COUP DE THEATRE
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Une odeur nauséabonde se dégage du corps putride de l’animal. Dépouillée de sa chair la plus fraiche, la carcasse, désormais indéfinissable, attire toujours plus d’insectes et de charognards. Ils dévorent chaque centimètre, chaque parcelle de la bête. Et dans un temps incertain, la dépouille aura totalement disparu, ne laissant aucune trace du passage de la Mort, qui pourtant, orchestre inlassablement dans son plus bel apparat, sa meilleure mise en scène !
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