Une nouvelle vague, qui veut une nouvelle vague ?
Et ça, juste avant d'entendre les prédictions funestes d'un poireau gouvernemental à propos des prochaines à venir.
Ce n'est plus une pandémie, c'est une marée montante à fort coefficient !
Vont-ils encore niquer nos fêtes de fin d'année ? C'est fort probable, entendu qu'ils n'aiment que pourrir nos rudimentaires petits quotidiens.
Heureusement, pour ce qui me concerne, presque deux années de maladies virales, variées et plus ou moins virulentes, m'ont vacciné contre la peur, la bêtise (au moins en partie, je revendique de demeurer stupide à mes heures) et la voracité du monde médical.
A franchement parler, je n'ai pas croisé d'autres choléras que ces trois-là depuis le début de cette foutaise à dimension globale.
Par contre, pour ce qui est de la peste et des pesteux, j'ai découvert (et je continue de bien ouvrir mes yeux pour ne rien rater de la suite) que les politiciens représentent une variété toute particulière de malades mentaux et aussi de pervers qui se répandent tout aussi bien dans notre monde que leurs prétendues dévastations mortifères.
Drôle d'époque où l'invisible perturbe les superprédateurs d'un monde en déliquescence.
Imaginons demain, dans des rues désertes ou clairsemées de rares piétons autorisés, dûment survaccinés, courbés sous le poids d'une besace surchargée de tout le nécessaire médical requis pour se protéger d'une de ces vagues fatales...
Le monde actuel est déjà une belle merde. Mais quand je pense à celui de demain, façonné par des ahuris qui s'estiment encore plus indispensables et plus savants que les autres, j'en viendrais presque à vouloir perdre les sens pour échapper à leur démence et leurs phobies incontrôlées.
Alzheimer, peut-être ? Pourquoi pas...
Au moins, avec ça, on se refait des amis à chaque fois qu'on ouvre les yeux et on ne sait plus rien du monde qui court vers l'inconnu.
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