encore. La musique est déjà très…chaude mais avec elle dessus c'est de la torture.
Toi aussi t'es chaud ahah.
Putain mais grave ! Elle enchaîne quelques positions que seules elle et moi savons à quoi elles font références. Elle se mord la lèvre et ma queue me fait mal. Ahhhh bébé tu vas la prendre durement ce soir, là c’est mort. Lorsqu’elle se fout à 4 pattes, qu’elle ondule du cul, qu’elle danse dans des positions des plus obscènes tout en s’avançant vers moi, je ne sais plus comment me foutre pour calmer mon érection. J’en ai eu des filles coquines mais là putain, j’ai tiré le gros lot. Elle se caresse le corps sous mes yeux, et j’ai vraiment hyper chaud. Oh oui bébé je suis toxique comme de la came, je veux être la tienne putain, je veux bruler dans tes veines comme tu brules dans les miennes. Putain arrête ça !!! Je vais te baiser par terre.
Contrôle toi y a du monde.
Rien à foutre, je la veux autant qu’elle me veut.
Tu n’as pas envie de voir la fin ?
Putain si.
Alors contrôle-toi !
Elle se penche sur moi en se dandinant et j’ai ses nichons sous les yeux. Ce soir je lui bouffe c’est clair. Ses mains se posent sur moi et là je crois que je vais faire un arrêt cardiaque. Elle défait sensuellement un à un les boutons de ma chemise et elle effleure ma peau brulante puis se redresse et me fait me lever. Elle danse autour de moi jusqu’à se coller à mon dos et fait glisser doucement ma chemise et je me retrouve torse nu. Elle revient devant moi et me caresse mon torse jusqu’à descendre sur mes hanches tout en s’accroupissant. Elle a la tête au niveau de ma bite et là je vais exploser si elle ne me libère pas.
Calme-toi !
J’essaie !
Heureusement, elle défait un bouton de mon jean, puis le second et je sens ma queue se durcir un peu plus. Le troisième bouton saute aussi et enfin le 4ème. Oui bébé vas-y !!! Elle remonte le long de ma jambe et glisse sa main sous l’élastique de mon boxer. Pas chiche de me branler devant tout le monde. En effet elle ne fait que passer, et je la sens de nouveau derrière moi, ses mains descendent le long de mes cuisses puis vient me défaire de mes chaussures.
Elle veut te foutre à poil devant tout le monde je crois
Je n’en ai rien à foutre, qu’elle fasse ce qu’elle veut de moi.
Mâle primitif.
Tellement…Elle me retire mes chaussettes puis remonte et je sens ses ongles glisser sur mon torse. Joue bébé, joue. Ses mains se faufilent sous mon jean qu’elle descend lentement et elle me le retire. Je suis en boxer désormais mais je n’en ai rien à foutre. J’en ai même oublié mes invités qui parfois sifflent. Elle se mord encore la lèvre tout en regardant mon boxer. Je la regarde comme pour la mettre au défi de me le retirer. Elle n’aura pas le cran. Ses mains se posent de chaque coté du tissu et elle m’envoie un sourire provocateur qui déforme un peu plus mon boxer.
C’est sur que tu ne peux plus cacher ton attrait pour la demoiselle.
Dans un grand écart langoureux, elle descend mon boxer qui laisse ma bite dressée sortir. J’entends qu’on se marre et elle a se sourire fier, un mouvement pour se redresser sur ses genoux et la musique finit. Elle m’adresse un dernier sourire et un regard moqueur.
Elle a voulu te taper l’affiche je crois.
Putain ce n’est pas un cadeau c’est une foutue vengeance ! Alors qu’elle va pour se lever, je l’attrape par les cheveux. Ce geste est brutal car elle n’a pas l’habitude que je maltraite ses cheveux, sa bouche s’ouvre pour dire quelque chose et j’en profite pour lui foutre ma queue qui en a ras le bol qu’on joue avec elle. Je fais bouger sa tête alors que ses mains tentent de me retirer les miennes mais tant que je n’aurais pas rempli sa putain de bouche, je ne la lâcherai pas. Heureusement en 3 coups, je crache la purée dans un bruit de fond de gorge. Je relâche un peu la pression de ma main et me retire lentement pour qu’elle n’en foute pas partout. Elle me regarde sous le choc de mon geste mais fallait pas me chercher.
- Quand on commence bébé, on finit.
Je confirme le roi de la fête c’est bien moi. Je me rhabille alors que j’ai le droit à des félicitations de mes potes alors que les nanas sont presque choquées de ce que je viens de faire. D’autres me lancent des regards pour espérer que je leur fasse pareil mais là je suis bien vidé et puis j’ai ce qu’il me faut pour le week-end. Anna s’est barrée si vite que je l’ai même pas vu partir. Elle a voulu me taper l’affiche pas de bol, c’est elle qui vient de se la taper. A quel moment elle a cru que j’allais me laisser faire. J’ai déjà été sucé en public alors une de plus me pose aucun problème. Par contre elle je ne suis pas sur qu’elle avait prévu ça à son petit jeu.
- Bon euh tu ne vas pas dans ta piaule, les filles sont hors d’elles. Me dit Jack
- Fallait pas jouer.
- Tu y as été un peu fort là quand même.
- C’était pas un putain de Cadeau Jack ! C’était une foutue vengeance ! Et ta meuf est dans le coup !
- Une vengeance ? Mais de quoi ?
- J’ai menacé de tout balancer à son mec jte rappelle.
- Mais elle est venue.
- Ouais pour me foutre ma soirée en l’air. Pas de bol c’est raté.
Je me casse dehors pour fumer une clope, je discute avec les fumeurs de cette danse endiablée. Elle peut être sacrément fière d’elle quand même, elle a géré de ouf. Même si elle a fait ça pour les mauvaises raisons, ça a du lui demander un travail monstre. J’écrase ma clope et décide de rentrer la voir. Ca me fait chier qu’elle le vive mal alors que putain elle n’a pas avoir honte de ça. Je ne veux pas que ça la traumatise, je veux qu’elle en tire de la fierté car fallait avoir les couilles.
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