Chapitre 5

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J'avais fini de me rhabiller, pendant que Charles était allé chercher le dessert et que Judy, avait débarrassé.

- Et pour finir, voici le dessert. Millefeuille de fruits exotiques, dit Charles.

- Oh magnifique, ça à l'air délicieux.

- Et ça l'est, dit Judy, qui avait l'air d'apprécier ce genre de douceur.

- Voulez-vous une petite ou une grosse part ?

- Oh Charles, je suis gourmand et ne serais pas contre une grosse part.

- Vous ne pouviez pas me mettre plus en joie.

Décidément, Charles était doué en cuisine. Chaque plat était exquis.

- Voulez-vous que je vous resserve une coupe ? me demanda Judy.

- Oh, j'en suis à ma cinquième ou sixième.

- Mais j'espère bien et j'espère pouvoir ouvrir d'autres bouteilles, dit-elle en souriant.

- Alors mettez moi un seau, dis-je en rigolant.

Elle me remplit donc mon verre généreusement. Je finissais rapidement mon assiette, mais refusais la deuxième part qui m'était proposée, ayant peur d'être trop lourd pour la suite de la soirée.

- Passons au salon, si vous le voulez bien ? nous dit Charles.

- Prenez place dans le canapé, Victor, me pria Judy.

À peine assis au milieu du canapé, Charles vint s'asseoir à mes côtés. Judy avait quitté la pièce et réapparu peu de temps après avec un grand plateau.

- Je nous ai préparé quelque douceur. Chocolats, biscuits...

- Charles va chercher le cognac et les verres.

Elle posa le plateau et reprit son énumération.

- Nougats, macarons et quelques jouets.

Effectivement au milieu des douceurs à manger, on pouvait trouver quelques sextoys colorés, qui contrastaient avec les couleurs chaudes des chocolats, biscuits et autres douceurs.

- Je vois, Judy, que vous avez tout prévu.

Elle prit place à côté de moi et posa sa main sur ma cuisse.

- Je suis une femme prévoyante, dit-elle en arrivant maintenant sur ma queue.

C'était bien la première femme à me faire de l'effet. Je bandais déjà comme un cheval.

- Humm, Victor, j'aime cette fermeté. J'espère profiter au maximum de vous, même si j'ai compris que mon mari avait vos faveurs.

Comme réponse, je glissais ma main entre ces cuisses que sa robe fendue m'offrait facilement.

- Je vois que tout se passe bien, me dit Charles en tendant un grand verre de cognac.

Il donna le deuxième à Judy et en prit un pour lui. Il reprit donc sa place à mes côtés et rejoint la main de Judy sur mon manche.

- Je pense que vous êtes à l'étroit. Voudriez-vous que Judy vous déshabille ?

- Je vous en prie.

Charles s'écarta pendant que sa femme déboutonnait mon pantalon et le faisait glisser le long de mes jambes. Mais Charles n'était pas pour autant inactif. Il profitait du cul de sa femme et avait remonté sa robe pour glisser sa main sur son intimité.

Elle continua en retirant la chemise, mais ces yeux, déjà, se refermait de plaisir quand Charles glissa ses doigts dans son petit paradis.

J'entendis une fessée.

- Pousse toi veux-tu et déshabille toi, dit-il à sa femme.

- Oui tout de suite mon chéri.

- Alors comme ça Victor vous préférez les hommes, me dit-il en venant tout contre moi.

Je compris immédiatement qu'il voulait que je retire ses vêtements. Alors ne pouvant résister à cet homme sportif, à n'en pas douter, et très élégant, je m'exécutais.

Au premier bouton, je découvrais une verge ferme et après avoir descendu pantalon et caleçon, j'aperçus qu'elle était de belle taille, mais pas trop, juste ce qu'il faut pour que je puisse le mettre presque en totalité dans ma bouche.

Judy, qui avait fini de retirer ses vêtements, passa derrière Charles, pour lui retirer sa chemise. Elle prit ensuite sa queue en main et commença à la branler doucement devant mes lèvres. Avec ma bouche, je léchais la mouille qui coulait de la fente de son gland. Plusieurs coups de langue furent nécessaires pour laper le sexe et la main humide de Judy. Je commençai par mettre son gland dans ma bouche, puis plus profondément, pendant que cette main féminine accompagnait les mouvements de ma tête.

Charles posa sa main sur ma joue et me fit comprendre qu'il voulait que je me relève. Debout, devant lui, il voulut goûter mes lèvres et glissa sa langue dans ma bouche. Il nous fit pivoter et s'assit à son tour sur le canapé. C'est Judy qui voulait maintenant que je m'occupe un peu d'elle. Alors elle me tourna vers elle.

- Auriez-vous envie de lécher des seins, Victor ?

La regardant dans les yeux, je ne pus résister à ce regard suppliant. J'approchais donc ma bouche de ses mamelles, avec un peu d'appréhension et d'excitation. J'avais commencé à prendre un sein dans ma bouche, quand je sentis le doigt de Charles sur mon anus, il l'avait de nouveau lubrifié généreusement et l'enfonça profondément. Il glissait en moi, pour bien repartir le liquide, pour ensuite y mettre un autre doigt. Je sentais mon anus rapidement se dilater. Léchant goulûment les deux seins de Judy maintenant, je sentis que Charles avait retiré ses doigts pour introduire un sextoy dans mon cul. Je gémissais sur la poitrine de Judy qui était couverte de ma salive.

Charles retira le jouet et me prit par la taille. Je vins m'asseoir sur ses genoux et il me pénétra sans aucune résistance de ma part, ni de mon anus.

Hummm
Il plaça ses mains sur mes pectoraux et m'accompagna pour que je m'allonge sur lui. Je sentais sa queue me sodomiser et j'adorais ça.

- Judy ? dis-je dans un gémissement.

- Oui Victor ?

- Voudriez-vous me sucer ?

- Oh je n'osais vous le demander.

Judy prit mon manche en main et le mit dans sa bouche. Elle allait et venait avec gourmandise sur ma queue pendant que Charles me prenait le cul avec douceur, mais profondément.

J'étais maintenant au bord de l'orgasme et mis ma main sur l'épaule de Judy pour la repousser. Mais elle accompagna sa main derrière ma nuque et accéléra légèrement le rythme de la sienne et de sa bouche. Charles lui aussi avait accéléré les mouvements et je sentais à sa respiration qu'il était lui aussi sur le point de jouir.

Notre orgasme ne se fit pas attendre. Charles éjacula par à-coups en gémissant bruyamment et à mon tour, je jouissais dans la bouche de Judy, qui n'en perdait pas une goutte. Je ressentais chaque giclée de sperme, accompagné des contractions de mon anus sur la queue de Charles.

C'était ma première fois.

Nous étions tous trois essoufflés, assis dans le canapé, personne n'ayant la force de perturber ce silence délicieux.

Charles me tendit mon verre de cognac, il bu une grande gorgée du sien et dit enfin.

- Exceptionnel... simplement exceptionnel.

Le lendemain, au réveil, allongé sur le canapé et la poitrine de Judy, je découvrais avec bonheur, que tout ceci n'était pas un rêve.

Au petit déjeuner Judy me tendit un paquet cadeau.

- Joyeux Noël, Victor.

- Oh, il ne fallait pas Judy.

Mais elle ne me répondit que par un sourire.

C'était un chapeau, un magnifique borsalino marron.

- Merci, Judy.

- Victor, pourrais-je vous demander une dernière faveur.

- Mais bien sûr Judy.

- Pourriez-vous m'accompagner au restaurant quelques fois. Je m'ennuie souvent et vous êtes si rafraîchissant.

- Mais bien sûr, ma chère.

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