3.4 Ambre et Rudolf 1/5**
Cinq chapitres très sexualisés ont été rédigés pour raconter le retour de Rudolf chez son ancienne propriétaire Ambre. Comme ils n'apportent pas grand chose à l'intrigue principale,( et que je n'en suis pas très satisfaite), si ce n'est expliquer la relation entre les deux personnages, vous pouvez les passer si vous n'aimez pas les lemons et aller directement en partie 4.1. Pour les autres que ça ne dérange pas (ou que ça intéresse) , les cinq chapitres sont ici en partie 3.4 à 3.8 sous le titre Ambre et Rudolf **
********* Nombreuses scènes sexuelles. *****
C'est la nuit. Rudolf est seul devant une coquette maison de ville avec un petit jardin. Il trafique le boîtier de contrôle de l'entrée comme lui a appris sa mère puis rentre sans un bruit dans la maison. Rudolf ferme les volets et éteint toutes les sources lumineuses. Il arrive dans la chambre. Une jeune femme dort paisiblement. Le rebelle récupère le bracelet de gestion de la belle endormie et remonte le drap sur le corps allongé en souriant.
C'est une jolie fille du même âge que Rudolf. Mince et sportive, le corps souple et ferme est délicieux à voir. Rudolf préfère le cacher pour ne pas être tenter par ses courbes de gazelle recouvertes par une fine nuisette de satin rose. Ses longs cheveux noirs crépus s'étalent dans une couronne de boucles autour de son visage paisible. Le jeune homme sourit en voyant qu'elle ne les lissent ou tressent plus, il la préfère au naturel. Les lèvres charnues couleur chocolat légèrement entrouvertes sont une invitation au baiser auquel Rudolf a du mal à résister. Son petit nez parfaitement droit contraste avec la rondeur de ses joues et ses longs cils recourbés. Elle est magnifique, même endormie et sans aucun artifice.
Le jeune homme pianote sur le bracelet pour modifier les codes de la porte d'entrée puis place une chaise en travers de la porte d'entrée et de la chambre. Si l'une d'elles s'ouvre, il se réveillera. Sans un bruit, Rudolf prend de quoi se faire un sandwich dans la cuisine, il connait la maison et sait où sont rangées les choses. Rien n'a changé depuis le temps . Le beau métisse asiatique grignote puis s'installe au salon et dort sur le canapé.
Au matin, la jeune femme se réveille et sort de la chambre. Elle fait tomber la chaise située dans le couloir de l'espace de nuit et le bruit réveille Rudolf. Il se cache. La jeune femme ramasse la chaise sans comprendre ce qui se passe. Elle est en tenue pour faire du shopping. En arrivant dans le salon, elle voit ses volets fermés, et aperçoit un homme cagoulé. La jeune femme est terrorisée. Elle hurle, mais personne ne l'entend. Rudolf enlève sa cagoule pour qu'elle puisse le reconnaître, espérant diminuer un peu la panique de la jeune femme.
— Salut Delta Ambre. Tu te rappelles de moi ?
Le cri reste dans la gorge d'Ambre en apercevant son ancien reproducteur. Elle recule contre le mur, terrifiée, en se demandant pourquoi il est revenu et surtout pour quelles raisons il a fermé tous les volets de la maison.
— J'ai la dalle. Y a quoi dans le frigo pour le petit déj ?
Rudolf se dirige vers la cuisine. Il saisit des œufs et commence à cuisiner. Il espère que son calme et l'odeur de la bouffe fasse s'apaiser la liane sauvage. Rudolf connaît la maison et Ambre n'a pas changé grand chose depuis le temps. Il laisse la jeune fille cogner à toutes les portes, essayer d'ouvrir toutes les fenêtres, hurler à l'aide, d'abord avec colère, puis peur et enfin avec frustration. Rudolf reste indifférent en apparence et rigole discrètement de l'activité de la demoiselle.
C'est une petite vengeance, pas bien méchante, Rudolf est là pour protéger Ambre et récupérer les données importantes qu'elle détient, pas pour lui faire du mal. Ou alors juste un peu en réparation de celui qu'elle lui a fait. Rudolf attend qu'elle se fatigue toute seule. Il mange puis va se doucher et enfile des fringues propres.
Ambre tente de profiter de ce moment et l'agresse avec un ciseau. L'ayant entendu s'approcher et se doutant qu'elle tenterait quelque chose, Rudolf est prêt et esquive le coup. Il la désarme avec une facilité déconcertante. Il lui tient les poignets devant elle puis les ligote avec une ceinture de peignoir. Rudolf soulève la jolie demoiselle et la plaque contre la porte. Il accroche ses entraves de coton au porte-serviette en hauteur. Elle a les bras tendus en l'air. Ses pieds ne touchent pas le sol.
— Alors Ambre, on fait moins la maligne ? Voyons... Et si je t'enlevais ce pantalon ?
Rudolf la déshabille avec lenteur, prenant plaisir à voir la panique dans les yeux de son ancienne propriétaire. Ambre se débat de toutes ses forces, mais il la maintient d'une main avec facilité. De l'autre, il défait le nœud du léger pantalon de toile et le fait glisser au sol en caressant la peau chocolat de la jeune femme avec une grande douceur.
— Putain, elles sont toujours aussi jolies tes jambes. Et si je retirais ce haut de merde ?
Rudolf prend le ciseau avec lequel Ambre a essayé de l'agresser. Délicatement et savourant les tentatives de la demoiselle pour se libérer, il coupe le tee shirt en commençant par une manche, remontant de la main vers l'épaule puis s'attaquant à l'avant du nombril au menton. Fier de son acte, il observe la jeune femme en souriant et effleure le ventre et le torse féminin devant ses yeux. Se mordant les lèvres face à ce spectacle plaisant, il utilise de nouveau les ciseaux pour taillader le soutif, détruisant les bretelles puis l'ouvrant par le devant d'un coup tranchant net. Ambre ne porte plus qu'une fine culotte de dentelle.
— T'as beau être une idiote, t'es vraiment bandante Ambre.
Il l'immobilise contre la porte d'une main et lèche son cou pour s'amuser. Elle tente de s'échapper, mais il est bien plus fort. Rudolf se réjouit des vaines tentatives de la jeune femme et joue avec elle. Rudolf rigole. Il la mordille puis lèche ses seins pour finir par lui faire un suçon bien visible dans le cou.
— Ben ouais. Sans mes entraves, tu ne peux plus me dicter quoi faire.
Il ouvre un tiroir du meuble voisin. Il se rappelle encore de l'endroit où elle rangeait son petit jouet. Rudolf sort du tiroir une petite baguette envoyant des décharges électriques légères à son extrémité. Il appuie sur le bouton. Des petites étincelles crépitent dans un grésillement si familier à Rudolf. Il ferme les yeux quelques secondes, pour se souvenir de mauvais moments, mais aussi de bons. S'approchant de nouveau, il pique la jeune femme sur la cuisse. Elle reçoit une petite décharge et gémit de douleur.
— Ce n'est pas agréable hein ? Je dirais même que c'est douloureux. Et encore, je suis sur le minimum.
Il fait glisser la baguette le long du corps de la femme. Rudolf lui lance une décharge sur son ventre puis une sous ses aisselles. Promenant l'objet de torture, il envoie une nouvelle attaque sur le sein droit. Le cri de douleur d'Ambre est plus fort. Rudolf arrête son jeu et attrape la femme pour la descendre du porte-serviette. En l'embrassant à pleine bouche, il lui donne une grande claque sur les fesses pour la faire bouger. Il la conduit menottée dans le salon à petits coups de baguette sur le corps.
— Tu te rappelles quand tu me demandais de te lécher pour te faire mouiller. Tu te rappelles quand tu me disais que j'ai une grosse queue ? Ben maintenant, c'est à toi de me lécher ma mignonne. Tu vas être une bonne petite et mettre ma grosse queue dans ta bouche. Si t'es sage, ça sera tout pour aujourd'hui. Si c'est bon, t'auras même à bouffer.
Rudolf détache les mains d'Ambre et la force à se mettre à genoux. Il enlève son propre pantalon et son boxer. Le jeune homme s'installe sur le canapé et ouvre les jambes avec un grand sourire. Sans lui faire mal, Rudolf attrape la tête de la jeune femme entre ses mains et l'embrasse doucement, presque tendrement. Puis, il lui fait pencher la tête vers son sexe dressé. Rudolf lui caresse les cheveux dans un geste quasi-affectueux.
— On inverse les rôles. Lèche-moi Ambre. Fais-moi jouir. Et je te donnerais à manger. Comme au bon vieux temps. Promis.
La jeune femme approche son visage. Elle a peur. Les meurtres de Delta ont recommencé et on ignore qui les commet. Pourtant, Ambre ne craint pas pour sa vie avec son ancien reproducteur. Elle est persuadée que jamais il ne la tuera. Rudolf est colérique parfois, jamais violent. Reprenant sa respiration pour essayer de se calmer, Ambre commence à embrasser le pénis de Rudolf. Ce n'est pas comme si elle ne l'avait jamais fait. Elle pose ses lèvres timidement sur le gland et le caresse du bout des doigts, pleine de souvenirs. Rudolf lui frotte les cheveux avec douceur. Il n'appuie pas sur sa tête et n'utilise pas sa force contre elle. Il a promis que ce serait tout pour aujourd'hui et qu'il lui donnerait à manger. Rudolf tient toujours ses promesses.
Il lui avait juré qu'il reviendrait. En s'enfuyant, il lui a donné sa parole qu'il réapparaîtrait. Il lui avait promis qu'elle serait sa captive comme il a été le sien. Il aurait pu la tuer depuis son arrivée et lui faire du mal. Beaucoup de mal. La petite baguette électrique, c'est douloureux, mais c'est supportable. Il aurait pu utiliser le fouet, les cannes ou des décharges bien plus fortes. Ambre a le matériel même si elle ne s'en est jamais servi et Rudolf sait où tout cela se trouve. Il n'a rien pris. Il ne lui a même pas mis les bracelets ou même le collier.
Elle l'a électrocuté avec la petite baguette. Elle l'a forcé au sexe en le chauffant sans cesse. Ambre savait comment donner envie à Rudolf et elle ne s'en privait pas. Elle voulait qu'il lui fasse un enfant. Elle exigeait qu'il la fasse jouir, toutefois, pour le rendre fou, elle lui interdisait de prendre lui-même du plaisir. Elle aimait coucher avec lui. Ambre aimait tellement baiser avec Rudolf.
Il a été son premier. Il est encore aujourd'hui le seul. Elle refuse les autres reproducteurs. Elle était si triste quand il s'est enfui. Elle l'avait mérité. Ambre sait qu'elle ne traitait pas correctement Rudolf. Depuis qu'Inès est arrivée au pouvoir, Ambre réalise pleinement l'ampleur de ses erreurs envers le jeune homme. Elle pleure en silence en embrassant le pénis de son ex prisonnier. Elle prend ses testicules en main pour les malaxer, ce qui fait grogner le métis. Il a toujours la voix aussi chaude.
Rudolf. Elle se rappelle qu'elle lui susurrait son prénom à l'oreille en prenant son pied. Les images de leurs ébats lui assaillent l'esprit. La période de leur cohabitation était si agréable. Ambre aurait voulu que cela dure toute la vie. Elle était si bien avec lui. Il la rendait tellement heureuse. Ambre n'a jamais su dire tout cela à Rudolf et aujourd'hui, elle sait combien il la déteste. Une image d'extase s'imprime dans ses pupilles fermées.
— Rudolf... Rudooooollllfffff... Oui Continue... Rudolfffffff fais-moi jouir.
Il lui a donné tant de plaisir. Elle ne l'a pas traité correctement. Elle le sait aujourd'hui. Le seul reproche qu'elle avait à lui faire, c'est qu'il se retirait toujours avant d'éjaculer. Il refusait de la féconder, cependant, il la faisait jouir à chaque fois. Elle lui refusait le plaisir et le chauffait pour qu'il perde le contrôle et éjacule en elle. Rudolf parvenait toujours à se contrôler assez. Elle s'en veut tellement.
Elle passe sa langue sur son gland. Il soupire d'extase. Il bouge un peu les hanches et continue de lui caresser les cheveux et le dos, en douceur. Elle se met à le lécher, du gland à la base de la queue. Ambre donne de grands coups de langue et met l'extrémité sensible dans sa bouche. Rudolf prend une des mains de la jeune femme et la place autour de son pénis, lui indiquant de faire des va-et-vient. Elle met de plus en plus de lui dans sa bouche.
Il n'appuie pas. Elle a la moitié de son sexe dans sa bouche. Elle commence à faire des allers-retours avec ses lèvres tandis qu'elle lui presse la base du sexe avec la main. Un liquide salé se met à couler.
— Continue Ambre. Continue. C'est en train de venir.
Il lui a parlé à voix basse en haletant légèrement. Rudolf bascule en arrière et gémit faiblement. Elle reprend ses coups de langue avec vigueur. Elle sait que Rudolf est proche de l'extase. Elle sait ce qu'il aime et comment il préfère. Ambre remet le sexe dans sa bouche et avale le peu de liquide qui coule. Sa déglutition arrache un cri de plaisir à Rudolf. Elle essaye alors d'aspirer le sexe tout en faisant ses va-et-vient. Rudolf bien qu'allongé bouge les hanches de plus en plus.
— Putain ce que c'est bon d'être de retour à la maison !
Perdant le contrôle, Rudolf râle et éjacule dans la gorge de la jeune femme. Aussitôt, bien qu'haletant, il se redresse, attrape un mouchoir sur la table basse et lui essuie la bouche, pleine de sperme.
— Désolé, je n'ai pas pu me retenir. Ça fait trop longtemps que je ne me suis pas vidé les couilles. Elles sont encore pleines d'ailleurs, mais je t'ai promis un repas.
Rudolf l'embrasse délicatement et se lève en renfilant son boxer, la laissant à genoux, en culotte devant le canapé. Il revient avec du café, des tartines et des œufs brouillés. Le petit-déjeuner habituel d'Ambre. Il s'en rappelle encore. Rudolf pose l'assiette et la fourchette sur la table basse. Il soulève la jeune femme et la pose sur ses genoux. Rudolf l'enlace et picore le dos d'Ambre de baisers.
— Mange ma mignonne. Tu l'as mérité. Mange. C'est fini pour aujourd'hui. Mange. Je te laisse tranquille.
La voix de Rudolf est triste. Il la cajole avec douceur. Le jeune homme semble s'excuser de ce qui vient de se passer. La jeune femme dévore son assiette. Si le métis inverse les rôles, elle risque d'avoir faim bientôt vu tout le sport qu'elle faisait faire à son ancien reproducteur.
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