Les mots me manquent pour transcrire l’indicible, mon amour pour mon épouse et nos enfants - nos deux si précieux trésors -, ils n’existent même pas. Alors sachez, Laëtitia, Victoria et Vincent, que je vous aime, et que sans vous, rien n’est possible…

Je voulais aussi remercier ma muse, celle qui ne le sait pas, Vanessa, merveilleuse femme et artiste avec laquelle j’entretiens une Divinidylle platonique à sens unique… Parce que tout en elle m’inspire.

Et puis merci à toi, lecteur, d’avoir fait un bout de route en ma compagnie. Je t’ai invité dans mon univers au fil de ces pages, j’ai partagé avec toi ces quelques histoires que mon imagination égrène pour colorer un peu le gris des rues. Puisses-tu avoir fait un agréable voyage…