Partie 11 : Son cœur et son esprit foulent la Vie
Nous quittions juste le roi
Là
Quand un enfant seul dans le bois
Guetta
Nous intercepta
Il voulait emmener Harlan
Encapuchonné
Voir son grand-père rendre l’âme
Prêt
Nous ne pouvions refuser
Nous arrivions dans un village
Sympa
Et entrions dans une maison sans âge
Béat
Beaucoup de monde était là
On nous apprit que le vieux fermier
Sage
A, au village, beaucoup aidé
Cordage
L’assemblée lui rend hommage
Il tenait particulièrement
Réduit
A s’adresser au héros du présent
Enduit
Son cœur rayonna par lui
Le lit du malade était caché
Seulé
Un voile de bois était placé
Léger
Seul Harlan est allé à son chevet
Mais nous entendions tout
Suave
Et imaginions qui était à genoux
Epave
L’heure était grave
En effet, le fermier demanda :
Inquiet
« Que laissons-nous à nôtre trépas ? »
Entier
« As-tu aidé l’éternité ? »
« Tout… m’a semblé répondre… »
Sagace
« A un besoin présent… mais l’ombre… »
Vivace
« Le temps m’efface »
Harlan a alors inscrit deux mots
Aphone
L’un sur le torse nu haut
Frissonne
L’autre sur le front de l’homme
Puis ses bras en l’air dessinèrent
Surprendre
Un trait et un cercle qui s’émancipèrent
Suspendre
Ceci est difficile à comprendre
Mais le sourire figé du défunt
Ravi
Témoigna de son destin
Grandi
Son cœur et son esprit foulent la Vie.
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