Le secret de Pandit-Wood 3
- Dis-moi Aïda… ton père… il réagit comment avec toi ? demanda Marlow en s’approchant du corps de Lïnda.
- Normal, répondit Aïda intriguée par la question, pour… pourquoi ?
Marlow partit une seconde fois dans cette étrange forêt, il regarda attentivement chaque mort, analysa chaque position du corps, aux totaux ils y figuraient dix-neuf morts, il regarda un homme massif, lui aussi se trouvé avec d’étrange marque vers ses attributs. Une femme restait tête en bas jambes tendus dans les airs, ses longues cheveux bouclés. Lorsqu’il vu la façon dont se trouver la femme, il se mit à tourner sur lui-même avant, d’être prit d’une évidence que jamais il aurait envisagé :
- Tout… toute ses personnes là ! hurla-t-il en montrant du doigts les morts, ils sont victimes d’impuissance !
Ne comprenant pas le moins du monde ou voulait en venir Marlow, Aïda se leva et marcha en direction de la forêt, elle s’engouffra dans la buée, les bois qui craquer sous son poids, elle fini par se stopper en fonçant contre Marlow :
- Tu veux dire quoi par-là ? interrogea la jeune femme d’une voix douce, qui se toucher le front.
- Ce sont tous des positions sexuelles ! Mm… mère ne les a pas tués pour rien… tous avaient de grands pouvoir y compris ta sœur… mais ils avaient tous subit des violences charnelles, continua Marlow… regarde bien Aïda, on a Hans qui se plaignez constamment de sa femme, il prétendait qu’elle lui faisait du mal, Hans était l’homme qu’il avait traversé le corps auparavant… mais personne ne la cru sous prétexte qu’il était trop gros, il y a Eliza qui avait porté plainte et qui avait dit qu’elle s’était fait violer par cinq gars dans une ruelle, c’était la jeune femme aux cheveux bouclé, puis ta sœur… elle a dut sans nul doute se faire …
- Non ! Non ! NON ! Ce n’est pas possible ! Tais-toi Marlow ! cria Aïda devant les nombreux faits.
- Le but de mère n’a jamais été de tuer pour tuer mais de donner une seconde chance aux victimes, expliqua le blondinet.
- Tu... tu es entrain de prendre la défend de ta mère là ? sorti furax la jeune femme.
Marlow ne dit plus rien, il sorti de la pièce et parti se changeait, pendant qu’Aïda essaya d’assimilait la théorie que son ami venait de lui dire. Puis, alors qu’il retira son caleçon et commença à mettre un nouveau, la jeune noiraude rentra en trombe dans la pièce, ce qui le fit sursauter.
- Je … je viens avec toi ! ordonna Aïda.
Il continua à s’habillait, remettant un nouveau pantalon du même style que l’ancien avec la même ceinture qui n’était pour l’heure pas salit. Il prit un t-shirt blanc, qui mettait en valeur sa carrure musclait au niveau des épaules, puis il se retourna, alors qu’Aïda restait à peine à 30 centimètres de lui. Il l’a regardé de haut en bas, avant de s’avançait et de lui octroyer une pichenette sur le front et de lui sortir :
- NON !
Sous ses dires, Aïda essaya de le convaincre, ce n’était pas pour lui qu’elle voulait partir à l’aventure. Ni parce qu’elle trouvait les cours trop ennuyeux, elle se devait de retrouver le corps de sa sœur pour qu’elle rentre chez elle et qu’elle puisse avoir un enterrement mémorable. Elle le devait et elle devait savoir qui avait bien pu lui faire du mal !
- Mais… pour… pourquoi ??? demanda Aïda.
Il sorti de la pièce avant de marchait quelque pas et il s’arrêta, pensivement, il regardait le sol, dans un timbre de voix doux et harmonieux il s’expliqua :
- En premier lieu, tu es encore en étude, en plus tu veux juste venir pour t’approchais de moi afin que je te pardonne de tous les atrocités que tu as balancé sur mon dos, sans oublier que tu vas me gêner et que tu vas finir par tomber amoureux d’un assassin !
Elle restait profondément choquée par les propos de Marlow, mais elle comprenait sans point de vue, toute sa vie, elle avait fait que de le mépriser, parce qu’elle on était persuadée qu’il allait finir comme sa mère, mais lorsqu’elle apprit que ça n’a jamais était le cas, et que l’homme avec qui elle passait la plupart de ses journées avait été le fils de cette sorcière, elle voyait plus clair, car son ex avait des réactions digne du plus cruelle des assassins, sert son cœur restait blessé par les comportement écœurant de sa mère, mais Marlow n’avait jamais rien demandé.
Elle fut frappée de culpabilité envers ce jeune blondinet, elle l’avait traité à mainte et mainte reprise de monstre, de tueur en série, d'assassin, elle l’avait toujours vu comme la pire des personnes existant sur Terre.
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