A ma peine
J’avais besoin de toi,
Malheureuse sous leur toit
Les cris incessants
Papa et maman se sont lassés
L’âme d’une guerrière sur laquelle je pensais renaître
Je vois ses larmes à travers la fenêtre
Elle a puiser ses forces dans sa foie d'une main de maître
Il a étouffé dans la noirceur de sa maladie
Qu’il n’avait pas choisit
Errant dans chaque pièce comme un fantôme
Il avait tout les symptômes
Et jai hais le corps médical
Sous mes douleurs abdominale
Elle était abominable
Y avait pas une oreille
dans les campagnes qu’abritait nos entailles
Y avait les hurlements
Que personne n’a entendu
Dans la voiture, destination une idylle
Parsemé d’un semblant de bonheur
Sur le chemin du retour, toute l’anxiété de nos malheurs
Tu crois que c’était des âmes soeurs
Ce que l’on cache sous nos pulls
entailles de ce qu’on a ressenti
Couleur sang,
Et puis on ment,
Et puis on se rend
Et si c'était à revivre bien sûr qu’on le referait
N’est ce pas ce que l’on vit
Qui fait des hommes
Ce que nous sommes
Plaies à vif
Peine à vivre
Recomptant les sommes
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