Il n'y a pas que le sexe vanille dans la vie (érotique)

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J’avais un peu envie de m’amuser un peu. Je me sentais terriblement joueuse ce soir.

Heureusement que j’avais un armoire rempli de tenues toutes plus sexy et aguicheuses les unes que les autres. J’opte pour la traditionnelle tenue d’infirmière. J’attache mes cheveux en un chignon serré, mets mes lunettes, enfile mes talons hauts.

J’en connais un qui ne va pas résister ce soir.

Je quitte la salle de bains et me dirige vers le salon. Je fais bien attention à faire claquer mes talons hauts sur le parquet. L’ours qui me servait de petit ami était avachi devant son ordinateur, en train de jouer à jeu dont je me rappelais même pas du nom. Dès l’instant où il pose les mains sur moi, je vois l’expression de son visage changer. Devenir plus dure, plus animale. Il se lève précipitamment de son fauteuil de gamer mais je m’étais déjà dirigée vers la chambre sans lui adresser un regard de plus.

Je m’installe gentiment sur le lit, croise les jambes et compte jusqu’à quatre avant de le voir débarquer comme un taré. Ça ne rate pas. Quatre secondes plus tard la porte de la chambre s’ouvre en grand et je vois mon homme nu, furieux de désir et déjà en érection.

Je souris intérieurement. Mon petit manège a eu un effet monstre, je trouve ça trop mignon.

Je me redresse et lui intime l’ordre de s’allonger sur le lit. Il s’exécute sans dire un mot. J’adore.

J’étais d’ores et déjà humide alors que je n’avais encore rien fait. Il ne pouvait pas imaginer le pouvoir qu’il avait sur moi…

Il se met sur le dos, la bave presqu’aux lèvres. Je le rejoins, monte sur lui. Je sors un préservatif de la poche avant de ma tenue et réussis à la lui enfiler en un éclair. Je suis moi-même étonnée de mes prouesses. Enfin, sans perdre de temps, je glisse son sexe en moi.

- Andromaque, hein ? dit-il dans un souffle.

- Tais-toi.

Je me mets à exécuter des mouvements lascifs, en faisant uniquement bouger mon bassin. Lentement, très lentement Je le sens languir sous moi. Ses yeux ne me lâchaient pas. Ses pupilles étaient dilatées à l’extrême. Je consens à y aller un peu plus vite. Je plaque mes mains contre son torse imberbe. Il ne tient plus et place les siennes sur mes hanches pour se donner de l’élan et répondre à mes coups.

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