Matara Siar
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Il y a-t-il plus grande lumière
Que celle de mon délicat astre ?
Comme un phare massif qui enflamme
Un Océan Primordial, froide réalité,
Assurant chaleur, innocence,
Se dressant ferme face au cyclone de l’extérieur.
Non il n’y a pas de plus belle lumière
Que celle qui sacrifie sa fragile vie
Pour ceux qu’elle a vue croître,
En son étreinte gardienne et maternelle,
Et qui continuera d’assister
Même lorsque son brasier sera tu.
Non, il n’y a pas de plus sainte lumière
Que celle qui continue de fasciner
Et à travers les ères
En tout âge chaque instant .
Intemporel avatar.
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