Des Pactes avec le Diable
Notre petit cirque national reprend et les forains en cravate qui l'animent s'en donnent à coeur joie. Ils sondent toujours plus profondément les abysses du mensonge et de la mauvaise foi.
Pendant que les "complotistes" luttent avec acharnement à traîner un "état profond" sous les spots de la lumière céleste afin de démasquer les organisateurs secrets d'une Apocalypse qui aurait été planifiée depuis des décennies, les laboratoires du monde entier, de leur côté et dans la plus grande discrétion, signent de mirifiques contrats avec les Nations pour leur refourguer des millions, voire des milliards, de doses d'un vaccin qui n'existe pas encore.
Heureusement, il est dit que le cher Bill Gates, victime d'un procès populaire à charge ou non, avance avec assurance (et on se demanderait presque quelles compagnies...!) qu'une vaccination globalisée, avec puce sous-cutanée et référencement mondial, solutionnera enfin le problème de la malthusienne surpopulation mondiale. Comme tout un chacun, penché sur l'écran de mon ordinateur, j'ai pu voir et entendre ce cher Sarkozy en parler lors d'une réunion du Medef, je ne sais pas où, en 2019. Face à lui, tout le ghota du patronat et des politicards de droite. Tout sourire, ces gens écoutaient les propos d'un président déchu, très largement haï pendant son mandat (et sûrement encore depuis) et opinaient du chef, se jetant quelques regards approbateurs pour bien affirmer qu'ils pensaient la même chose que le clown triste.
Et quand on entend dire que "si les puissances occidentales ne s'occupent pas en urgence de la population du continent africain"... eh bien, on a un peu froid dans le dos.
Tous ces propos, et je pourrais en aligner des centaines pour conforter mes dires, ne font que m'inquiéter pour les années à venir. Mises bout à bout, les déclarations des uns et des autres, au sujet d'un "Nouvel Ordre Mondial" (tous les hommes politiques du monde) ; au sujet d'une vaccination obligatoire pour 7.5 milliards d'êtres vivants (je ne dis plus "humains" tant j'ai le sentiment que pour "eux", les nantis et les débiles de la Haute, nous ne sommes plus que cela : des vivants) ne peuvent qu'alerter quiconque prendrait un peu de temps pour observer et tenter de comprendre cette folie mondiale. Bill Gates, lui encore, et ses millions consentis à l'OMS pour que cette dernière persiste à déclarer que la peste grippale la plus violente de toute l'histoire de l'Humanité est à nos portes, rêve de moins en moins secrètement à une "régulation" médicalisée de la population mondiale. Si ses laboratoires, ceux dans lesquels il investit massivement, pouvaient soigner les prochaines pandémies par avance... Mais comment soigner des maladies qui n'existent pas encore, me demanderez-vous ? Eh oui, il en est de ces questions de bon sens comme de la folie de ces hommes qui méprisent ouvertement les vies de leurs contemporains : sans intérêt pour eux.
Mais il n'y a pas que cet informaticien devenu milliardaire, pour commencer, puis plus riche homme du monde, ensuite, pour ne plus être aujourd'hui que le chantre à l'air sérieux et humaniste de projets qui visent à injecter des hectolitres de produits chimiques dans nos veines, au prétexte fallacieux qu'une grippe n'a plus besoin d'être "espagnole" pour ravager les continents.
Nous avons aussi ces pédés de journalistes, définitivement vendus...
Eh oui, pendant que 2700 tonnes de nitrate d'ammonium pètent à la gueule de nos malheureux voisins libanais, faisant des confettis des logements de presque 300.000 personnes déjà au bord du goufre à cause d'une crise monétaire sans précédent, le barnum de la Covid continue...
The show must go on ! Alors, nos vaillant journalistes continuent de propager la terreur dans la population, appliquant avec dévotion, le doigt sur la couture, les consignes de leurs maî-maîtres milliardaires qui en veulent toujours un peu plus aux crédules et aux imbéciles.
OMG ! s'écrie ma femme, outragée par la virulence de mes propos qu'elle juge profondément anti-républicains. Elle n'a peut-être pas tort. En attendant, et pas besoin d'être anti-républicain pour penser puis dire : il est clair qu'une partie de la population mondiale, c'est-à-dire les strates plus aisées, les plus riches, sont en train de signer une longue série de pactes avec le Diable. Connaissant le peu d'honnêteté des hommes de pouvoir et de fric, on ne peut pas s'empêcher de croire qu'ils tenteront d'enculer le Diable à la première occase...
Mais la dernière folie est pourtant de croire qu'on peut le doubler et le rouler dans la farine. Faust le sait mieux que tout le monde, et son exemple est connu de tous !
Alors, quand arrivera le moment de passer à la caisse et d'honorer le dû avec ce Prince d'en bas, qui paiera encore la note ? Et quelle sera-t-elle ?
A suivre...
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