La conscience de Théopharne nourrissait de saines ambitions pour son protégé, elle le menait à travers mélancolie et désespoir dans les tréfonds de sa personnalité refoulée : elle lui disait ainsi par intermittence : « Théopharne, tu possèdes la force pour nous rendre heureux. Sache que tu as du chemin à parcourir avant ta libération des chaînes de ton vécu impersonnels »

Théoppharne savait très peu de choses sur lui-même, se doutait qu’il devait, comme le mentionnait son aura protectrice, changer de cap et se conformer à ses propres inspirations.

Pourquoi, lui, était-il si préoccupé ? Pourquoi une jeune carrière et un avenir à la recherche de lui-même l’incitait à se ramener à son spleen, tout à fait dans l’air du temps ? Les sincères éphémérides de son être le chassaient de son air débonnaire pour un air plus bouleversé, plus ballotté.

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Peine perdue : le déchaussement cérébral, la violence de son psyché (des moments d’obscures soucis perpétuels), crucifiaient pléthoriquement son parchemin de vie faiblard ; les tentacules récipiendaires des responsabilités trouvaient, en Théopharne, le nœud de leurs tracas.

Mais, de volonté vaine en errance, tête dans les étoiles, sa disposition insidieusement pantouflard, extrapolaient des périls de vie poussiéreuse (de dépendance) que Théopharne ne pouvait résorber sans l’aide d’un proche.

Son penchant : pour capturer l’invraisemblable ; progresser vers un souffle de fortune ; et permettre à sa symphonie intérieure parfaite de veiller le sourire sur ses lèvres entre sa débauche notoire et sa dévotion aux actions bien faites, pouvait permettre aux yeux de ses parents de se rendre compte de l’appel à l’aide et de l'emmener voir la Vrama pour annihiler les forces perturbatrices, des véritables tortures de l’esprit.