À porter de voix part 4
- Mmh… sympa l’endroit… si j’avais une copine je la ramènerais ici pour faire notre lune de miel… elle va sauter au plafond en voyant la déco, souffla Marlow d’une voix neutre, tout en marchant en direction de l’ombre en face de lui.
Tout autour de cette étrange ombre figurer de la lumière, il marchait lentement, tout en regardant l’étrange pièce, mais il remarqua que de plus en plus il marchait et de plus en plus l’ombre reculait, il se mit alors à courir très vite ! La pièce devenait sévèrement froide, tellement du reste que son souffle se fit glacial, ses membres se glacer au fur et à mesure qu’il se rapprochait de cette ombre. Il ne lâcha rien ! Il continua jusqu’à agripper l’épaule de la silhouette.
Lorsqu’il toucha cette ombre, des bruits de montres se déclenchèrent et raisonnèrent dans la salle. Le fracas des bruits, devenait si intense que ça le rendait fou. Mais il voulait savoir où il était, et qui était cette silhouette qu’il voyait à chaque nuit dans ses rêves.
L’ombre se retourna, Marlow fit un bon de trois mètres lorsqu’il vu de qu’il s’agissait. C’était encore et toujours cette objet semi-bronzé, semi-argenté fait en engrenages, la statue qui trônait depuis plus de 21 ans, au centre de son village. Cette statuette qui mainte et mainte fois l’empêcher de dormir à cause de ses différents récits qu’elle lui racontait pour l’empêcher de dormir. Cet objet qui pourtant venait le hanté lorsque la nuit tombait dans le village de Pandit-Wood.
Son esprit restait embrouillé part de multiples souvenirs où il faisait des insomnies à cause de cette jeune fillette. Il ne remarqua pas directement que son corps ne touchait plus le sol, il était alors paralysé en lévitant dans les airs, c’est après être sorti de ses songes qu’il constata l’étrange pouvoir que possédait cette jeune fillette. Elle se rapprocha de lui tout en chantant d’une douce et belle voix ceci :
- Parle-moi de cette voix que tu entends, cette voix qui te hante tout le temps. Ne ressens-tu pas l’appelle de cette résonnance ? Celle qui te fait tant de mal. Celle qui la condamne. À rester vers toi, mais qui est-elle pour toi ?
Toujours suspendu dans les airs, il restait là, à regarder le corps de métal de son agresseuse, ses engrenages qui se rouillaient. Elle était remplie de sang, puis, elle se rapprochait de Marlow, en volant dans les airs, son corps de bronze se contorsionnait, du sang provenant de ses yeux et de sa bouche se déversait sur son corps fait de métal. Ce qui la rouillait d’autant plus.
Arrivée en face de Marlow, elle ouvra sa bouche et cracha sur son visage. Du sang gicla alors sur lui, teintant son sublime minois de ce liquide rouge qui longea depuis le haut de son front avant de se déverser jusqu’à son menton et de tomber sur le sol. Par la suite, de ses dents pourris, pointues et remplient de sang, elle continua à chanter de sa douce voix, alors que la scène semblait tout droit sortir d’un film d’horreur.
- Parle-moi de cette voix que tu entends, regarde-moi c’est moi qui te hante tout le temps. Ne te retiens pas d’hurler dans cette agitation. Débats-toi tel un oisillon, regarde-moi je te hante tout le temps.
Il réussit à se défaire de l’envoutement de la statuette, il tomba au sol, fléchi les jambes avant d’entamer sa course pour lui échapper, celle-ci le suivait, accompagné de sa pierre qui restait au sol à la suivre. Elle grinçait avec fraqua contre le sol lisse, elle tournait tout en sautant de ci de là pour suivre la trajectoire de la jeune enfant qui vieillissait de plus en plus en suivant Marlow. Le granite frapper même contre les murs tel une balle de ping-pong. La pierre réussissait à modifier la trajectoire de la fillette de 7 ans.
- Mais bordel ! C’est quoi ce bince qu’est-ce que je fou là moi !!! Pourquoi je me fais poursuivre par cette folle ? Sérieux ! pensa Marlow en courant tout regardant derrière lui la statue métallisé et en stressant car elle se rapprochait.
Il restait à fixer l’étrange objet qui le suivait, il avait cru voir non une statuette fait d’engrenages mais belle et bien un démon sorti tout droits des enfers afin de lui dévorer son âme.
Il regarda par la suite devant lui, puis brutalement il se fracassa violemment la tête contre le mur en face.
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