Le secret de Pandit-Wood

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Attention certain passage pourrait choquer les personnes sensibles !

(Musique d'ambiance)

https://youtu.be/43d-MDcV_ZI?si=fj8TxFkKPTR2v19H

Il ne les écouta pas, le blondinet continua à marcher d’un pas lent, et resta néanmoins sur ses gardes, il plongea alors dans l’obscurité et disparu du champ de vision de son amie de toujours. Puis, alors qu’il observait d’un œil fin les alentours de sa salle de bain, il se stoppa horrifié par sa découverte, en face de lui se tenait dans des positions gymnastiques, les corps des personnes, que sa mère adoptive avait assassinées, tous sans exceptions étaient accrocher au plafond.

Les corps étaient recouverts de traces de coups et sans compter qu’ils restaient mis à nues, leurs peaux étaient devenues blancs et remplis de trous au fil des années, l’odeur qu’ils sont dégagés étés insupportables, tellement du reste qu’il failli vomir et eu le tournis, il essaya de reprendre son équilibre et tomba nez à nez sur le corps de Lïnda, la grande sœur jumelle d’Aïda suspendu dans les airs.

Lorsqu’il vu son amie d’enfance, les larmes lui monta aux yeux, il se senti dégoûtait, il n’osa même pas regarder son doux visage soyeux, tellement qu’il fut pris de culpabilité, il se contenta d’observer sa peau pâle, ses cheveux foncés attaché en queue de cheval, elle maintenait une position de danseuse, celle du grand écart. Son corps était comme le reste des corps, mise à nue, sur son flanc figurer un énorme bleu, qui longer le long de sa hanche avant de s’arrêter vers son pubis.

Alors qu’il l’a contemplé, ce curieux bleu l’intriguait de plus au point, il lui tourna autour tous en regardant l’étrange blessure qui figurer sur son corps. Lorsqu’il comprit que l’énorme bleu prenait tout le bas du corps de la jeune fillette, il se mit à vomir, horrifiée de savoir, qu’à à peine âgé de 11 ans, cette jeune bambine eut été acte de fertilité et cela part un homme qui la tenait bien trop forte au niveau des hanches, et l’obligeait à le faire malgré qu’elle se débattît. On avait conclu Marlow en observant les marques de bleus.

  • C’est… c’est dégueulasse ! Comment… comment peut-on faire ça à une jeune enfant… ça ne peut pas être mère qui est fait ça, elle n’aurait jamais pu le faire ça n’a jamais était dans son ordre d’idée de torturer de cette façon… donc ça voudrait dire que… c’est quelqu’un dans sa famille, qui lui a fait subir ça ? Son père ? se demanda Marlow sur le choc, tous en maintenant sa main contre sa bouche pour pas qu’il vomisse à nouveau.

Il releva doucement son regard vert pâle rempli d’effroi, il avait honte, il prit son courage à deux mains et fixa le visage angélique de Lïnda. Lorsqu’il vu son minois, il recula d’un bon pas et écarquilla les yeux, à la place de sa frimousse figurait un énorme vide, la face de Lïnda avait disparus, son cortex cérébral ainsi que son visage demeuraient rongés par les mites qui cohabitaient à l’intérieur d’elle, les mouches lui rodaient autours tel des vautours, indiquant son cas de décomposition.

Quand il vu ça, il partit à toute vitesse se réfugiait loin d’elle, sous l’emprise de la panique, il passa à l’intérieur du corps d’un vieil homme tous dodu à la corpulence massive, le cadavre de l’homme portait des lunettes en argent, ses cheveux était court et gris et son regard était vide, un cafare sorti de la bouche de l’homme. Ne prenant pas cas de son action, il continua jusqu’à tomber à terre sur le carrelage de la salle de bain. Ses tibias ainsi que ses avant-bras faisaient en sortent qu’il ne tombe pas. Alors que le vacarme régnait en maître dans sa tête, qu’il entendait des voix, qui lui hurler que c’était de sa faute, que c’était une personne horrible, ainsi qui le grondait pour un rien, il ne remarqua pas que la pièce changeait au fur et à mesure qu’il restait à l’intérieur. Le carrelage se remplissait de verdure, les corps n’étaient plus suspendus au plafond mais sur des branches solides d’arbres.

Puis, alors qu’il reprit un peu conscience, il se souvenu que sa mère lui avait toujours interdit de toucher ce bouton bleu, mais jamais au grand jamais il n’aurait pensé que c’était pour cacher des corps, des odeurs et des meurtres impardonnables, mais en dépit des circonstances, il ne pouvait malheureusement pas mettre ses corps dans un cercueil pour qu’ils puissent enfin reposaient en paix, non il n’avait pas cette possibilité et ça, il le su directement lorsque son corps traversa celui d’un des trépassés, car il comprit, que les corps bien présent en cette pièce se trouvaient dans un autre endroit.

Il resta alors accroupi et débité sur le sol, son vomi, avait salit toute sa chemise ainsi que son pantalon, il on était rempli de partout. Pourtant, malgré cette saleté qui restait sur lui, il ne bougea pas et se contenta de fixer le sol en terre dessous ses pieds. Il n’arrivait plus à faire le moindre mouvement, il était paralysé par le dégoût par ce qu’il pensait de lui.

Lors de sa jeunesse il était tellement innocent et inconscient qu’il n’avait pas remarqué que Lïnda souffrait, il était écœuré par son être toute entier, lui qui ne voulait apporter que réconfort et joie à son entourage, n’avait pas remarqué que l’une de ses meilleures amies, avait dû subir.

  • Je suis un monstre ! Je… je mérite la mort… j’aurais dû mourir à sa place… pourquoi Lïnda, je l’aimais… chuis désolé j’aurais dû remarquer ça ma belle Lïnda ! On n’en serait certainement pas là ! Chuis perdu, avoua Marlow en pleure tout en criant comme un hystérique en frappant la terre à ses pieds qui sous l’effet des coups salissaient ses habilles.

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