Jour J 1/3 :
Sept heures
BIP BIIP BIIIP.
Moi : ouais, ferme-la.
Je me redresse, un frisson me parcourt le corps, j’ai envie de sexe.
Déjà deux mois de passées, je n’ai pas vu passe les vacances, on dirait qu’en un clignement de pompière deux mois se sont passées.
Je sors du mieux que je peux de mon lit, je n’ai pas envie de sortir, j’espère qu’après la douche, je vais enfin avoir de l’énergie...
12 min après...
Moi : en pleine forme, début des choses sérieuses la fac (je regarde l’heure.) putain déjà.
Je passe la seconde et en quelques minutes je suis prête, au moment où je finis de mettre mes chaussures, j’entends la voix de mon Toinou qui discute avec les parents.
Je me décide à rejoindre.
Papa : tu as déjà petit déjeuner ?
Antoine (sourire) : oui, merci.
Papa : bonjour, mon ange.
Moi : salut papa, ça va ?
Papa : oui très bien.
Moi : bonjour mon cœur (on s’embrasse.)
Antoine : tu es magnifique.
Moi : nous ne sommes plus au lycée, la fac.
Antoine : ouais, je n’en reviens pas, je me souviens encore de notre entrée au lycée.
Moi : oui, (sourire) et de la première peur des pions, que de bons souvenirs
Antoine : oui, pour toi, ils doivent être content de ne plus nous voir.
Moi : oui, mais c’est ainsi.
Maman : bien le bonjour (sourire)
Antoine et moi : bonjour.
Moi : tu as des news des autres ?
Antoine : Lucie et Alan viennent avec nous, Hugo prend les autres (il regarde son phone.) ils ne devraient pas tarder à arriver…
DRING DRIIING.
Papa : ah ben tiens (il regarde à la fenêtre.) Lucie et Alan entre.
Antoine : ils sont à l’heure.
Moi : je n’ai pas fini le déj, merde.
Antoine (sourire) : ils savent que tu n’aimes pas être en retard.
Moi : ils sont en avance.
Antoine : c’est mieux d’être à l’avance qu’en retard.
Moi (je lui passe les clés de la voiture.) : est-ce que tu peux aller démarrer la voiture, je n’aime pas conduire avec le moteur froid (sourire).
Antoine : bien sur mon cœur (il m’embrasse.)
Les parents discutent, je fini le petit déjeuner...
Moi : oh, tiens pendant que j’y pense, faudra qu’on discute d’un truc prochainement.
Papa : un souci ?
Moi : ben d’une certaine manière, oui.
Maman : un problème avec le Hangar ? La voiture ? Je t’avais dit Marc qu’il fallait prendre une neuf...
Moi : non, les deux vont bien, tant mieux... (je me lève et finis mon verre d’eau.) Parler du fantasme que tu as pour moi et du faite que tu excites papa… (je me retourne et sors.) excellente journée à vous, bizzz
Voilà une bonne chose de faite…
Alan : oh, putain, tu es magnifique Maëlys.
Lucie : mon dieu, tu es tellement belle, je vais mouiller.
Moi : ne commence pas, je suis en manque de sexe...
Lucie : Antoine, ne s’occupe pas de toi ma chérie ?
Moi : il veut, mais nous n’arrivons pas à trouver le temps de le faire.
Alan : ce n’est pas très sérieux... Il faut penser au sexe... C’est très important...
On se dirige, vers la voiture qu’Antoine à eue la gentillesse de sortir, en passant non loin de la fenêtre, je tourne la tête, ma mère pleure dans les bras de mon père.
Bien…
Antoine : voilà ma déesse (il fait la bise, très proche des lèvres, de Lucie et Alan.)
Lucie (en rentrant dans la voiture) : j’aimerais bien voir ses deux-là dans un lit.
On rigole tous, je démarre et nous partons.
Lorsque nous passons le portail, je vois le chauffeur de mon père, je m’arrête pour lui dire bonjour, échanger quelques mots... Au loin, je vois la voiture d’Hugo, Sophia qui fait des grands signes de mains.
On rejoint le groupe, on se dit bonjour, puis nous prenons la route en 1 h 10, nous arrivons sur la Campus, il y a beaucoup de monde, les gens ont le sourire.
Amir : donc, nous devons aller dans le grand amphi.
Moi : oui, puis une fois fini, on ira dans nos départements et je vous rappelle que nous avons des cours en communs.
Lou : oui, et il faudra qu’on discute de la route… (on la regarde tous.) Imaginer, on a des cours qui finissent à 21 h 30... On fait comment ?
Moi : putain, ouais, tu as raison, on en parle ce midi au repas.
Nous sommes comme des moutons, nous allons tous dans le même bâtiment, on entre dans un amphi immense, je ne sais pas combien de place, il peut avoir et pour ne pas changer, il y a encore ce parfum...
Nous prenons place, l’un a cote de l’autre, nous voyons encore des étudiants qui entre.
Après quelques minutes, nous voyons des gens qui entre et monter sur scène.
Un homme grand, je dirai pas loin des deux mètres s’approche du micro.
M. Bach : jeune gens...
À suivre...
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