— ALBRACADABRA !!! s’écrièrent alors les héros et le cousin de la cheffe.

Et le QG se transforma littéralement (rassurez-vous, le seul responsable est Albracadabra, les autres ont dit la formule juste pour le côté stylé) en énoooorme salle pleine de gens (des Albamiens en masse), de musique, de bouffe et d’alcool bien sûr !

— JOYEUX ALBANNIVERSAIRE !!!

La cheffe pleura d’émotion devant ce qui allait être le plus bel anniversaire de sa vie (et aussi car elle était très beaucoup soulagée que ses amis ne l’aient pas oubliée).

La soirée fut riche en retrouvailles et rencontres. Alba sauta dans les bras de son frère ALBADASS, puis ce dernier écrasa serra les mains des GARC (sauf celle de Paulette qui se rappelait trop bien sa dernière rencontre avec lui, un an presque pile poil auparavant).

— Tiens, salut Albabruti ! fit la cheffe.

— Salut, nocodéphale, le salua Maurice, ce qui eut pour effet immédiat de faire fondre les 1,5 neurones (encore moins que Georgette !) de l’Albamien.

Maurice sympathisa avec un dénommé Albarbare qui lui enseigna quelques méthodes de torture, tandis qu’Albaston leur faisait une démo de ses superbes crochets du droit et autres uppercuts. De leur côté, José tomba sous le charme d’Albad-boy, Paulette faisait un tour avec Albalade et Georgette buvait les paroles d’Albaratineur. Puis Albarbie passa devant Maurice qui resta stupéfait devant une telle superficialité beauté. Il tenta quelque chose comme :

— Eh mademoiselle, t’es albattirante, tu veux une glace à la menthe ?

Pour des raisons de confidentialité, l’échec la suite de cet épisode ne sera pas racontée.

Puis les héros croisèrent Albac qui leur lança un regard méprisant. C’est alors que résonna une voix tonitruante :

— MA CHÈRE PETITE FILLE ! JE SUIS CONTENTE DE TE VOIR !

— Moi aussi, lui répondit Alba avec un grand sourire, tandis que les autres se regardaient, effrayés.

— Albatte-de-baseball… bredouilla Maurice.

— Ah tiens, tu as emmené tes amis indignes des Albamiens…

— Enfin, grand-mère, ils sont gentils quand même, tu sais…

— Bonjour, jeunes gens, lança la terrifiante Albatte-de-baseball.

Les GARC se recroquevillèrent en marmonnant un vague bonjour.

— Voyons, jeune homme, combien font 7 et 5 ?

Le vaillant héros compta sur ses doigts, mais il n’en avait pas assez alors…

— Z’est bourdant albacombligué, fit un Albado (enrhumé pour les besoins de l’histoire).

— Je dirai même plus, c’est Albasique ! fit Albasique.

Dans sa grande gentillesse, Paulette vint à la rescousse de Maurice et lui prêta deux doigts.

— Ça fait 12 ! s’ecria-t-il alors avec un grand sourire.

Après une expression du visage qui ressemblait plus à du dédain qu’à une approbation, Mamie-terreur s’éloigna et les GARC se détendirent.

Au milieu de la soirée (ou plutôt au milieu de la nuit), il y eut soudain une grande animation : quoi de mieux pour fêter un albanniversaire qu’un match de....ALBABY-BASEBALL !!!!

(flemme de le raconter, laissez libre court à votre imagination : un gentil match tout doux ou un albaffrontement de brutes, vous choisissez. Sachez tout de même que la deuxième option est la plus proche de la réalité.)

Et vous ai-je dit que José et Kaka (re)rencontrèrent Albar et ne le quittèrent plus de la soirée ? D’ailleurs, Georgette tenta d’ajouter Maurice à ce club d’albalcoolytes mais ce fut vain.

(La narratrice a très envie d’intégrer une bataille au vu de tout le vocabulaire albamien qui s’y prête alors elle va le faire, en partie pour masquer son manque d’inspi…)

C’est alors que, dans une entrée fracassante, arriva l’invité surprise.

— JE SUIS DRACO (ouais un problème ?) RONAVIRUS ET JE VIENS TRANSFORMER CET ANNIVERSAIRE EN CLUSTER MOUAHAHAAAA !!!!

Ce qu’il ignorait, c’est que les Albamiens étaient des albattants d’une force et d’un talent albadmirable et albahurissant jamais albatteint.

Ce fut l’albranlebas de combat. En première ligne, les plus redoutables combattants, notamment Albagarre, Albaston, Albarbare et bien sûr, ALBADASS et la terrifiante Albatte-de-baseball. Ils étaient épaulés par des tireurs d’élite qui tiraient des alballes, lesquelles albatteignaient presque tout le temps leur cible. Bien sûr, les GARC se jettèrent également dans l’albataille, albarmés de leurs aiguilles de triko, bouteilles de bière, katana, albaccent italien (ah nan, c’est vrai qu’elle peut josetter, aussi…) et esprit machiavélique (obligée de le reconnaître). Le combat faisait rage, Draco était un odieux connard puissant virus qui semblait bien résister aux attaques. Mais c’était sans compter Albracadabra et sa famille. Arrivèrent Albarry-potter et sa bande. La courageuse Hermione (son seul défaut étant qu’elle ne commence pas par un préfixe albamien) se positionna devant Draco et lui envoya un merveilleux poing dans la gueule, exactement comme dans dans Albary-potter et le prisonnier d’Albazkaban. Ce fut un rude coup porté à la puissance du méchant. Tandis qu’il se relevait péniblement, Albatte-de-baseball lui en foutut une sur la nuque qui craqua dans un craquement mélodieux. Puis la Mamie-terreur, albalias Mamitraillette bah euh le mitrailla.

Fin de Draco Ronavirus. Ne jamais sous-estimer les mamies.

— On a buté un virus de plus, si c’est pas un beau cadeau, remarqua José.

— Parlant de cadeau, intervint la narratrice, comme j’ai pas vraiment (comprendre pas du tout) d’idées, bah euh hein. C’était la plus belle fête de ta vie que d’abord ! Pis on va dire que tu voulais pas de cadeaux puisque ceux de l’an dernier t’ont traumatisée… Tu m’en veux pas, hein ? Je t’ai fait une super fête, oublie pas ! Ou plutôt, tes débiles préférés t’en ont organisé une…

Et pour finir sur une note joyeuse, José et Kaka, qui avaient profité de la soirée pour se mettre une énoooorme race, partirent vomir un bon coup dans deux albassines. Elles étaient comme qui dirait albourrées...