Ma vie commence !
Aujourd'hui c'est slamothérapie,
Je ne serai pas un slameur de rêve.
C'est un chemin pour devenir une reine.
Qui commence dans une boîte noire.
Non, pas un tunnel, pas route, pas sortie.
Nous voyons rien,
ils veulent qu'on soit aveugle.
De ma naissance à mes 22 ans,
Dans ce carré noir, immense et minuscule.
Aux limites des violences, d'ignorance, de rien, d'être la faute de tout, d'objet, de nul, de punching-ball.
Ses façades de merde,
que je dois croire.
Mais pas leur violence vicieuse et mesquine.
Faire le contraire vous sauvera.
Mon début vie,
Fait 2 sons, " P " et " N ",
acronyme de Perversion Narcissique.
Un trop jolie ensemble de mot,
pour énoncer,
des monstres pour toujours assoiffés.
Même s'ils ont tout à disposition.
Je ne savais même pas, qu'on pouvait,
être une caricature des recherches spycologiques.
Pour pouvoir cocher toutes les cases,
c'est exceptionnel !
Chez eux, pas limite.
Ce métamorphe éluder,
Qui crée à ses victimes,
non, sa victime, ou quelques victime.
Peu mais ils choisissent bien.
PN aime nos atouts et en déteste d'autre.
Alors ! Ils enferme.
Petit à petit dans un cube
Sombre, étouffant, écrasant, lourd, poignardant.
Des coups passives agressives,
et parfois vif.
Des coups physiques, spycologiques, émotionnels.
Ma vie de princesse
que tout le monde veulent voir.
Cette vie heureuse ipnotique.
Entouré d'une fausse famille,
et de faux amis.
Qui on aimé me poignarder.
Espérer puis retomber.
Tous gens que je connais,
aime me voir souffrir.
Je les aimai, pourtant.
Mal éduqué,
façonné aux envies des PN,
pour les nourrir sans cesse.
J'ai appris à aimer, à donner, à faire plaisir.
Tout, pour le bonheur de l'autre.
Rien en retour, ah... si, l'égoïsme.
J'ai appris à ne pas me défendre,
à cause de ce type de phrase,
reçut enfants :
" Ne te protège pas, tu me donne envie d'en faire plus "
Personne de gentil pour m'apprendre.
Pas d'amis pour m'abriter.
Tous joyeux, rigolaient et me blessaient.
Je ne suis rien, pour eux,
rien pour personne.
Je suis nul, je ne vos rien.
Et plus connections.
Mais ces pierres lourdes,
qui m'on données.
De ma souffrance, l'envie de fuir, d'en finir.
J'ai créé des ponts et des escaliers.
Ma vie est rythmé par manipulation et destruction.
De mes petits frères et soeurs, à mes amis.
Je devais être détesté.
Tout est de ma faute !
NON ! C'est eux !
Le personnage que je devais être,
doit être seul.
Avec un coprs et un esprit qui se laissent battre.
Des nerfs qui encre les douleurs,
des points, des tirages de cheveux et du corps.
Ma résilience, mon envie de vivre, de liberté, d'être bien, de faire ce que je veux.
Mes techniques pour êtres simplement tranquille.
Les embêtaient beaucoup.
Alors, punition par manipulation des autres, spycologique, de tout.
tout est caché, pas un mot.
Donc problème, ouvrir les yeux.
Je devais être seul,
ils devaient se sentir au-dessus de moi.
Les symphonies de blessure,
je les est prises, pour en faire des escaliers et des ponts.
Retrouver ma connections,
les yeux grands ouvert, avancer.
Ma vie de Zombie, ma vie de fantôme allais s'achever.
Par la peur de quelques numéros de téléphone.
Mais avant faut tout sortir.
cri, colère, larme, effondrement, douleur.
Pour me façonner ses morceaux de pierre,
qui bâtit escaliers et ponts.
Ces, je ne t'aime pas pour amener ton sac à l'infirmerie.
Ses métamorphes adorables, très sociables,
à l'atmosphère flim d'horreur de démon.
Lourd et traqué
jusqu'à ta possession, ta mort.
Ces vampires, leurs venins cracher paranoïquement.
Quand tu veux partir, et faire ta vie.
À ses mots après ma tentative de suicide.
Quand la goutte de trop, te scelle.
Après l'hospitalisation, vien la facture :
20 euros et 21 centimes
" t'es trop chère, tu as vue se que je dois payer pour tes conneries "
Toutes ma famille, mes petits frères et soeurs, malvoyants de cette violence.
Juste une fois,
j'ai empêché ma mère.
Et j'ai vus ses yeux de meurtrière.
Mon frère me frappe et m'étouffe par terre.
La lèvre saigne.
Mon père jean-foutisme ,
annonce à cette petite fille :
" Tu souris le matin, t'es folle "
Une table convaincut, aux sourir narquois.
Ses gens qui mon tout volé, enchaîné.
Pris tout ce que j'aimais, sans remord.
De mes yeux scintillant
jusqu'à la nourriture.
Presque anorexie par défaut.
Je ne méritais rien, je ne valais rien.
Cette emprise comme un jouet, un pantin.
Mais ces derniers, ce sont fissuré,
et créé des pierres lourdes.
Aux crie de mes muscles,
j'ai fondé ponts et escaliers,
avec seul soutient une connection.
J'ai souffert,
tout le monde soufre.
Il n'a pas d'échelle.
Nous sommes tous unit
à nous aider, pour ce relever.
Moi, j'étais méchante pour eux,
Afin de me donner des coups.
Je suis devenue méchante pour leur univers malsain et sombre.
Avec ma vie, mes valeurs
qui n'ont pas volé.
Je suis devenue Reine,
douer, intelligente, belle.
Je crois au bisousnours, à l'amour, bienveillance, la tolérence, la liberté, à la bienséance.
Qui les meurtris.
Comment me retrouver, nous retrouver.
Ça ! Je ne sais pas encore,
ma liberté viens juste de commencer.
Mon vrais apprentissage de la vie, de la société, ma culture débute.
Je veux donner aux âmes amour et bonheur.
Donner des sourires et des rires tout les jours.
Et je suis bien plus humaine,
que ceux qui oublie,
que chaque être à souffert.
Table des matières
En réponse au défi
Slamothérapie
Le slam est un texte orale, qui s'écoute, mais pour le créer, nous pouvons passer par l'écrit. C'est un bon commencement, renplie de courage.
La slamothérapie, aide à exprimer des émotions et des douleur enfouies, pour avancer libéré et créer ensuite le bonheur, la douceur !
À vous de jouer ! À vous de slamer ! Vos paroles sont des valeurs !
Commentaires & Discussions
Slamothérapie - Ma vie commence | Chapitre | 2 messages | 3 ans |
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