ATTENTION ce chapitre est un chapitre difficile. Vous pouvez ne pas le lire, ça ne vous empêchera pas de suivre l'histoire.

Putain ça été dur d’être face à elle mais j’ai tenu bon.

- Tu penses à quoi ? Me demande Elena qui est assise sur le lit d’une chambre que j’ai squatté pour l’occasion.

- A toi. Dis-je pour qu’elle ne me casse pas les couilles.

Elle sourit et regarde ses pieds. Putain allez courage faut le faire. Tout est prêt, j’ai plus qu’à bander, lui foutre ma queue et voilà. Allez t’es capable.

Pense à Marielle.

J’ai beau imaginer des tas de scènes les plus érotiques, il me suffit de sentir son parfum, ouvrir les yeux et je débande direct.

Ça va être compliqué.

Je n’y arrive pas putain. Elle ne me plait pas !

Alors abandonne.

Hors de question !

Je me lance et roule une pelle qui me donne la gerbe. Je n’aime pas le goût de sa salive, je n’aime pas son odeur, je n’aime pas ses lèvres, c’est horrible.

Bah t’es qu’au début hein.

Je décide de la dessaper et là c’est pire. Bien joué le coup de la gaine Adri mais putain on ne peut pas baiser avec ça ! Putain les bourlets c’est vraiment pas mon truc à moi. Ses seins sont gros, et un paquet de mec en voudrait mais moi ça ne me fait pas bander. Elle les couvre de ses bras que j’attrape pour lui retirer.

- Je…je ne suis pas à l’aise. Dit-elle

Sans dec.

- Attend je vais te donner quelque chose pour te détendre. Dis-je

- Je…je ne veux pas prendre de la drogue.

- Ce n’est pas vraiment de la drogue, c’est juste pour te détendre. Fais-moi confiance beauté. Ouvre la bouche.

Beauté ahahah, se moque ma conscience.

Je lui colle direct deux cachetons pour pas qu’elle fasse trop chier.

Donc là c’est un viol, t’en as conscience ?

Ouais je sais putain ! Mais j’ai quoi comme autre choix !

Bah d’arrêter ça.

Non ! Marielle doit payer ! Putain j’ai une idée !

Fais pas ça c’est pire que tout là !

Si moi je ne peux pas la baiser, d’autres en voudront.

- J’ai oublié mes capotes en bas, tu m’attends sagement ok ? Dis-je

- Hum hum dit-elle à moitié stone par les cachetons.

Je ne sais pas pour combien de temps je vais en avoir alors je décide de lui injecter un petit complément pour pas qu’elle se barre.

T’es vraiment ignoble.

- Aie…Pourquoi tu me fais une piqure ?

- Pour que tu profites mieux, repose toi je reviens.

- D’accord.

Je descends et prends le petit salon pour ramener le plus de mec possible, interdisant l’accès aux meufs.

- Bonsoir bonsoir !!! Pour cette journée de l’amourrrrrrrr, je vous propose un petit cadeau. Dis-je

- Tu veux m’épouser Mick’ !!! Gueule un mec

Je lui fais un doigt en me marrant.

- J’ai là haut une petite vierge, pure, qui attend qu’un courageux Valentin vienne la baiser.

- La grosse que tu te traînes là ?

- Qui dit grosse, dit une belle paire de nichons, c’est ça qu’il faut retenir. Bien sur celui qui remportera le gros lot, aura carte blanche sur elle et 10 grammes de poudre en cadeau.

- On peut tout lui faire ? Demande un mec intéressé.

- Tout et bien sur personne ne saura ce que vous lui ferez, tout est permis. Dis-je

- Rien est gratuit avec toi alors c’est combien ?

- Les enchères commencent à 100 balles.

- 150 !

- 180 !

Je n’aurais pas pensé que ça intéresserait autant. Les mecs se concertent.

- 200 !

- Si on paye à deux on peut se la faire à deux ? Demande un mec à qui je vend déjà de la came.

- Tu fais ce que tu veux de ton enchère, t’as carte blanche.

- 250 alors.

- 280 !!!

- 300. Dit le gars qui remporte l’enchère.

Je check dans sa main et lui file le sachet de poudre.

- Pour les déçus, séance de rattrapage à 100 balles dès que les gars sont sortis.

- Trop cool, on a de la came aussi ?

- Non faut pas abuser, je ne suis pas la croix rouge hein.

- Excuse Mick’, c’est cool ce que tu fais. Merci.

Je monte avec les gagnants et ouvre la porte sur le corps nu d’Olaf. Ouais clairement je n’aurais pas pu baiser ça.

- Eh beh, elle a l’air bien partie. Tu nous entends Bouboule ?

- Vous…êtes…qui ?

- Tes Valentins, t’inquiète ça va bien se passer. Dit le gars qui pelote ses seins.

- Ça ne vous dérange pas si je mate. Dis-je

- Non vas-y fais toi plaisir, c’est ta pute Mick’.

Putain ouais. Marielle va en être malade.

Tu vois que tu bandes.

Putain ouais enfin. Je savoure ma vengeance, et encore plus lorsque j’entends le cri d’Olaf lorsque le mec rentre en elle sans aucune délicatesse. Ah le salaud, il n’a même pas pris le temps de la caresser, bim un taquet direct ! On dirait qu’on égorge un cochon.

- Ferme là ! Putain t’es grasse la vache ! Je baise dans du beurre. Ricane-t-il

Le mec à la came mauvaise et Elena se prend quelques gifles qui la sonne bien. Ils alternent puis décident de la prendre à deux. Fatalement, le corps d’Olaf n’est pas prêt à ça et les premières larmes arrivent.

- Grosse vache, t’aime ça qu’on te fasse le cul hein !!! Oh oui t’aime ça, putain regarde ça comme ça bouge.

- Attrape là par son gras.

Les deux mecs s’influencent et plus ils s’emballent et pire c’est.

- Allez gueule !!! Ouais voilà, c’est ça j’aime quand tu gueules !!! Mick’ tu veux venir ?

- Non merci.

Lorsqu’ils se sont bien vidés, ils se barrent sans même un regard vers elle. Elle plane à 2000 et je peux continuer mon plan dégueulasse.

- Bon qui veut sa séance de rattrapage ? Dis-je

- Moi. Tiens. Me lance un gars qui entre dans la chambre.

J’entends ses cris, sa souffrance, ses pleurs, ses gémissements et puis le dernier mec sort avec ce sourire de vainqueur, fier d’avoir baisé une meuf qui sait même plus comment elle s’appelle. Lorsque je rentre, les draps sont couverts de sang ainsi que ses cuisses. Je lui remets une dose pour qu’elle dorme et ne capte plus vraiment ce qu’on vient de lui faire.

- Pour…quoi… pas toi ? Me demande-t-elle tremblante.

- Je ne baise pas mes putes.

- Mais je ne suis pas…

- Si. Ferme les yeux, demain tu ne te rappelleras plus de rien.

- J’ai mal.

- C’est normal. Dors.

Je referme la porte sur l’horreur. Avec ça c’est clair je n’irais pas au paradis Marielle non plus. C’est parfait on pourra se rejoindre comme ça. Je dépose son cadeau de la Saint Valentin et me tire.