Au grand départ 8

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Là où il vit un petit garçon d’environ 7 ans qui resta caché dans des ruines d’un bâtiment, il était recouvert de poussière, qui teinté l’entièreté de sa peau de gris.


Les mains posées sur les oreilles, le garçonnet était paralysé par la peur. Il n’arrivait plus à supporter les bruits insoutenables des coups de feu. Chaque coup qui parvenait à ses tympans lui créait de terribles crises de panique. Ses larmes coulaient et teintaient son visage bronzé.


Face à sa réaction, Marlow se rapprocha à pas doux vers le jeune garçon afin de calmer ses peurs et ses angoisses, bien qu’il demeurait tout autant effrayé, il s’approcha d’un pas lent et recourbé sur lui-même, afin qu’aucune balle qui fusait telle une danse acrobatique rock, ne le touche. Arrivé face à l’enfant, Marlow s’accroupit dans le but d'être à hauteur de ses yeux et commença à essayer d’établir un contact avec, il lui frôla l’épaule, l’innocent regard de l’enfant se figea sur le sien, lorsqu’il reconnut l’apparence de son cousin.


  • PUTAIN, MAIS C’EST QUOI CE BORDEL ? pensa-t-il surprise.

Il recula, tomba sur le sol poussiéreux et entendit un violent coup de feu retenir dans ses tempes, il fut assourdi, on n'a rien de temps, il protégea ses oreilles lorsque la façade extérieure du bâtiment explosa en miette, des acouphènes lui parvenaient et dans ses sons insoutenables il entendu une personne lui parler :


  • Marlow ? Marlow ? Espèce d’imbécile, t’es encore en vie ? demanda le timbre doux d’une fine voix.

Il souleva alors le regard pour faire face à son interlocuteur, il revenu à lui, là où il figurait encore assis sur le sol, replier sur lui-même bras croisés sur ses genoux, en regardant la douce et tendre silhouette qui lui faisait face dans une robe, il s’attarda sur ses cheveux carrés et ondulés, il reconnut part cette coupe Aléa, qui flotter dans les aires.


Elle demeurait inquiète de son état, c’est pour cela qu’elle s’était approchée de chez lui et avez ainsi pénètre sa demeure de 4 pièces et demie.

  • Marlow, tu vas bien ?

  • Oui, ça... ça va Aléa... souffla peinement le blondinet.

  • T’es le roi des Abrutis ! Qu’est-ce qui s'est passé, monsieur a pris un shoot ? questionna la jeune fillette effrayée.

Le jeune homme fixa son interlocutrice, il était vaseux et voyait flou, il n’avait pas conscience de la réalité, pourtant, bien qu’il soit plongé dans cet état, il répondit à Aléa.

  • C’est étrange, on aurait dit que j’étais téléporté dans les souvenirs d’une personne, mais c’est pas possible, Yan était là, j’étais en pleine guerre, je ne comprends rien, expliqua perdu Marlow.

À l’entente de sa voix, Aïda et Yan rentrèrent dans la demeure, surpris de voir Marlow attristé et dans un état affligé.

  • Que ce passe-t-il Marlow ? demanda Aïda surprise de le voir dans un tel état.

  • Rien, ma belle, je vais bien, ne t'en fais pas, et vous, comment vous allez ? Vous vous êtes rabiboché ? renvoya Marlow en souffla-t-il avec peine.

Surpris de le voir dans un tel état, Yan s’accroupit et toucha Marlow afin de le relever. Lorsque cela se fit, il constata que Marlow avait de la fièvre.

  • Yan, dis moi... ta mère, t’es bien sûr que c’était la sorcière de Pandit-Wood ?

Surpris part la question qui était déambulée de sens, Yan souleva Marlow avec difficulté du au fait que sa main dominante était mise dans une attelle, et laissa alors tout son bras bloquer contre sa poitrine et protéger par l'éclisse médicale.


Yan et Marlow se regardèrent mutuellement avant que le blondinet ne s’effondre sur lui. Dans l’incapacité de le retenir, ils tombèrent tous deux au sol.


Aussitôt, ils touchèrent le sol, aussitôt, ils tombèrent dans le coma.

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