Ydar

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Cela faisait six jours qu’Ydar était à la recherche d’un clan, yl courait à petites foulées dans la savane, lorsque son odorat décela l’odeur d’un lapin, un frisson parcourut sa fourrure, yl s’immobilisa. Ses oreilles pivotèrent, à l’écoute du moindre bruit, malgré le bruit de son propre souffle yl localisa son futur repas, celui-ci arrivait droit sur lui, venant du nord. Yl se dissimula dans les hautes herbes et patienta immobile. Sa main griffue allait s’abattre sur sa proie, quand Ydar vit l’anneau noir autour du cou de l’animal, yl suspendit son geste, c’était la marque des andros, celui d’Ydar était doré. Tan seule savait, pourquoi les andros de toutes les espèces, qu’elles soient à fourrure, à plumes ou à écailles, portaient un anneau autour du cou, mais cela permettait de les identifier facilement. Pas plus les prédateurs que les Jubati ne tuaient uny andro pour se nourrir, yl ly laissa poursuivre son chemin. Bah ! yl trouverait bien un mâle ou une femelle à se mettre sous les crocs avant la fin de la journée, yl reprit sa course vers l’ouest. Il faisait encore frais, si la géante orange était haute dans le ciel, la brillante bleue et ses deux enfants ne faisaient que se lever...

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Cela faisait six jours que j’étais à la recherche d’un clan, je courais à petites foulées dans la savane, lorsque mon odorat décela l’odeur d’un lapin, un frisson parcourut ma fourrure, je m’immobilisai. Mes oreilles pivotèrent, à l’écoute du moindre bruit, malgré celui de mon propre souffle je localisai mon futur repas, celui-ci arrivait droit sur moi, venant du nord. Je me tapis dans les hautes herbes et patientai immobile. Ma main griffue allait s’abattre sur ma proie, quand je vis l’anneau noir autour du cou de l’animal, je suspendis mon geste, c’était la marque des andros, le mien était doré. Tan seule savait, pourquoi les andros de toutes les espèces, qu’elles soient à fourrure, à plumes ou à écailles, portaient un anneau autour du cou, mais cela permettait de les identifier facilement. Pas plus les prédateurs que les Jubati ne tuaient uny andro pour se nourrir, je ly laissais poursuivre son chemin. Bah ! Je trouverais bien un mâle ou une femelle à me mettre sous les crocs avant la fin de la journée, je repris ma course vers l’ouest. Il faisait encore frais, si la géante orange était haute dans le ciel, la brillante bleue et ses deux enfants ne faisaient que se lever…

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