Je suis une ordure
https://youtu.be/wX05KcyWeGY
Je ne suis pas Louis Ferdinand Céline. Cependant, je crois avoir assez de talent pour me prêter à cet exercice périlleux que tous les nègres appréhendent : celui d'écrire pour les autres.
Cette fois j'ai décidé d'être mon propre nègre. J'ai décidé d'écrire ce que Macron et son Moi profond rêve de dire. Le refoulé macronien, je le mets au grand jour.
Oui, j'appréhende d'écrire pour Macron. Non seulement je redoute cet excercice mais aussi parce je que le fais sans aucune conviction. Je le fais même avec un certain dégoût. La Macronie n'est pas mon truc du tout. La Macronie, je la vois comme une catastrophe qui s'est abattue sur la France un mois de mai 2017. Oui, un mois de mai qui était loin d'être joli. En général le mois de mai est synonyme de liberté ou du moins de libération. On sort des frimas pour le grand soleil. On dit merde à son patron. Les marguerites fleurissent au coin des lèvres et sur les flancs des collines. Au mois de mai on s'aime et on sème. On se fait des bisous, des mamours, on se roulent dans l'herbe en poussant de grands cris de joie.
Mais là que s'est il passé ce 10 mai 2017 ?
Une énième plaie se serait-elle abattue sur la France pointée par un type démoniaque qui joue aux fléchettes juché sur son nuage ? Pourquoi a t-il pointé sa flèche sur cette France fille ainée du Divin dans laquelle j'ai grandi et dans laquelle je vais certainement mal vieillir?
Serait-on à l'aune d'une époque diabolique des maladies auto immunes que génèrent les grandes écoles comme l'ENA et HEC et qui propulsent à la tête du pays des bacilles ultra pathogènes qui feront crever le pays à petit feu en la noyant dans le maglma européiste dirigé par ce poivrot de Junker et dont le dernier en date est ce Macron avec trois cheveux sur le crâne, des milliards de chiffres et deux neurones dans le cigare ?
Je déteste être le nègre d'un type que je hais. Je déteste ce type comme on peut detester les chiens ou son contrôleur fiscal pour ceux qui ont du pognon sous la moquette. Je fais ça parce que je ne sais rien faire d'autre. Faut bien vivre. Macron est un con et j'ai pas pour habitude de décevoir un con. Surtout si ce con me paie une fortune pour écrire ce que le peuple inculte et fainéant veut entendre. Il lui faut faire ce plaisir, à ce con. Oui, Macron et son bras droit, Castaner, le Maurice Papon qui n'attend que le feu vert de son patron pour balancer des gilets jaunes à la Seine comme l'a fait son illustre prédecesseur pendant la guerre d'Algérie. La SARL Papon père &fils marche à plein tube. Une belle filiation spirituelle par excellence .
Je ne m'étalerai pas sur les activités de Papon père pendant la période la plus sombre sombre de notre Histoire. Une belle formule qu'un autre con exilé à Barcelone affectionnait. Là n'est pas le sujet. Ce qui me préoccupe c'est le "bon boulot" que fait le con de fiston sur les gilets jaunes.
Oeil crevé, machoire fracassée, citoyens mutilés. Flasball en veux-tu en voilà avec directives aux forces de l'ordre de tirer sur la tête et sur les parties génitales.
Seul un salaud, une ordure à l'âme pourrie dénuée de toute conscience ni morale peut concevoir toute l'horreur et l'ignominie d'une telle chose.
Maintenant je laisse mon nègre s'exprimer. Merci Messieurs.
- Monsieur le Président.
A la surprise de beaucoup d"abrutis, il est un des aspects le plus surprenant de votre notoriété pour ne pas dire le plus étrange, est que vous ne sortez de nulle part.
Tout le monde s'interroge:
Voilà un type qui sort de nulle part.
A dire vrai, personne ne savait même pas que vous ayez pu exister. Comment avez vous pu berner tout le monde?
Du premier des crétins au dernier des naïfs!
Un type habillé en costard smalto et chaussures Berluti, toujours bien coiffé, sans doute né coiffé aussi, tant qu'à faire!
Vous êtes quand même un sacré bonhomme ! Un banquier, président la République !
Léon Blum, un de vos illustres prédécesseurs avait dit : les banques je les ferme et les banquiers je les enferme.
Autre temps, autres mœurs!
Vous êtes un banquier qui a du bol d'avoir échapper à la prison. Vous avez du bol d'être né coiffé.
Un mec qui a passé sa vie à compter des billets de cent euros peut naître que coiffé et n'être que bien coiffé. Avoir la coiffe de l'argent.
La meilleure façon de se payer un costard, c'est de travailler. Voilà une belle citation pour un type qui ne sait probablement pas ce qu'est travailler. Avez vous jamais travaillé, Monsieur le Président?
Travailler au sens fournir un effort.
Vous êtes sorti d'un improbable chapeau socialiste. Vous me direz, Monsieur le Président, que tous les dirigeants socialistes ont porté un chapeau-Hollande c'est exception qui confirme la règle, vous nous faîtes la leçon sur le sens de l'effort. L'effort qui sanctifie toute réussite sociale.
Sauf votre respect, mais un mec qui a passé sa vie à péter dans la soie et à étouffer ses pets en se tortillant le cul sur une chaise, arrive à nous parler du sens de l'effort sans avoir eu à mouiller sa chemise, excusez moi mais votre impudence force le respect.
La seule fois où éventuellement, vous auriez pu mouiller votre chemise c'est lorsqu’il vous vous égosilliez à un meeting à Paris devant un parterre d'abrutis acquis à votre cause perdue d'avance, une foule d'abrutis en délire hurlant à s'en faire péter la glotte.
Maintenant, Monsieur le Président, les abrutis pleurent pour leur litre de gasoil.
- Messieurs permettez moi de vous dire que je suis un con!
Oui, un con.
Voilà, il est vrai comme l'avez souligné, je suis un type sorti de nulle part.
A dire vrai, je ne savais même pas que j'existais. D’ailleurs, je m'étonne moi-même.
Un type habillé en costard smalto et chaussures Berluti, toujours bien coiffé, certes, le cheveux rare, l'âme sèche de l'ancien usurier des Rothschild, mais né coiffé, tant qu'à faire!
Il n'empêche que je suis un con. Je suis et je passe pour le dernier des cons. J'ai épousé une vioc pour la galerie. Mais, dès que le peuple à les yeux tournés, je m'envoie en l'air avec mon copain.
J'étais banquier. Oui messieurs, banquier mais d'un genre particulier, celui qui vous donne un parapluie les jours de canicule et vous le reprend quand il pleut des cordes.
Oui, je suis un mec qui a passé sa vie à compter des billets de cent euros. Par conséquent, je ne peux naître que coiffé et n'être que bien coiffé. Certains envieux m'envient et disent que j'ai la "coiffe" de l'argent.
La meilleure façon de se payer un costard, c'est de travailler. Voilà une belle citation dont je peux m'enorgueillir car j'en suis l'auteur, fier même pour un type qui ne sait probablement pas ce qu'est travailler. Travailler au sens fournir un effort. A dire vrai, je n'ai jamais sué, préférant faire suer les autres.
Je n'ai jamais fourni un effort physique tel que je puisse prendre conscience qu'un jour, seul un salaud de mon acabit peut usurper le sens d'un mot qui n'appartient qu'au monde ouvrier. Je suis né sans conscience ni couilles, comme tous les salauds. Je suis sorti d'un improbable chapeau ...socialiste. Tous les dirigeants socialistes ont porté un chapeau vous me direz, et je suis le dernier qui, lui, l'a mangé en épousant ce trognon de pomme qui me sert de femme. Ce qui ne m'empêche pas de donner des leçons aux autres sur le sens de l'effort. L'effort qui sanctifie toute réussite sociale. Oui messieurs, je vous le dis, j'ai passé ma vie à péter dans la soie et à étouffer mes pets en me tortillant le cul sur une chaise. J'ai le mépris des vieux et des pauvres. Les vieux c'est bien fait pour eux s'ils sont vieux. Les pauvres, c'est fait pour être pauvres.
Je suis en train de faire passer les français à la sauce Bilderberg. Oui, on m'a donné des instructions pour abîmer le pays et abîmer sa population. Les chômeurs doivent être radiés. Les malades doivent être achevés. Les fonctionnaires défonctionnarisés. Il faut du sang neuf à ce pays de viocs. Je serai le terminator qui remplira les cimetières en vidant les hôpitaux.
Je plaisante. En fait, c'était une Gallet Jade.
Je suis gentil. Tout ce qui a de plus sympa. Un gentil con.
Dixit BFMTV.
Un con ça ose tout, d'ailleurs c'est à cela que l'on me reconnaît.
Je vous remercie messieurs.
Adrien de saint-Alban
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