Chapitre 21. Le voyage en avion
### Olympe ###
Nous étions tous à l’heure pour embarquer dans l’avion de la Fondation, Marc nous avait recommandé de restreindre les bagages mais de prévoir quand même une tenue de soirée.
Je n’eus pas beaucoup d’hésitation : J’avais récemment acheté une robe très affriolante avec un dos largement dénudé rappelant un film célèbre, je savais que Marc ne pourrait pas me résister. Je pouvais la porter sans soutien-gorge. Rien que de penser aux mains de mon patron et amant qui glisseraient entre le tissu et ma peau, j’eus des frissons et je sentis mon intimité s’humidifier.
En montant à bord, Marc nous indiqua les places, la configuration des sièges était standard avec d’un côté des rangs de deux sièges et de l’autre côté le rang d’un siège. Il me désigna une place dans le rang à deux fauteuils laissant le siège voisin pour lui. Les filles s’assirent dans la deuxième rangée Lona et Thalia dans la rangée double et Iona dans la rangée simple. Les bagages trop nombreux pour la soute furent disposés sur les places restantes. Thalia suggéra qu’en cours de vol, qu’elles puissent changer de place vu qu’une partie du trajet se ferait de nuit, mais Marc proposa que je reste à côté de lui durant tout le voyage.
Après le décollage Marc inclina son siège et me suggéra de faire de même, je vérifiai que les filles derrière nous, firent pareil et mirent leurs masques occultants pour dormir. J’en conclus que nous aurions la paix et glissai ma main sur la cuisse de Marc.
- Tu ne désires pas dormir ? demanda-t-il.
- Plus tard peut-être, dis-je en remontant ma main vers le haut.
Marc n’eut pas de réaction, à part que je vis une grande bosse gonfler son pantalon. Les hôtesses firent le service des repas et masquèrent heureusement avec les tablettes son sexe. Après le repas, je gardai les tablettes déployées ce qui m’autorisa à défaire discrètement la braguette de mon amant. Je glissai ma main dans l’ouverture et libérai son chibre chaud et érigé. Pour plus de confort, je n’avais pas mis de soutien-gorge et Marc dut apercevoir mes tétons se dresser sous le fin tissu de ma blouse.
Très rapidement les filles derrière nous s’endormirent et les hôtesses firent pareil, je fis semblant de m’assoupir en couchant ma tête sur les genoux de Marc et atteignis ainsi avec mes lèvres sa hampe dressée.
Marc posa sa main sur ma tête et remonta un peu la couverture de façon à masquer la fellation que je m’apprêtai à lui prodiguer. Marc eut un soupir discret me montrant qu’il appréciait, je ne sus pas combien de temps ma langue joua avec sa verge. Je sentis d’abord un peu de liquide suinter de son méat et je compris qu’il allait atteindre la jouissance. Bien entendu sa verge eut soudainement une grosse pulsation et je sentis son sperme jaillir dans ma bouche. Je ne perdis rien de son jus et continuai à le pomper jusqu’à la fin de son éjaculation.
Marc resta stoïque durant toute sa jouissance si ce n’est que lorsque je voulus me redresser, il maintint ma tête en position et ouvrit ma blouse pour pincer mes tétons. Je ne pus rien faire d’autre qu’ouvrir ma bouche pour reprendre sa verge qui reprit vigueur. Marc devint plus audacieux et glissa sa main sur mon intimité et pénétra mon vagin. C’était trop fort, je dus freiner sa main sous peine de gémir de plaisir. Il comprit qu’il devait ralentir ses caresses et mon excitation culmina. Il sentit la contraction de mon vagin puis il retira sa main pour mettre ses doigts dans ma bouche. J’eus ainsi le goût chaud de ma cyprine ce qui augmenta encore mon orgasme.
Nous restâmes ainsi encore pendant de longues minutes, je continuai à titiller sa verge avec ma langue. J’aurais continué longtemps si ce n’est que les hôtesses reprirent leur service. A regret je quittai ma position trop suggestive, je pris le mouchoir que Marc me donna, car j’avais des traces évidentes de sperme autour de ma bouche.
Je pris une boisson proposé par l’hôtesse, ce qui me permit de changer le goût en bouche. Derrière nous les filles se réveillèrent aussi et tout le monde sut que nous approchions de notre destination.
### Marc ###
Après l’atterrissage nous primes une grande limousine commandée par les pilotes, Le trajet jusqu’à l’hôtel fut long à cause des embouteillages, mais Olympe se permit quand même de remettre discrètement sa main sur le tissu de mon pantalon et serra ma verge. Je crois que si le trajet eut duré un peu plus j’aurai éjaculé dans mon caleçon.
Ce n’est donc que dans notre suite qu’Olympe se dénuda et entrepris de me dévêtir. L’endroit était bien choisi, la suite séparée en deux, permettait de nous isoler des filles qui purent prendre leurs aises. Il me sembla d’entendre d’abord des rires et puis des gémissements mais cela n’était sans doute dû qu’à mon imagination.
Olympe se dressa nue devant moi, malgré ma jouissance à bord de l’avion, mon sexe était dressé douloureusement et je sentis comme un soulagement lorsqu’elle le mit en bouche pour me calmer (?). Je parvins à saisir ses tétons que je pinçai sans brutalité. Elle adorait que je la touche, sa poitrine m’avait toujours attirée et j’interrompis la fellation sous peine de jouir dans sa bouche.
Je voulus la ramoner avec beaucoup d’intensité, je la couchai dans le grand lit où j’écartai ses jambes pour sucer son clitoris. Mon geste fut bien entendu accepté et ses mains sur ma tête confirmèrent son plaisir. Je pus boire sa cyprine en titillant son bouton érigé avec ma langue.
- Encore mon chéri, oh oui !
Nous fûmes interrompus par des coups discrets frappés sur la porte d’entrée de la suite, je remis mon short et j’ouvris pour me trouver face à Emily :
- Désolé de te déranger Marc mais je voudrai que tu nous rejoignes, Bessie a des vapeurs et réclame ta présence !
Je râlais un peu d’avoir été interrompu mais je sortis après avoir averti Olympe que les pilotes me réclamaient sans donner plus de détails. En entrant dans leur chambre, je fus immédiatement saisi par des mains gourmandes, je vis Bessie intégralement nue qui défit mon pantalon avec impatience.
- Je veux ton sexe entre mes jambes ! gémit-elle, J’ai compris que dans l’avion, le trajet fut excitant pour toi et Olympe. J’ai tenté de me masturber mais je n’y suis pas parvenue. Commence par me sucer car mon vagin est trop sec.
Je ne pus pas faire autrement que de lui obéir. Dés que ma langue toucha ses lèvres intimes, elle eut de longs gémissements en tenant ma tête serrée contre son corps. Je sentis d’autres mains fouiller dans mon intimité ce qui fit durcir mon bâton malgré la jouissance précédente.
Lorsqu’elle sentit son vagin prêt à m’accueillir, elle souleva ma tête et chevaucha mon pénis. Je n’avais jamais connu de sa part une telle brutalité. Elle profita pour glisser ses doigts sur son bijou et se masturba au rythme de ses à coups. Pendant ce temps Emily ne resta pas inactive et me présenta son vagin dégoulinant de cyprine. C’était beaucoup de trop et j’eu un orgasme quasi à sec.
- Oui, dit Bessie, Olympe a vidé tes bourses ! heureusement que tu m’a déjà fertilisé, sinon je n’aurai qu’un pygmée !
Elle ne put rien ajouter car sa collègue pilote cria sa jouissance sans aucune retenue, tellement excitée par mes caresses buccales et la vue de ma copulation. Les deux femmes me maintinrent encore un long moment espérant sans doute un regain de mon érection.
Elles furent déçues car mon engin avait déclaré forfait malgré les caresses et léchouilles. Néanmoins elles ne se sentirent pas satisfaites et gardait ma tête contre leurs seins. J’eus ainsi l’occasion de sucer alternativement des seins gonflés de Bessie et ceux déjà un peu moins fermes de sa copine. Ce fut un concours de tétons dressés se présentant à mes lèvres.
Je parvins à me dégager car je doutai qu’Olympe s’inquiétait de mon absence. Ce qui fut le cas. En rentrant dans notre suite Olympe m’embrassa et dit :
- Toi, tu sens le sexe, les pilotes ont profité de toi ?
- Oui, mais je suis tombé dans un traquenard, les filles m’ont presque violé.
- Et tu t’es laissé faire ?
- Oui, Bessie est enceinte et elle a des vapeurs.
- Dois-je comprendre que tu es le géniteur ?
- Oui c’est bouclé par un contrat, les filles voulaient être mamans et Bessie voulait que je donne mon sperme. Le contrat est blindé par mon avocat et ne sera pas rendu public. Tu es la seule à être informé et ça doit rester confidentiel.
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