Le parlement de Londres
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Les ténébreuses dents perversies,
Du Parlement, triste perfidie,
Dilacèrent, d'un paraitre amer
L'éden nuancé, révolutionnaire.
Londres, à l'aurore de sa genèse,
Au crépuscule d'une vie niaise,
S'éveille sous un soleil songeur,
S'endort sous le silence gouverneur.
Dans le fin raie lumineux de fard,
Le pittoresque ton non blafard,
Anime d'une vigueur neuve,
Le brouillard hébété, jouant l'acteur
Par delà l'immensité du fleuve,
Il s'efface, sous le ciel empereur.
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