Note : Une forme libre sur une relation passée compliquée, quasiment impossible, alignée par phases, détruite par d'autres, avec une vraie fusion de deux esprits au bout du compte.

Sinus et Cosinus en quête d'un équilibre hypoténu...

À la recherche d'un nouvel angle au milieu d'une évidence aiguë de sentiments, deux éléments aux fonctions qui dansent parallèlement sur les axes, peu ordonnés et abscistématiquement voués à se croiser sans se chevaucher longtemps. Des valeurs qui évoluent vers l'infini, adjacents par l'esprit, opposés par la trigonométrie, conjointement résolus à découvrir ensemble tous les points du cercle social. Cette souffrance, ça n'est pas leur rayon. Tant pi pour le reste, leur échelle coïncide en toutes proportions de ce triangle mesuré par le nombre d'or.

Ce n'est que théorème et trigonométrie, pourtant ils s'aiment au milieu de ce schéma meurtri, se rapprochent, s'éloignent encore, au gré des vérités demi-droites, ils retombent toujours sur cet espace de papier qui coupe net la réalité des chiffres et angles morts que la vie n'avait pas prévu d'explorer.

C'est un peu mathémagique.