Chapitre Un : à travers le miroir.
« Au delà des valeurs Humaines »
Auteur : Florian Pierrel
Chapitre Un : à travers le miroir …
Je me nomme Aurélie, j’ai dix-sept ans et pleins de rêves.
J’ai toujours aimé travailler, montrer l’exemple en ce monde où le respect n’existe plus.
Où les Hommes préfèrent la guerre que la paix.
J’écris des essais philosophiques mais ce ne sont que des mots.
Et si ce monde Utopique existait ?
Quelques parts dans ce vaste univers, dans ces galaxies lointaines.
Et si les rêves n’étaient réalités ?
Ma mère est divorcée et je la vois rarement.
Je vis seule, indépendante et mûre.
Je m’interroge tellement sur cette planète, la vie, la mort, la jalousie, nous même …
Et si nous étions l’étincelle qui changerait le monde ?
Qui suis-je ? Les séniors donnent des leçons, les jeunes font leurs premières bêtises.
C’est quoi l’éducation ?
Et si tout ça ; étaient cachés en nous dans l’âme l’esprit ?
J’ai des amis lesbiennes et gays et pourtant ; ils sont heureux ? Mais qu’est le bonheur si sommes nous des êtres éphémères ?
J’existe pour quelles raisons ?
« Aurélie, viens vers nous … viens. Tu auras toutes les réponses, on te le promets. »
Je me retourna, j’entendis une voix assez médiane.
« Qui est ce ? »
« Les réponses, les réponses ... »
« Où êtes vous ? »
Je vivais seule donc dans la profonde solitude, ma mère fut peu présente et mon père était en prison.
« Viens vers nous, nous te montrerons la vérité. »
« Quelles vérités ? »
« Le monde auxquelles tu imagines, ton Utopie. »
« Qui ... »
Je m’avança vers le miroir du salon. Je vis mon reflet.
« Tu es Aurélie. »
« Que me voulez vous ? »
« Te montrer le monde dont tout êtres désirent. Du moins ceux qu’il en est. »
Je parlais à un miroir, je me croirais dans « Alice aux pays des Merveilles ».
« Dépêche toi, le temps presse ! »
« Ah bon ? »
« Oui car tu verras tout de tout, l’inimaginable, comme l’irréel. Tu verras Hitler, comme Staline comme Louis XIV. »
« Mon pays. »
« Non le monde, le paradis et l’enfer. Avance, allez. »
« Mais … Ah ! »
Je fus emportée dans le miroir, comme aspirée.
Je fus projeté dans le pire de l’Homme, je n’étais qu’un esprit parmi ces vivants.
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