Au grand départ 2
Il demeure là, au centre de cette pièce de salon, les mains en sang, la bouche remplie de se liquide rouge qui sécher sur sa peau et qui couler le long de ses joues avant de se projeter avec fracas contre le sol boisé. Sa main droite tenait encore l’organe qui venait d’être sorti d’un corps de l’une des victimes, cet organisme n’était rien d’autre que la pompe qui alimenter le corps de cet individu.
Ce souvenir s’effaça peu à peu de l’esprit de la jeune chimiste, laissant place à d’autre, il en venait tellement par milliers qu’elle n’arrivait pas à tous les mémoriser.
Puis, elle entendit les cris de la statuette, elle ressenti la terrible douloureux au crâne de Marlow. Elle vu ce qui c’était passé lors de la trêve.
Le jeune blondinet, demeurait possédé par cet étrange objet fait d’engrenages, tellement du reste qu’elle vu le reflet de la jeune enfant, au côté de son ami qui restait à regarder le sol, les larmes aux yeux, il entendait la jeune fille lui dictait ce qu’il devait faire, alors qu’en face de lui figurait un homme sur le point de lui planter sa lame en plein thorax.
Elle vu, le jeune Marlow âgé à peine de sept ans, se projeter dans les airs, attraper la jugulaire du vieil homme et d’hurler :
- MAIN… MAINTENANT ! VOUS ALLEZ ARRÊTER SES GUERRES !
Face à cet étrange souvenir, Aïda fut surprise, jamais elle n’aurait cru voir ça, un enfant s’opposer au chef de l’armée russe, mais lorsqu’elle vu se souvenir, elle restait questionnée par la couleur des yeux de Marlow, il était devenu jaunes.
- Donc… lorsque Aléa prend le dessus sur Marlow… ses yeux deviennent jaunes ! conclu la jeune chimiste.
Les commémorations commençaient à devenir de plus en plus présent, mais l’un d’eu l’intrigua le plus, se souvenir demeurait très étrange, il mélangeait à la fois les réminiscences de Marlow étant enfant et aussi lors de son adolescence lorsqu’il eut atteint ses douze ans.
Aïda vu le jour où sa sœur était venue voir la sorcière de Pandit-Wood, Marlow demeurait derrière la porte entre ouverte. Lïnda demeurait en pleure, elle hurlait dessus la mère adoptive :
- Pitié madame, je… je vous en conjure… j’ai besoin d’aider cet… homme… il me terrorise… je ne peux rien faire… il me veut du mal…, expliqua la jeune Lïnda à Ashley la magicienne.
La jeune femme écoutait avec attention Lïnda, puis elle ferma la porte. Les souvenirs devenus flou. À ce stade, elle senti alors que Marlow était attaché par des corps au niveau des poignets ainsi que les chevilles. Sa vue était recouverte par un tissu blanc. Elle ressentait la peur du jeune homme quand elle entendu les hurlements de sa sœur, qui crié à plein poumon.
Puis le souvenir se brouilla, elle vu Marlow dans une cour de récréation, elle demeurait présente dans se souvenir ci. Le blondinet essayait de l’invité au bal de fin d’année, mais comme à son habitude, elle l’avait insulté de tous les noms pour ne plus entendre parler de lui. Lorsqu’elle avait fait ça, le cœur de Marlow se serra, il fut dégoûté par tous son être.
- Non mais t’es malade toi ! Tu ne crois quand même pas que je vais parler avec un monstre comme toi ! Qui pour survivre se nourrit de sang HUMAIN ! hurla-t-elle sur lui.
- Mais…Aï…Aïda ce n’est pas ce que tu… crois… essaya de d’expliquait Marlow dans cette cour.
En voyant la façon dans elle avait réagi lorsqu’ils avaient tous deux quinze ans, elle comprenait, pourquoi Marlow ne voulait pas entendre parler d’elle, elle avait agi comme là-derrière des pestes avec lui, alors qu’il demandait juste qu’elle l’accepte comme il était. Un jeune homme victime d’impuissance à cause de sa mère adoptive.
Face à ce dernier souvenir, sa magie de guérison commençait à flancher, ses yeux verts revenait à sa couleur naturelle, puis alors qu’elle n’avait plus de force, elle entendu à ses côtés une voix douce et apaisante.
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