Le mec : déjà sale pute (je lui donne un coup derrière le genou, il tombe.) AIEEEEE.

Moi : ferme-la, je n’ai pas tapé fort (je regarde Lou.) t’es un mec ou non.

Le mec : tu vas le payer. (je place mon pied sur sa gorge.)

Moi : ne me menace pas, si tu ne veux pas te faire une ennemie.

Le mec : aaaah.

Lou : je crois que tu le sers un peu fort.

Moi (je rigole) : regarde, il aime ça, il bande, alors petite salope, tu aimes être dominé par une femme ?

Le mec : salopee (je lui donne un coup de pied dans les couilles.) AAAAIIIIEEEEEEE !

Moi : la oui, tu peux gueuler, tu voulais la violer ? Je te conseil de parler, si tu ne veux pas que ma matraque, visite ton cul.

Il me regarde, il commence à devenir blanc.

Le mec : je devais la baisé pour réussir mon intégration dans ma fraternité.

Moi : alors, si je comprends bien, chez tes taré, il faut baisé une première année pour faire partie de ta fraternité de merde.

Le mec : les premières années sont là, pour nous les secondes.

Moi : TA GUEULE !!! (Il est blanc comme un mort.) Tu vas bien ouvrir tes oreilles, car je ne vais pas le répéter, personne ne la touche (je le lève du sol, je lui donne un coup de boule, il saigne puis je le balance sur le sol, il glisse.) si toi ou un fils de pute de ta fraternité s’approches d’elles, je viendrais vous voir et je vous DÉFONCE COMPRIS !!!

Le mec : oui

Lou : oui Diablesse.

Je le regarde.

Le mec : oui Diablesse.

Moi : dégage, ou je t’encule.

Il s’enfuit en pleurant.

Lou (sourire) merci Maëlys.

Moi : diablesse ? Ça sort d’où ça ?

Lou (gêner) ben... Ne le prends pas mal, mais lorsque tu es énervé, on dirait que tu ressembles à un démon...

Moi (en prenant la direction de la sortie) : putain, moi qui ne voulais pas me faire remarquer le premier jour.

En sortant, nous voyons les différents départements du Campus qui se vident, alors, nous décidons d’aller à la rencontre de nos amies.

Moins d’une minute après sms d’Antoine.

Antoine : je bande, rien que dit pensée, je t’aime ma déesse.

Moi : j’ai hâte qu’on rentre…

Nous partons en direction du département de Droit, Hugo...

X

Pendant ce temps à l’autre bout de l’Université.

Le mec qui a voulu agresser Lou se prénomme Marc-Olivier, il entre dans la maison de la Fraternité Delta India, une association étudiante réservée à élite qui peut payer 90.000 euros par an de frais d’inscription.

Gérald l’un des responsables de la fraternité lui fait un croche-pied, il tombe sur le sol

Gérald : ou court tu comme ça, pauvre connard.

M.O : je voulais te voir.

Gérald : pour me dire que tu as raté ta mission

M.O : on m’a empêché.

Gérald (il lui donne un coup de canne sur le visage, il saigne.) connard, tu te laisses dominer par une petite pute, tu es un Delta India, nous n’avons peur de personne, notre groupe fait fêter de 220 ans d’existence, tu vas te débrouiller pour trouver des filles pour la soirée des Fondateurs et des vierges, je ne serai pas le premier chef à ne pas respecter les règles

M.O : la fille est protégée.

Gérald (il rigole.) : bonne blague, par qui elle est protégée ?

M.O : elle s’appelle diablesse.

Gérald (il lui donne un coup de pied dans le visage.) : même ça, tu ne sais pas faire, faut vraiment que je m’occupe de tout ici (il regarde au fond de la pièce.) messieurs, notre cher ami Marc-Olivier à besoin d’un traitement.

M.O : non, s’il te plaît.

Gérald (il lui donne un coup-de-poing, il est sonné.) : il a vraiment une grande gueule celui-là, au donjon, Stéphane, tu t’occupes de ton frère.

Stéphane : oui, chef, aller, vous avez entendu, aider moi à le transporter.

Gérald (va devant la fenêtre, il regarde à l’extérieur, il entend M.O gueuler.) : LA PORTE MERDE !!!!

La porte se referme.

À suivre.