Emily était à la base et discuta avec Adrien.

« Il faut que je rentre chez moi. »

« Va-y Emily ... »

« Merci du travail fourni. »

Elle rentra chez elle, pas loin d’ici. Son père nommé Jérémy était là.

« Tu ne rentres qu’aujourd’hui ? »

« Oui. »

« Tu as appris pour la mort du Président ? »

« Je suis au courant, ils enquêtent. »

« Et il y eut un énorme piratage au sein de la nation. »

« J’espère que ... »

« Tu comptes faire quoi ? Tu n’as aucun travail, on dirait une cas sociale ... »

« Je cherche du travail ... »

« Depuis la mort de ta mère, tu te comportes plus comme avant. »

Emily s’approcha de son père, lui faisant un semblant de câlin puis pris son poignard et le tua de manière fine et intelligente.

« Désolé papa, tu me pistais trop ! »

« Traîtrise ! »

Il tomba au sol, le sang coulait.

Elle prit la fuite et dormit comme une SDF au bord de la Seine.

La journée suivante, le piratage National provoqua une colère du peuple contre le Gouvernement.

Lionel se défendit.

Emily se dirigea vers la Mairie.

« Je voudrai créée mon parti et faire un meeting. »

« Signé ces papiers je vous prie. »

Elle trembla.

« Merci à vous bonne journée madame. »

Emily rejoignit son local d’amis.

« Je viens de signer pour créée le parti et faire des meeting. »

« Ou tu étais hier soir ? »

« Pourquoi cette question ? »

« Adrien a été arrêté, nous avons pu échapper aux autorités par chance. »

« Merde. »

« Même pas un message ! »

« Je comprends votre colère. »

« C’est bon démerde toi pour ton parti ... »

« Mais Sébastian ... »

« Moi aussi je pars ! »

« Toi aussi Léa ? »

« Tu manipules les gens ! Fin de conversation ... »

« Vous restez vous Mélania, Lou, Kévin, Jim … ? »

« Nous restons. »

« Faites de la propagande pour mon meeting dans un bar. »

« On te le prépare. »

Quelques heures plus tard, le corps du père d’Emily fut découvert.

« Il a été poignardé, c’est un fait. »

« Qui l’aurait poignardé, cherche ses contacts ... »

Emily prépara un meeting illégal dans un bar.

« Le gouvernement nous prends pour leurs moutons. Nous ne nous laisserons pas faire, suis-je clair ? Il faut une révolte, une révolution ! Les pauvres s’appauvrissent ! ...