De mère à femme.

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Cela fait six heures que nous sommes rentrées de la fac.

Je crois que maintenant, je ne vais plus jamais voir des toilettes comme avant… Un couple qui baise dans des chiottes, j’avais déjà entendu ça, Lucie a déjà fait…

Je regarde l’heure vingt-deux heures, j’ai faim, j’aurais pu aller manger à l’heure du repas... sauf que je ne voulais pas voir ma mère...

On dirait qu’elle m’a regardé avec envie…

Ce n’est pas possible, c’est ma mère…

Moi : aller arrête tes délires… va manger…

Je rejoins la maison principale, la porte est fermée, je suis contente pour une fois d’avoir pensée à prendre mes clés.

Direction le frigo, je vois du poulet, des pommes de terre, et de la salade.

Repas rapide, du pain, du beurre, je coupe des lamelles de pomme de terre sur les tartines, poulet, salade et je finis par de la sauce… À cet instant, j’imagine du sperme…

J'en profite pour prendre une bonne bière faite maison, je ne connais rien de mieux…

Lorsque je sors de la réserve ou se trouvent les boissons, j’entends…

Papa : mais non, ne t’en fais pas mon cœur, tout va bien.

Maman : je ne sais pas ce qu’il faut faire…

Papa : je pense que je vais devoir m’occuper plus de toi, ta chatte aà besoin plus d’attention.

Maman : je ne sais pas… Cette fois-ci, la sensation était différente, je n’arriverai pas à te l’expliquer…

Papa : essaie au moins...

Maman : tu avais le couple qui baise à mort, elle a pris cher, tu aurais dû l’entendre gémir sous les coups de bite du mec, c’était tellement érotique.

Papa : tu aurais voulu que la porte soit ouverte, coquine.

Maman : ne commence pas mon cœur.

Papa : je ne commence pas, regarde ta chatte, tu mouilles et tu pointes.

Maman : oui… Et quand j’ai vu Maëlys, c’était tellement fou, elle dégageait quelque chose de tellement sexuel...

Papa : tu te rends compte que c’est de notre fille que tu parles comme ça...

Maman : oui, marc, je pense que tu devrais me faire interner, je suis de plus en plus folle.

Papa : ne dis pas de bêtise, tu n’es pas malade.

Maman : alors comme appel-tu le faite que j’ai envie de coucher avec Maëlys...

Le monde s’arrête, je ne sais plus où je suis, ce qu’il se passe, j’ai bien entendu ce qu’elle vient de dire... En réfléchissant, j’ai déjà senti plusieurs fois les yeux de ma mère sur mon corps.

La dernière fois, c’était il y a peu, pendant notre voyage en Amérique, lorsque nous étions sur les plages en Californie.

Papa : oui mon cœur, je sais, elle a un petit cul tous rond... Mais tu te rends compte que cela est de l’inceste...

(De l’inceste ? …)

Maman : oui, je le sais bien... Je suis attiré par elle comme un aimant.

Papa : je crois qu’il va falloir que je m’occupe plus de ta chatte ma chérie, je te donne déjà beaucoup, mais on ne dirait pas assez.

Maman : et mon cul...

Papa : ah ouais, en plus ton cul, madame sait ce qu’elle veut.

Maman : ose me dire que notre fille n’est pas sexy...

Papa : notre fille est très belle, mais je ne vais jamais la voir comme une femme...

Maman : tu aurais dû voir ses seins, ils pointent sur son t-shirt à la fac, j’avais envie de caresser, et léchais (je frissonne, sans m’en rendre compte, je mouille.) elle est tellement belle.

Papa : qu’est-ce que tu… AAAHHHH

Maman : imagine, que ce n’est pas moi sur ta bite... imagine Maëlys... Sa chatte...

Papa : non, tu arrêtes salope... Ce n’est pas parce que tu as envie de coucher avec elle, que tout le monde doit aussi avoir envie.

Maman (sourire dans la voix) : alors pourquoi tu bandes autant.

Papa : tu n’arrêtes pas de me chauffer... AAAAHHHHH.

Maman : ouii, comme ça, ouvrir lui la chatte comme tu me l’ouvres

Papa : tu es vraiment une grosse pute.

Maman : tu voudrais qu’elle soit sur ta bite, je le sens…

Papa : nooon !!!

Maman : elle aimerait ta grosse bite... Elle a l’habitude... (QUOI ?)

Papa : ne recommence paaass, putain tu n'es qu’une salope.

Maman : tu aimes que je sert ta grosse bite... Elle suce Antoine avec tellement de plaisir (je perds l’équilibre, je me rattrape au meuble.), elle le suçait avec tellement d’envie, et Lucie qui la rejoint... Il a une très belle biiiite notre beau-fils.

Papa : ta gueule salope… Je vais t’enculer pour que tu fermes ta grande gueule.

Maman : OUII ENCULE MOIIIII OH PUTTTAIINNN.

Je suis incapable de bouger, je n’en reviens pas, mon papa que j’ai de tous mon cœur, qui me faisais sauter sur ses genoux, lorsque j’étais petite, et en train de sodomiser la femme qui m'a donné la vie...

Je ne suis pas complètement idiote, je sais très bien qu’ils sont une vie sexuelle très riche, mais de là à imaginer que ma salope de mère excite mon père, je dois reconnaître que je suis sur le cul...

Je prends mon “repas” et je retourne chez moi, le plus silencieusement possible, je pourrais claquer la porte, ils ne m’entraient pas, ils baissent tellement fort, les insultes qui se portent mutuellement.

Une fois chez moi

Je finis ma bière en mangeant puis je m’en reprends deux autres, je n’arrête pas de penser à ce qu’ils ont dit.

Vers deux heures du matin, je tombe de sommeil…

À suivre.

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