Chapitre IV - Des nouvelles inattendus - partie 2

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La sonnerie du téléphone vint couper le monologue de Anh... Que se passait-il ? Quel était ce mystérieux son ? Pourquoi Mendez l’appelait-il avec 3 motifs de priorité téléphonique dont celui de « confidentiel » ? Tant de questions qui traversaient son esprit tandis qu’il se préparait à prendre l’appel vidéo.

Il s’installa au dernier tic devant sa caméra et effleura rapidement le bouton avec son empreinte.

Un hologramme en deux dimensions apparus devant lui, Mendez était dans le Laboratory of Universe du Space Center.

 

- Docteur Bradley. Vous êtes requis d’urgence sur une enquête. Les gars du Labo sont surmené et...

 

- Est-ce en rapport avec « ce matin » ?

 

- Secret d’état, je ne fais que respecter le protocole. D’autres questions moins... intrusives ? 

 

- Pourquoi m’appeler uniquement pour les décharger de leur travail, quelle est la raison pour laquelle tout ce travail ne peut-il pas attendre ?  

 

- Il ne peut pas attendre. Mendez chuchota. Je vais être très clair. Nous avons besoin de vos capacités intellectuelles et de la base de données de vos « filles ». Je pourrais mettre deux-cents idiots comme eux en plus... Il toussota pour couvrir ses paroles ... sur cette affaire, rien ne se passerait... Jefferson, je vous en supplie. Il serrait légèrement des dents tout en essayant de continuer à chuchoter... bougez votre cul au lieu de me faire votre blabla de... bordel ! ...

 

Suite au silence régnant autour de lui, Mendez se retourna dans la direction des postes de recherches vers lesquelles visiblement plus personne le Labo n’avait les yeux rivés. 

 

- Et vous ?! Ne me regardez pas comme des idiots. Travaillez un peu... Bon sang. J’écoute moi les appels de vos nanas qui vous racontent nani nana ? Non ! Et Bah c’est pareil quand j’passe un coup de fil de routine. Bon dieu.

 

Il reprit ...

 

- J’ai besoin de me couvrir de honte à nouveau où vous vous ramenez amigo ? J’ai des tonnes de médias, des tas de types lourdingues sur le dos. On a besoin de répons... de vous, prestement.

 

Bip bip bip

Jeff n’avait pas bougé. Cela m’énerve ! se dit-il bien qu’il n’était pas tout à fait sûr que cela l’agace. Cela ne l’embêtait pas le moins du monde en réalité. Il était plutôt enjoué et excité à l’idée d’être un chercheur important qu’on appel pour résoudre des énigmes. Il allait enfin se passer quelque chose dans sa vie. Il s’habilla, récupéra la puce d’Altaria et se hâta dehors. 

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