12 décembre 2023
Quand je ferme les yeux vous savez
C'est elle que je devine dans les ombres
Je vois sa bouche, ses yeux, son nez
Et la lumière dans ses pupilles sombres
Des fois, les yeux ouverts, je la vois passer
Juste comme ça, l'air de rien, elle marche
Et moi c'est tout mon monde qui est décimé
A coup de marteau, de pioche et de hache
C'est dur de vivre dans un monde où il n'y a qu'elle
Alors que dans le sien je ne suis qu'un intermède
Mais moi je pourrais lui offrir mes propres ailes
Car je suis le chêne qui survit à la tempête puis qui cède
Vous aimez lire Eijil . ?
Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.
En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.
Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion
Annotations
Versions