Un mot, un seul que j'aurai aimé te dire, mais il est trop tard. Tu ne verras plus jamais le jour et moi pour toujours j'aurai des regrets. Si seulement tu t'étais accroché et moi si seulement j'avais sû mettre de côté ma fierté. Je voudrais te l'écrire mais tu ne pourrais pas le lire, je voudrais te le dire mais tu ne pourrais pas l'entendre, je vroudrais te le montrer mais tu ne pourrais pas le voir. Les remords ne me quittent plus, et ton souvenir me hante.

Quand tu étais encore là je ne m'occupais pas de toi, mais maintenant que tu es sous la pierre je ne pense plus qu'à toi. Je viens te voir parfois, enfin tous les matins pour te dire bonjour et tous les soirs pour te dire au-revoir. J'ai même déménaégs pour n'avoir qu'a marcher trois pas pour te parler, et toi en reconnaissance tu ne me donnes que ton silence. Je ne saurai jamais si mon absence durant toutes ces années t'a causé de la douleur ou bien de l'indifference. Mais moi je sais une chose, plus jamais je ne pourrais m'aimer, puisque je sais que par ma faute tu as ressentis de l'abandon. Et si depuis ton départ je n'ai pus fermer l'oeil c'est sans doute parce que les tiens restent fermé.

J'ai pensé à te rejoindre, te montrer que la vie sans toi ne m'étais pas faisable, puis je l'ai rencontrée. Cette personne qui je crois, me fait t'oublier, cette personne qui a sût me redonner le sommeil. Pourtant les remords m'accablent toujours. Le bonheur je n'y ait pas droit, puisque je t'ai enlevé le tien. Il m'arrive parfois d'oublier de venir te voir dans le champ de croix, quelquefois aussi je me réveille sans que ma première pensée te soit addressée. Alors pour essayer de ne pas perdre ce qui nous lie je regarde les étoiles qui brillent en rêvant à la vie que tu aurais eû.

En ce moment je crie, et je crie en espérant que tu viennes à l'entente de ton nom, mais c'est le vent qui me répond. Mais où es-tu ? Au paradis ? En poussières ou en enfer ? Dis moi que tu m'aimes et que tu me pardonnes de n'avoir pas sû te garder près de moi. Non tu ne peux pas le dire, tu ne pourras jamais le dire. C'est pourquoi aujourd'hui je te l'écris, ce mot que j'aurais dû te chanter, te crier, te hurler pour que tu comprennes. PARDON