Le secret de Pandit-Wood 5
Cette façon qu’elle avait de lui répondre, l’énervé, mais malgré sa frustration, il restait calme, il savait qu’elle allait lui répondre tôt ou tard.
- Sache que je l’ignorais, je suis connectée à ton esprit pas à ton corps Marlow, expliqua l’enfant qui demeurait en face de lui.
- Espèce de salope ! Tu m’as manipulé pour que j’explose Yan ! hurla Marlow qui perdit son sang froid.
- Cela est très plaisant Marlow, car tu n’as pas essayé de reprendre le contrôle ! Donc j’en conclu que tu en avais envie ?
- Donc… on… tu as à la possibilité de contrôler véritablement mon esprit… souffla le blondinet avant de s’effondre à terre.
Il regarda le sol rempli de pierres, il analysé chaque disposition de pavés, il essayait de trouver une logique dans cette histoire, mais il n’y parvenait pas, comment c’était possible qu’un simple objet fait d’engrenages puisse le contrôler.
- Marlow, je ne peux pas te donner les réponses que tu cherches je n’ai pas le droit, tous ce que je peux te dire c’est que le pouvoir que tu détiens se base sur un système d’engrenages, donc pour simplifier, ton don permet de d’évoluer en fonction de la situation, par exemple, tu as déjà la capacité d’avoir une énormes persuasions en vers les personnes, ainsi tu détiens une force surhumaine électrisante et aussi tu as la possibilité de parler aux morts, c’est assez marrant, développa d’un ton calme et serein cette jeune fille à la voix douce doublé par le vent.
Le jeune homme était perdu, mais entendre la voix de cette être rempli de milles mystère l’apaisait.
Aïda observait la scène depuis le début, elle essaya de comprendre le comportement étrange de Marlow, mais la seule réponse qu’elle eut, fut que son ami était complétement fou, lorsqu’elle sorti de l’immeuble, elle le vu, hurlait tel un hystérique dans tout le village, elle n’osa pas s’approchait de lui, peur qu’il ne lui fasse du mal. Puis, lorsqu’il finit de parler seul, elle marcha d’un pas lent et sur ses gardes en direction du jeune micromécanicien.
- Mar… Marlow… ça… ça va ? demanda-t-elle terrifiée.
L’homme prit quelque minute, avant de retourner sa tête en direction d’Aïda, il observa son regarde qui était assombrit par le contre-jour. Lorsqu’il a vu, il se mit à rire, ce qui inquiéta la jeune chimiste.
Il se leva alors du sol doucement, toujours en riant.
- C’est… c’est la meilleure chuis… chuis possédé par un tas de ferraille, sorti Marlow toujours dans un état second, en balançant ses bras avant de les frappaient contre ses jambes.
Il fit alors trois pas en direction de la jeune femme, puis il s’arrêta à hauteur de ses épaules, il était à la fois pensif et débité, regardant toujours ses cailloux qui dansaient sous ses pieds, il souffla à l’ex de son cousin :
- Chuis … perdu !
Sous ses dires, le corps de Marlow lâcha et il tomba sur le sol.
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