« Je n’ai pas dit mon dernier mot ! » Affirma Lléna ambitieuse.

« Légound Volvad ! Picas Liépas ! » Ajouta le président.

Lléna contra ces attaques assez virulentes et sournoises.

Vingt cinq minutes plus tard, elle l’acheva.

Un mage du conseil apparu d’un nuage de fumée.

« Vous le payerez ! »

« Vous savez pas à qui vous avez à faire. » Ricana Lléna.

Lléna fut applaudit par la foule d’apprentis et de ces soldats formés.

Ils expliquèrent le duel à toute l’armée.

Lléna eut un banquet entier par l’armée et payés par eux.

« Longue vie à Lléna ! »

« Longue vie à Lléna » symphonisa la foule de soldats.

« Le travail paye. Vous verrez plus tard ... »

Il y avait des poulets, du riz, des scarabées et des tas d’autres choses plus ou moins dégueulasses !

Un nouveau soldat arriva en retard, sa beauté éblouissait Lléna.

Elle le fixa quelques secondes.

« Je m’appelle Otomi, désolé du retard. »

« C’est pas grave. » Ajouta Lléna.

L’entraînement reprit, Lléna guida Otomi.

« Vous êtes charmante. »

« Je ne suis pas là pour trouver l’amour, je suis là pour guider mes soldats vers la victoire. Nous sommes une équipe plus de cent. »

« Je vous comprends, nous sommes là pour défendre le monde. »

« Exactement. »

Puis un petit homme courut et donna une lettre à Lléna.

« Le conseil vous déclare la guerre, vos soldats ne feront pas le poids.

Cela se passera en pleine ville, si vous refusez, nous dissoudrons vos armées.

Ne prenez pas ça à la légère.

Signé le vice conseiller Rééric. »

« Levez-vous armée, nous devons affronter une trahison. Le conseil m’avait formé et puis là font volte-face ! Je l’ai avais aidé et donné de l’argent pour permettre à ces armées de vivre et d’exister. »

« Longue vie à Lléna ! »

Parédos intervînt.

« Non Parédos, c’est pas le moment, nous devons vaincre ces lâches du conseil. Ils ont changés, j’en suis choquée. »

Dans la ville, la nuit était là.

Lléna accompagnés de ses armées, dix divisions, des apprentis et expérimentés.

« Enfin bon … »

Un conseiller près du building sortit.

« Lléna, on vous attend au dernier étage. »

« Moi seule ? »

« Oui ... »

« Je croyais qu’ils voulaient la guerre. »

« Entrez, ils vous attendent. »

« C’est un piège. » Lança Régnac.

« Restez là. »

« Reviens vivante ! Longue vie à Lléna ! »