Alors qu’un étrange pouvoir envahi le corps de Marlow, une lueur jaune pétant sortait de toute son être, commence par enflammes le bas de ses pieds d’une flemme jaune, avant de d’englobait le jeune homme dans une sphère ovale, qui se mélanger avec des flammes jaunes et vertes, elles s’arrêtaient à ses épaules, elle semblait vouloir échapper au corps de Marlow, puis de ses yeux se créaient un dégradé de flammes de couleur jaune au niveau des yeux pour s’affiner en vert. Tous cela restait en mouvement, tel un drapeau qui se fit caresser par une énorme tempête.

• Tu l’as touche je te butte ! Capiche ? sorti d’une voix rauque, Marlow à son cousin, il restait, les jambes fléchis les doigts serrés et les bras pliés.

Face à la révélation de Marlow, Yan restait tout tremblant, apeuré et en sueur, sa crête bleutée retomba sur son épaule gauche, ses yeux bleus aux éclats verts qui formaient des petits dégradés étaient devenu gris, à cause de la peur qui se lisait dans son regard, son comptait sur sa peau légèrement foncée, qui était devenu blanche comme un linge.

Pourtant malgré cette peur, il ne manqua pas de cran pour lui dire tout en lui enfonçant son poing Américain dans sa tacher.

• T’as la rage, hein !? T’as la rage admet-le, parce que t’auras jamais son petit cul bien bombé ! Tu pourras jamais faire des cochonneries avec, quel dommage… Pfff, mais fais-toi une raison mec, t’as la mort de sa sœur jumelle sur la conscience, tu saiiiiis le sang que tu as certainement bu ! Tu crois vraiment qu’après toute ses horreurs, elle te pardonnera ? Elle ne supporte même pas de te voir en peinture... alors la rentrer… laisse-tomber ! hurla sous un rire nerveux le jeune Yan.

Sous ces dires, Marlow resta immobile, Yan planta son arme à l’intérieur de son pseudo frère, pourtant, le jeune blondinet ne semblait pas réagir comme s’il, il se trouvait dans un autre monde.

• Main… maintenant ! Recule ton pied droit.

L’homme recula alors sa jambe puis continua d’écouter les ordres de la voix, comme s’il était hypnotisé par cette dernière.

• Contracte ton bras droit, attrape son bras avec ta main droite, maintenant prend son avant-bras avec ta main gauche, bascule sa main avec la droite, puis... envoie le valsais !

L’homme tourna son cousin et le plaqua contre le sol.

• Mar… Marlow ! Vieux tu fou quoi là ? Arrête ! C’est bon… j’ai compris ! Je… suis… sincèrement désolé ! dit Yan tout d’une voix tremblante, restant plaqué contre le sol, en regardant Marlow, qui pourtant ne semblait pas là. Oh non ! Merde ! Il est plus lui-même… merde, merde, merde, merde, MERDE !
• Ce n’est pas fini Marlow ! Plaque ta main gauche derrière son omoplate et tire d’un coup avec ta main droite. ordonna la voix.
• Hein ? Quoi ? Mais… si je fais ça … commença Marlow.
• Écoute-moi !

Yan hurla de toute ses forces, face à ses hurlements le blondinet reprit conscience.

• Attendez ! C’était... c’était quoi ça ? souffla Aïda en montrant la scène avec ses mains tout en regardant le vieil Hennry.
• Ça ma chère ! C’est le début des emmerdes ! sorti Hennry de manière mystérieuse. Mais, non ! Je rigole ! Marlow est entrée en éveille.
• En... en éveille ? questionna la jeune femme.

L’homme âgé parti avec Aïda sur l’un des nombreux bancs qui longé le centre de la bibliothèque, tous deux s’assirent et Hennry expliqua :

• Tous comme toi, Marlow possède un don, il a un pouvoir extraordinaire, qui se baserait, selon certains spécialistes, sur un système d’engrenage… On t’a déjà raconté comment c’est terminé la guerre des 20 ans, ma tendre enfant ? demanda l’homme.
• Oui mais... ne me dites pas que c’est lui le jeune bambin, qui s’est dressé contre les soldats de la guerre et les a ordonné d’arrêter ? questionna à son tour la jeune femme surprise part la révélation.
• T’as tapé dans le mille ma douce enfant, lorsque cela s’est produit le mardi 28 août 2045, il était devenu tellement hystérique, que Marlow a courut inconsciemment dehors et a hurlé d’arrêter les guerres ! Il était armé d’un simple doudou lapin de couleur brun. La plupart de ses guerriers étrangement l’écoutèrent, mais l’un des soldats le plus brave de tous, son était pris à lui… la suite je ne la connais pas, mais tous ce que je peux te dire, c’est que Marlow avait réussi à le dissuadé, mais est-ce que ça en valait vraiment la peine ?

Il marqua un temps de pause avant de reprendre.

• lui.