Chapitre 9
— Bon, comment fait-on ? demanda Tommy.
— Et bien la dernière fois, Octavio m'a soulevée pour mettre sa queue dans mon vagin.
— Avant, je pourrais le voir ? Je suis vraiment curieux de savoir à quoi ça ressemble.
— Oui, si tu veux. Enfin, je peux te tutoyer Tommy ?
— Oui pas de soucis.
— Octavio, tu pourrais mettre le tapis et les coussins que tu as apportés ? demandai-je.
Une fois tout installé, je me mettais confortablement sur le dos. Tommy s'approcha pour regarder cette partie de mon anatomie qui lui était inconnue. On aurait dit un enfant devant une bête étrange, découverte au détour d'une promenade. Il l'effleura du bout des doigts, en ayant pris soin de me demander l'autorisation. Comment pouvais-je lui refuser ce plaisir. Surtout que j'en avais très envie.
— Regarde Octavio, tu avais remarqué que c'était tout mouillé ?
— Et bien la dernière fois, je n'ai pas eu le temps de regarder, mais il est vrai que je l'ai senti avec mes doigts, répondit-il.
— Tu peux venir aussi voir, ça ne me dérange pas.
En réalité, je n'attendais que ça. Toutes ses sensations nouvelles étaient très agréables. J'avais envie qu'ils jouent avec moi, qu'ils m'explorent. Je voulais aller à la découverte de mon corps avec eux.
— J'aimerais bien faire un bisou dessus, dit Octavio en regardant mon anatomie.
— Si tu veux.
L'idée même de ses lèvres chaudes sur l'entrée de mon petit trou explosa en moi. Octavio approcha son visage de mes cuisses, pour déposer un baiser sur mes chairs lisses.
— C'est très étrange cette odeur. J'adore. Je pourrais y goûter.
— Oui, dis-je d'une voix étouffée par l'émotion.
Octavio attrapa avec sa langue un peu de ce liquide que je sentais couler entre mes jambes.
— Hummm, c'est bon, comment appelez-vous ça ?
— Je ne sais pas, c'est... enfin d'habitude il n'y en a pas autant. Alors on ne lui donne pas de nom, répondis-je.
Tommy regardait Octavio me lécher de nouveau, mais n'osait pas demander si lui aussi pouvait essayer.
— Octavio, tu pourrais laisser Tommy goûter à son tour, je crois qu'il n'ose pas demander.
— Ah oui, dit-il déçu de devoir arrêter.
— Si tu veux, je pourrais moi aussi faire des bisous sur ta bite, pendant que Tommy...
— Oh oui, j'aimerais bien.
Alors que Tommy découvrait à son tour, le goût de mon vagin. Octavio approcha à genoux devant mon visage et ouvrit son pantalon pour sortir sa queue.
— Je pourrais te poser une question, Octavio ?
— Oui bien sûr.
— Comment s'appelle le petit chapeau au bout de ta queue.
— Un gland.
Faisant glisser ma main le long de son manche une petite goutte translucide perla par sa petite fente.
— C'est ça qu'on appelle le sperme ?
— Je n'en sais rien.
— Je peux goûter ?
— Oui bien sûr.
D'un coup de langue, je lapais cette petite perle. Elle était légèrement salée et douce.
— Oh, ton membre a bougé, tu n'aimes pas ?
— Si si au contraire, tu peux continuer, c'est très agréable.
Alors avec ma main de nouveau, je fis des va-et-vient pour faire sortir de nouvelle petite perle de gland. Il fallait bien que je leur donne un nom. Un coup de langue, puis un autre et encore. Petit à petit, sans m'en rendre compte, sa queue était entièrement dans ma bouche ce qui semblait faire beaucoup de bien à Octavio. Tommy quant à lui continuait à jouer avec mon vagin. Je sentais sa langue parfois y entrer et j'adorais ça.
— Tommy, si tu veux, tu peux mettre ton manche dans mon vagin, tu vas voir, c'est très bon.
Immédiatement, il se redressa et me pénétra. Hummm... Que c'était agréable. Je perdais déjà le contrôle de mon corps, qui agissait tout seul maintenant. Les yeux fermés, je ressentais les caresses, les odeurs, les bruits de nos corps. Cette chaleur qui m'envahissait comme la première fois. Mon corps était électrique, comme une joie intense. J'étais excitée, c'est ça... cette sensation que je cherchais à comprendre depuis cette première fois avec Octavio. Elle était tellement forte que je ne l'avais pas reconnue, mais c'était ça... de l'excitation et elle me submergeait par vague. Et au bruit qu'Octavio et Tommy faisaient, eux aussi ressentaient la même chose que moi.
Je n'en pouvais plus, une explosion m'envahit et j'abandonnais un instant la queue d'Octavio qui se mit à cracher de longs jets blancs sur ma poitrine. Tommy, le visage déformé, ralentit à son tour le rythme de son bassin en laissant échapper de longs soupirs de contentement.
— Oh La Vache, dit Tommy. C'est le truc le plus divin que j'ai jamais fait.
Tommy et Octavio vinrent s'allonger à côté de moi.
— Je crois que ce que tu as sur les seins, c'est ça qu'on appelle le sperme, dit-Octavio.
Tommy, qui était encore essoufflé par cette explosion d'excitation, tourna le visage pour le voir.
— Je n'imaginais pas ça comme ça, dit-il. Et maintenant tu as de quoi essuyer ?
— Ah non, je n'avais pas pensé que j'aurais besoin d'un gant de toilette.
— Je crois que j'ai des mouchoirs dans mon sac, dis-je.
Octavio se leva, pour y fouiller et trouver de quoi m'essuyer.
— Bon, à part ça, quand recommence-t-on ? dis-je.
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