Le Tableau
Hello mes petits lecteurs adorés~ comment vous allez ? Bon hier ou avant-hier, j'ai posté la suite de ''Pourquoi Moi ?'' j'avoue que ça faisait un moment que j'avais envie d'écrire la suite mais pour autant trouvé les mots justes: donc j'ai effacé, réécris, etc... Mais là j'avais envie de vous présentez un tous nouveau personnage pour cette histoire (bon vous le connaissez déjà mais depuis le temps que j'attendais de pouvoir vous le présentez en point de vue interne) ~^^~
Donc dans ce chapitre nous changeons de point de vue comme vous l'aurez deviné ! ^^ Je ne sais pas encore qui j'aime écrire le point de vue mais pour le moment, j'arrive mieux à m'identifier à Maria qu'aux autres zigotos ('_-) mais j'aime beaucoup racontez cette histoire de cette façon.
Je ne sais pas pour quand j'écrirai la suite de ''La Dynastie Disparue'', elle est comme en grosse pause (faute d'idées utiles et inspirantes.. (-_-)' ).
Bon bah, comme vous le savez bonne lecture à vous et n'oubliez pas de mettre des commentaires c'est important pour moi. Bisous ~! Et pensez à respecter les geste barrières (je sais on le crie partout mais c'est du sérieux, c'est plus puissant que la pire des grippes).
« Une coïncidence ! ce n’est qu’une coïncidence !»
Ce n’est que le fruit de mon imagination, comment cela peut-il réellement avoir eu lieu. C’est impossible…
Depuis ma rencontre avec Maria, je suis hanté par des tourments qui ne cessent de m’envahir secondes après secondes. Mon visage ne donne pas l’impression que je me suis reposé, mais, cependant il n’est pas trop marqué. Pour déceler ma fatigue il faut vraiment être très prêt. Néanmoins la journée me paraît être plutôt douce pour la saison. Je m’efforce de rester concentrer sur des choses futiles telles que le temps, tout en restant calme et stoïque, assis dans mon fauteuil avec ma tasse fumante de thé.
Le calme auquel j’aspire tant n’est qu’illusion, je pouvais entendre à certains moment des rires venant de l’autre côté du petit salon d’été, lorsque je regardais par curiosité du coin de l’œil je pouvais voir la fille ainée de René Mazarin : Marie Béatrice Mazarin avec ses dames de compagnies ou ses amies peut-être bien, jouant aux cartes en se racontant les derniers potins sûrement. Je retourne à mes réflexions lorsque qu’un bruit de tissu froissé me fait ouvrir les yeux : quelqu’un venait de s’assoir sur le siège à côté du mien.
_ Bonjour Philippe ! Thérèse, la femme de mon frère, était venue me tenir compagnie.
_ Bonjour Thérèse, tu sembles avoir pu te reposer aujourd’hui.
_ En effet, Louis semble aller beaucoup mieux d’après le médecin. En revanche, toi, tu ne sembles pas avoir beaucoup fermé l’œil. Quelque chose te tracasse ?
_ Je ne peux décidément rien te cacher… Tu te rappel qu’hier je suis allé, avec Armand, me promener des les faubourgs de Paris. Et là-bas nous y avons sauvé une femme, qui se faisait harceler. Malheureusement, elle s’est évanouie et nous l’avons alors emmenée chez Armand à l’Hôtel Villeroy pour qu’elle se repose. Et tu vas trouver ceci étrange mais j’ai eu l’impression d’avoir déjà vue cette jeune femme auparavant. Mais il m’est impossible de retrouver où…
_ Elle va bien au moins ? A-t-elle été blessée ? Thérèse s’inquiétait, je le voyais et le ressentais dans le timbre de sa voix.
_ Oui, elle s’est réveillée en fin de soirée. C’est une jeune Lady Anglaise en voyage, d’après ses dires.
_ Fantastique ! Je suis rassurée, j’aurai aimée la rencontrée. Et si cela s’était avéré possible, dans de meilleures conditions…
_ J’espère aussi qu’elle viendra aujourd’hui, comme Armand vient tous les jours prendre des nouvelles de Louis. Et qui sait, peut-être rendra-t-elle la santé à Louis !
_ Ce serait un miracle ! je n’ose à le croire. A quelle heure vient Armand ?
_ Il ne devrait plus tarder, je vais donc prendre congé et aller accueillir mes invités.
_ Puis-je t’accompagner une partie de ton trajet, le silence me manque. Dit-elle en plaçant son éventail devant sa bouche en regardant vers le groupe de filles qui jouaient en gloussant fortement.
_ Avec plaisir Thérèse, ta compagnie est toujours un plaisir.
Je me levai, fis une révérence à Thérèse et lui tendis mon bras. Nous nous dirigeâmes alors vers la sortie. Sur le chemin, nous discutions de tous et de rien à la fois. C’était agréable de ne plus penser à rien l’espace d’un instant, mais soudain, alors que nous passions sous les arches, un cri venant de l’extérieur. Nous nous figeâmes alors et nos regards se dirigèrent au dehors : Anne semblait avoir fait un croche-pied à Maria et en avait l’air très satisfaite. Armand semblait avoir mal à la tête et Maria était très en colère contre Anne pour son geste.
Thérèse rigola un peu de la situation tout comme moi d’ailleurs, mais je plaignais également Armand de s’être retrouvé dans ce bourbier.
_ L’après-midi va être animé crois moi Philippe !
_ Je le crois également.
_ Je vais prendre congé et te laisser t’occuper de tes invités. A tout à l’heure !
Thérèse s’éloignait et j’avançais en direction de la salle des glaces où s’étaient dirigé Anne, Maria et Armand. J’allai franchir la porte lorsque celle-ci s’ouvris et Anne en sortait comme chargée d’une mission de la plus haute importance. Elle manqua de justesse de me percuter. Elle me fit une révérence rapide et s’enfuie d’un pas rapide à la recherche de quelque chose. Dans la salle des glaces j’entendis rire et reconnus le rire d’Armand et par déduction celui de Maria.
Maria était rayonnante, sa robe bleue céleste faisait ressortir sa chevelure et ses yeux aux teintes de braise. L’or qui y était brodé mettait en évidence la simplicité de la coupe de la robe, parsemée d’or et de perles : comme une voie lactée un soir d’automne. Elle avait un très joli chignon décoiffé qui lui rendait d’une part sa beauté sauvage et d’autre part de sa connaissance de nos codes sociaux. Ce simple fait me rassurait car beaucoup d’étrangers ne prennent pas forcément la peine d’en apprendre plus sur ce qui se fait et ce qui ne se fait pas. Etrangement, j’avais l’impression de l’avoir déjà vue habillée et coiffée ainsi, mais où ?
_ Avez-vous fait bon voyage mes amis ?
_ Si l’on veut Philippe.
_ Vous avez manqué un accident de carrosse votre Altesse.
_ Ah bon ? Et pourquoi ?
_ Laisse-moi te raconter : depuis le moment où nous sommes montés dans le carrosse, Anne a déclaré la guerre à Maria. Et un moment la roue à percuté quelque chose et s’est cassée mais Anne à surtout reçu le coude de Maria dans le bras et en a fait toute une histoire… J’en ai encore mal à la tête rien que d’y penser… Enfin bon, nous n’avions que deux chevaux à notre disposition et tout naturellement j’ai proposé de prendre l’une d’elles avec moi et par hasard Maria ne sait pas très bien monter à cheval et Anne est donc partie très énervé au palais, nous laissant derrière.
_ Ensuite, elle a voulu que je me ridiculise en plein milieu de la coure. J’ai eu le réflexe de ne pas chuter mais je pense qu’elle voulait me faire tomber délibérément… Pourtant je ne lui ai rien fais…
_ J’ai assisté à cet épisode là, une chance que personne n’est été blessé. Maria avait rougis sûrement un peu de honte d’avoir été vue au moment de sa chute. J’aurai quelque chose à vous montrez dans dix minutes au petit salon de l’aile nord. Armand je te laisse la liberté de la montré à Maria.
_ Je…
_ Oui Maria ? demanda Armand
_ Je voudrai discuter un peu avec Jeanne, si cela ne vous dérange guère ?
_ Non, aucunement. Jeanne, tu sais où se situe le petit salon ?
_ Bien évidemment Votre Altesse.
_ Bien, je vous rejoindrai dans dix minutes là-bas.
Je les quittais à la hâte, je venais enfin de trouvé le lien qui reliait Maria à mes songes et tourments. Cette robe ! Oui, cette robe, je l’ai déjà vue quelque part et sûrement sur ce tableau… !
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