— Tu sais, Tommy, que j'ai beaucoup pensé à toi... à vous cette semaine, corrigeai-je.

— Et bien moi aussi et c'est vraiment bizarre, à chaque fois ma queue devient dure. Comme maintenant.

— Ah, c'est ça que je sens contre mes fesses.

— Oui.

— Et ça te fait mal ?

— Non, au contraire, c'est plutôt agréable.

— Au fait Edwina, tu veux voir, ou toucher ?

— Je ne sais pas.

— C'est étonnant, toi qui es si curieuse d'habitude. Écoute reste assise là et c'est moi qui m'occupe de tout.

Je me levai et contournai la chaise de Tommy.

— Pour commencer, je vais te montrer son torse. Tu verras qu'il est déjà très différent du nôtre.

Délicatement, je glissai mes mains sous son tee-shirt, pour le relever et faire découvrir à Edwina ce torse musclé que je désirais tant.

— Tu vois, il n'a pas de poitrine, mais son corps est très musclé. Regarde comme c'est joli et bien dessiné. Tu veux toucher ce corps ferme ?

— Non, je te laisse faire, Naïa. Pour l'instant, j'observe.

— Ouvre ton pantalon Tommy, pour que je ne cache pas la vue à Edwina.

Un à un, Tommy ouvrit ses boutons pour découvrir un slip tendu par sa queue gonflée.

— Vas-y montre lui.

Il tira sur le tissu et fit apparaître son membre érigé vers le ciel.

— Allez, viens voir. Tu verras, c'est étonnant la peau est comme un fourreau qui glisse... enfin viens, c'est trop dur à expliquer.

Edwina s'approcha enfin de nous et vint se placer devant Tommy. Mais elle était encore tétanisée. Pour la rassurer, je me mis à côté d'elle, pris sa main et me mis à genoux.

— Tiens, touche, dis-je doucement en accompagnant sa main sur ce manche qu'elle découvrait pour la première fois.

— Ça ne lui fait pas mal, que la peau glisse comme ça ?

— Regarde, lui susurrai-je à l'oreille. Tu vois sur son visage de la souffrance ?

Voyant qu'à chaque va-et-vient Tommy fermait les yeux de plaisir, elle fut prise d'un léger fou rire.

— Désolé, c'est nerveux, dit-elle en voyant l'air surpris de Tommy.

— Regarde Edwina, Octavio à l'air un peu déçu qu'on ne s'occupe pas de lui non plus. Tu veux jouer avec nous Octavio ?

Octavio fit un simple oui de la tête, comme un enfant intimidé. Je pris Tommy par la main pour le faire asseoir sur le canapé et demandais du regard à Octavio d'en faire autant.

— Que diriez-vous que je joue avec Tommy et qu'Edwina puisse le faire avec Octavio.

Tout le monde avait l'air d'accord, même si je voyais sur le visage d'Edwina encore un peu de tension. Octavio, qui l'avait remarqué aussi, s'approcha d'Edwina et la fit s'asseoir sur le canapé.

— Laisse-moi m'occuper de toi, Edwina. Tu veux bien ?

Octavio avait, par ses simples mots, rassuré Edwina, dont le visage s'était illuminé d'un large sourire. À genoux à ses pieds, il souleva délicatement sa jupe pour attraper sa culotte et la faire glisser jusqu'à ses chevilles. Je voyais enfin les premiers émois sur le visage d'Edwina. Elle découvrait à son tour les délices de ces jeux pleins d'excitations.

Laissant un instant ce spectacle, je retournai auprès de ce corps à demi nu. Cette peau brûlante appelait mes caresses et mes baisers. J'avais besoin de lui, c'était une évidence. Libérant un peu plus sa queue en glissant son pantalon sous ses fesses, je pouvais désormais la voir dans toute sa splendeur.

Octavio était maintenant en train de goûter aux lèvres humides d'Edwina, qui pourtant fixait ma main qui glissait le long de la queue de Tommy. Je voyais à son regard gourmand qu'elle voulait aussi branler ce membre ferme. Alors j'accompagnai sa main pour lui permettre de me remplacer dans ce mouvement sensuel.

Observant ce spectacle et les premières gouttes qui sortaient de la petite fente, j'eus l'envie irrépressible d'y goûter. Ma main accompagna encore celle d'Edwina quand ma langue vint lécher ce gland qui pleurait de plaisir. Comme un cornet de glace, j'en faisais le tour. Comme un cornet de glace, je sentais la douceur sur ma langue de la crème.

Mais déjà, je vis la main d'Edwina perdre le contrôle de ses gestes. Octavio était en train de lui dévoiler ce nouveau plaisir que nous avions découvert, il y a quelques semaines. Sa respiration devenait plus intense. De petits grognements sortaient de ses entrailles. Sa main commençait à se crisper sur le membre de Tommy, il était donc plus raisonnable de le libérer de son étreinte.

Quand enfin un cri sorti de sa bouche, sa main agrippa violemment le tissu du canapé. Elle chantait son plaisir et c'était merveilleux. Mais moi aussi, je voulais ressentir cet intense bien-être, alors je retirai mon short et ma culotte pour venir me glisser sur la queue de Tommy. Là, face à lui j'étais à ma place, ses yeux dans les miens, son sourire merveilleux. J'avais envie de poser mes lèvres sur les siennes. Mélanger ma bouche à la sienne, comme nos corps qui se mélangeaient. Il caressa doucement mon visage, effleura ma bouche avec son pouce et enfin posa ses lèvres sur les miennes. J'étais entièrement à lui. Il me possédait. Mon cœur battait à tout rompre. Je n'avais jamais ressenti un bonheur aussi intense, qu'à cet instant.

Mes yeux fermés, je pouvais sentir sa langue dans ma bouche et sa queue dans mon antre. J'avais attendu toute la semaine ce moment et j'étais déjà au bord de l'explosion.

Oh Tommy, fais-moi du bien !

Une douce chaleur commença à irradier dans tout mon corps, ce corps dont je perdais le contrôle. Ce corps était en train d'exploser de plaisir et à mon tour, je me mis à crier ma joie.

Ayant complètement perdu contact avec mon entourage, je n'avais pas pris conscience qu'Octavio avait fait découvrir à Edwina le plaisir de la pénétration.

— Alors Edwina, ça t'a plu ? demandai-je.

— À ton avis, dit-elle avec un large sourire de contentement.