Chapitre six : Un petit triton emporté par le plaisir.
L'homme aux longs cheveux sombres posa doucement le jeune triton sur ses pieds. Il entreprit ensuite de lui retirer chacun de ses vêtements avec lenteur, ne lui laissant que le lien en cuir qui retenait sa belle chevelure rousse. Une fois son œuvre achevée, sans attendre, il entreprit de se dévêtir à son tour. Amaël ne bougeait pas, il n'en avait pas l'énergie, mais surtout, il se demandait ce que cet homme lui réservait. Son regard tendre et doux était nouveau et présageait donc un événement sans doute agréable. Il venait d'ailleurs de lui dire ceci : nous allons nous baigner et je vais te faire découvrir les délices que ton corps, sous ta forme humaine, est capable de ressentir... Qu'avait-il voulu dire ? Amaël était curieux de nature, alors il se sentait intrigué.
-Tu sais, petit être, je suis parfaitement au courant que tu as essayé d'appeler ton peuple lorsque tu étais immergé.
Le jeune triton se figea et recula d'un pas. Il n'était plus du tout rassuré !
-Tu n'as pas à avoir peur. Je ne t'en veux pas. Tu as été clair sur ce que tu ressentais, et je ne suis pas sûr que tu aies eu le temps de les contacter. Et même si ton peuple a reçu ton appel, je n'ai aucune crainte quand à ce qu'il adviendra, petit être.
Ses yeux s'illuminèrent de cette étincelle si particulière et effrayante, lui rappelant que cet humain ne l'était peut-être pas tant que cela. La menace était palpable. Cet homme n'avait-il donc peur de rien ? Pourtant, si le peuple des océans venait jusqu'à eux, alors tout serait sans doute détruit, sans aucun état d'âme, et cet homme serait soit fait prisonnier soit... tué.
Un frisson le sortit de ses réflexions. Cet homme venait d'effleurer très légèrement son bras, le ramenant au présent, à une réalité si étrange ou plutôt totalement surprenante pour le triton. Il le regarda alors avec attention, comme le voulait l'homme aux cheveux sombres, il le savait. Son geste avait eu pour but de ramener son attention sur ce qui se déroulait.
Si quelqu'un les voyait, qu'en penserait-il ? Leurs physiques contrastaient tellement. À tel point que c'en était presque beau. Non. L'image qu'ils renvoyaient était belle. Amaël avait parfaitement conscience que son corps était fin et petit en comparaison des muscles saillants et de la taille impressionnante de l'homme qui lui faisait face. Sa peau était si claire et ses cheveux d'un roux si éclatant qu'ils rappelaient les couchers de soleil. Alors que la noirceur du regard intense posait sur lui, les cheveux sombres et la peau mate de cet homme rappelaient la nuit. Oui, la nuit, se répéta la créature marine. Cet homme représentait la nuit et ses mystères, son obscurité si fascinante et si... effrayante. Lorsque lui-même pouvait représentait le jour, son éclatante lumière. Si éblouissante qu'elle avait attiré cet homme ténébreux qui l'avait fait prisonnier... Les deux êtres à l'apparence tellement opposée se regardaient sans mot dire. Se scrutant, s'analysant. Plongés dans leurs propres réflexions.
-Amaël, viens. Allons dans le bassin, dit soudainement cet homme en lui prenant la main et en le guidant vers l'eau.
Ce trou creusé dans le sol aux belles pierres plates, et rempli d'eau chauffée par l'impressionnante cuve, se nommait donc un bassin ! pensa Amaël, ravi de cette nouvelle information. L'eau commença à recouvrir son corps et le jeune triton attendit les picotements familiers de la transformation. Mais... rien ne vint ! Comment était-ce possible ?! Face à l'air surpris et perdu d'Amaël, l'homme aux longs cheveux noirs se mit à rire doucement.
-N'aie pas peur. Cette eau n'est pas de l'eau de mer mais de l'eau douce. Elle n'agit pas sur toi comme celle de ton élément naturel, rappelle-toi. Tu ne peux donc pas te transformer. C'est avec cette eau que nous faisons notre toilette. Tu n'avais jamais essayé de te baigner dans l'eau qui habite la terre ferme ?
-Non, jamais. Lorsque j'explore la terre, je me cache et observe. Avant d'être ici, je pensais que toute eau pouvait me transformer, il aurait été dangereux pour moi de me baigner non loin des humains !
L'homme hocha la tête, en signe de compréhension. L'eau recouvrait le corps du triton jusqu'à ses épaules et cela était grisant ! Elle était chaude et touchait des parties de son corps qui ne se trouvaient pas là, habituellement. C'était plutôt agréable. Il pouvait aussi sentir le sol sous ses pieds alors qu'il marchait. Oui, tout était nouveau et intéressant ! Car l'hors de l'expérience dans le cube, il avait complètement paniqué et n'avait pas vu que cette situation pouvait être amusante.
Il continua de marcher sans plus se soucier de l'homme qui se trouvait proche de lui. Il s'amusa à faire des mouvements dans le liquide transparent avec ses jambes, ses bras, puis d'un coup, plongea tête la première. Mais lorsqu'il voulut respirer, l'eau commença à douloureusement remplir ses poumons ! Il s'agita, paniqué. Il fut brusquement ramené à la surface et se mit à tousser alors que l'homme aux cheveux noirs le sortait du bassin.
Lorsque sa toux se calma, que l'eau fut recrachée, qu'Amaël se fut calmé, il fut soulevé et déposé sur un matelas composé de grands coussins moelleux de toutes les couleurs et entourés de plantes, formant comme un cocon protecteur autour d'eux. Un corps chaud et mouillé vint recouvrir le sien. Une grande main caressa son visage et il trouva cette sensation très apaisante.
-Petit être, tu as oublié que tu possèdes, pour le moment, le corps d'un humain, tes branchies ne sont pas sorties. Tu ne pouvais pas respirer sous l'eau.
Il n'y avait pas pensé ! L'eau étant son élément naturel, il n'avait pas du tout songé que sa queue de poisson n'était pas là et que donc ses branchies n'étaient pas sorties, non plus ! Et il avait oublié durant un instant qu'il était plongé dans de l'eau douce et non de mer. Tout ce qu'il vivait sur cette île était tellement nouveau pour lui ! Il se sentait si bête, à présent...
Des lèvres se posèrent sur les siennes, le sortant de ses pensées moroses. Le baiser était réconfortant, doux. Amaël s'habituait à la sensation des petits poils du visage de cet homme entourant sa bouche et qui piquaient sa peau sensible. Une langue vint doucement s'engouffrer dans sa chaude et humide cavité. La caresse était langoureuse puis devint rapidement plus passionnée. Une dure pression contre son entrejambe se fit sentir, elle fut rapidement suivie d'un mouvement réveillant des frissons agréables. Cet homme bougeait contre lui. Le frottement glissait parfaitement sur sa peau grâce à l'eau dont ils étaient tous d'eux recouverts.
Sans s'en rendre compte, Amaël se mit à suivre les mouvements de cet homme. C'était si agréable ! Des petits gémissements s'échappèrent de sa gorge. L'homme voulait les entendre, alors il interrompit le baiser, se redressa, attrapa les fesses du triton et appuya encore plus ses mouvements de bassin. Les lèvres d'Amaël étaient gonflés de leurs baisers, sa bouche entrouverte. La créature marine ne le savait pas, mais la vision qu'elle donnait était terriblement excitante pour l'homme qui le surplombait. Ce dernier se retenait comme il le pouvait de le prendre, de s'engouffrer entre ses jambes, dans cet endroit si étroit et plein de promesses de délices. Oui. Il se retenait. Il voulait lui donnait du plaisir, il désirait lui prouvait que tout n'était pas aussi sombre qu'Amaël pouvait le croire. Il voulait lui montrait qu'il était capable de tendresse. Qu'il n'était pas un monstre au cœur sec. Juste un homme empli de solitude et au cœur blessé...
Un gémissement se fit entendre alors que la semence d'Amaël jaillissait et tombait sur son ventre. L'homme n'hésita pas et se baissa pour la lécher. Il nettoya le ventre du triton de sa langue sous ses yeux ébahis. Il trouva le goût exquis.
-Tu es délicieux, petit être.
Les joues d'Amaël rougirent furieusement et l'homme se mit à rire avant de se remettre à sa hauteur, plongeant son regard sombre dans celui si clair à quelques centimètres du sien.
-Amaël... dit-il comme s'il en savourait chaque syllabe sur sa langue. J'aime ton nom. J'aimerais t'entendre prononcer le mien. Je me nomme Adelmo. Dis-le.
Ce n'était pas tout à fait un ordre, mais plutôt une supplication. Alors Amaël céda.
-Adelmo, dit-il doucement.
-Encore.
-Adelmo. Adelmo. Adelmo...
Une bouche vint s'emparer de la sienne, interrompant sa douce litanie. Pour la première fois, le triton avait senti toute la solitude et la tristesse de l'homme qui serrait son corps si fortement contre le sien. Et ses bras partirent d'eux-mêmes entourer les puissantes épaules qui lui faisaient face. Ses doigts continuèrent leur chemin dans les longs cheveux sombres encore trempés, puis descendirent le long de son dos, lentement, pour en savourer le contact. Elles finirent par atterrir sur les fesses fermes qu'il pressa doucement. Une sorte de rugissement s'échappa de la gorge de l'homme qui l'embrassait toujours à pleine bouche. Il se redressa alors et plongea son regard enflammé de désir dans le sien. Face à ce regard intense, Amaël tressaillit. Mais une main vint lui caresser avec tendresse la joue, apaisant la légère crainte qui avait dû illuminer le sien un instant. Adelmo lui sourit, d'un sourire si plein de douceur qu'il rassura Amaël qui lui sourit en retour. Ses lèvres se posèrent de nouveau sur les siennes, un bref moment, avant de descendre vers son oreille dont il sentit comme des mordillements tout à fait agréables. Une langue humide continua son chemin dans son cou, le léchant, le dévorant un long moment, comme s'il voulait le marquer. N'était-ce pas étrange ? se demanda-t-il avant de fermer les yeux et de savourer les sensations que cet homme lui procurait.
Tout ce monde sensuel était nouveau pour lui. Et ce qui lui paraissait encore plus incroyable était que tout ceci se passait sous sa forme humaine. Ça lui paraissait d'autant plus grisant ! Que penserait son peuple si friand des règles, de ce qu'il était en train de faire avec cet humain ? Une sensation humide sur son sexe le sortit brusquement de ses réflexions. Il baissa la tête et découvrit Adelmo entre ses jambes qu'il venait d'écarter, sa bouche enserrant cette partie de son corps. Mais qu'est-ce qu'il faisait ? La pensée qu'il allait peut-être le dévorer le traversa un instant...
Mais... alors que la bouche si chaude et humide d'Adelmo allait et venait sur son sexe, un gémissement s'échappa de ses lèvres. C'était tellement bon... Des frissons le parcouraient de part en part. Le plaisir montait progressivement. Sa tête se mit à bouger de façon frénétique alors que ses hanches se mouvaient toutes seules sans qu'il puisse l'en empêcher. Il voulait que ça ne s'arrête pas, mais en même temps, le plaisir montait si fort qu'il avait peur d'être complètement englouti. Il gémissait encore et encore, et Adelmo bougeait de plus en plus vite. Tellement vite que le jeune triton explosa dans un petit cri surpris par le plaisir si fort qui s'était emparé de lui, le laissant pantelant, la respiration hachée, sans plus aucune énergie sur les doux coussins.
Alors qu'il se calmait, Amaël sentit des mains qui parcouraient sa peau, de ses chevilles à ses épaules, inlassablement, lui procurant de légers frissons à leurs passages. Il finit par ouvrir les yeux pour voir ce qu'Adelmo faisait. Et ce qu'il découvrit le surprit... Ce dernier le regardait avec adoration, touchant ce qu'il observait avec attention. Comme s'il analysait chaque partie du corps d'Amaël avec reconnaissance. Puis il finit par se rendre compte que lui aussi était observé.
-Amaël, tu me fascines... lui dit-il avec dans les yeux, une lueur farouche qui fit tressaillir le triton.
Il vint alors recouvrir son corps du sien, se baissa et passa sa langue sur les lèvres d'Amaël, comme pour le goûter, et le triton ne put s'empêcher de sortir la sienne afin qu'elle entre en contact avec celle de l'homme qui lui avait donné tant de plaisir. Dans un grognement, Adelmo se rua sur sa bouche afin de le dévorer avec passion, en se remettant à se frotter contre lui, avec dureté, réveillant son entrejambe déjà mis à rude épreuve. Combien de fois suis-je capable de jouir ? se demanda-t-il.
Adelmo finit par rompre le baiser, et les yeux dans les yeux d'Amaël, mit ses doigts dans sa bouche, les enduisant de salive, avant d'amener sa main vers les fesses à la peau translucide. Le triton comprit rapidement ce qu'il allait faire, puisqu'il lui avait déjà procurer ses caresses intimes lorsqu'il voulait analyser ce qui sortait de son corps. Alors nulle appréhension ne vint s'emparer de lui, il le laissa faire. Il savait qu'il ne lui ferait aucun mal. Ce fut le cas lorsque la douce intrusion se fit sentir. L'homme le prépara tout doucement, laissant cette partie de son corps se détendre et s'ouvrir pour lui.
-Amaël...
À chaque fois qu'Adelmo prononçait son nom de sa voix chaude, le jeune triton en frissonnait. Il sentit ses doigts se retirer, laissant un désagréable vide à l'intérieur de lui, et avec étonnement, le regarda mettre de la salive sur son sexe imposant, avant d'attraper ses jambes pour les écarter un peu plus et les poser contre ses larges épaules. Puis quelque chose se pressa légèrement contre son intimité. Et il comprit ce que c'était... Il en déglutit difficilement.
-N'aie pas peur. Je veux partager ce moment avec toi. Te donner du plaisir et en prendre aussi. Me sentir proche de toi, te sentir m'entourer, ton corps et le mien ne faisant qu'un. Est-ce que tu le veux aussi, Amaël ?
Sa voix... Le triton sentait qu'Adelmo était arrivé à sa limite. Contrairement à lui, il ne s'était pas soulagé une seule fois et il était resté dur tout le long, se concentrant sur ce qu'il lui offrait, sans rien prendre en retour. Il ne l'avait pas forcé et s'était montré particulièrement tendre. Il n'avait rien exigé.
Oui, désormais, Amaël voulait se sentir encore plus proche de lui, il voulait le voir prendre du plaisir, également. Le sentir se perdre dans les sensations. Et puis, il était curieux. Qu'allait-il ressentir avec son corps dans le sien ? Non... Il ne voyait pas pour quelle raison il le repousserait. Il se contenta de hocher la tête, son regard fixé au sien, et soulagé, Adelmo ne perdit pas une seconde pour le pénétrer tout doucement. Il sentit Amaël se contracter légèrement à sa douce intrusion, mais il ne s'arrêta que lorsqu'il fut complètement en lui.
Il se baissa alors, obligeant le corps souple à se plier d'avantage, et entrelaça ses doigts à ceux du triton.
-Tu es si serré... Si bouillant... Amaël...
Sa voix était tant remplie d'émotions qu'elle toucha la créature sous lui dont la légère crainte venait de s'envoler. Il découvrait avec étonnement que cet homme n'était pas le monstre qu'il s'était imaginé... Il prenait soin de lui, se montrait tendre, prenait en compte son plaisir avant le sien. Amaël avait enfin l'impression de le voir réellement, de le découvrir. Sa dureté n'avait-elle été que façade, que rempart, afin de cacher une blessure secrète ?
Adelmo commença alors à bouger en lui, lentement, toujours dans le but de ne pas le blesser, son corps était si fin comparé au sien ! Et Amaël commença à ressentir d'agréables vagues de frissons. À chaque mouvement, cette vague était plus intense. Et si de sentir cette partie du corps tellement dure de cet homme en lui, lui avait parut un peu désagréable au début, maintenant, elle lui semblait plaisante. Il aimait le sentir à l'intérieur de son corps...
Amaël sentait aussi sa respiration s'accélérer contre son cou. Le plaisir était donc bien partagé... Ça le rassurait. Les sensations s'accentuèrent, le plaisir monta encore et encore, les mouvements devinrent saccadés, le bruit que faisaient leurs corps s'intensifia. Il ne réussit plus à penser à rien d'autre qu'au plaisir qui l'emportait. Et la pièce se remplit de ses gémissements, de grognements et de soupirs.
-Amaël... Dis mon nom.
-Quoi ?... Ha...
Le jeune triton avait perdu pied, submergé par tout ce qu'il ressentait, comme une puissante vague de son océan qui lui manquait tant. Il n'était pas sûr d'avoir bien entendu.
-Dis mon nom, répéta l'homme aux longs cheveux noirs, en accélérant encore ses mouvements, entrant plus profondément à l'intérieur d'Amaël qui cria son plaisir.
Il était à un rien de perdre toute conscience, mais il se força à reprendre un peu le contrôle de lui-même. Il ouvrit les yeux et les plongea dans ceux de cet homme dont la sueur perlait sur son beau visage.
-A... Adelmo...
-Encore.
-Ha... Adelmo... Adelmo... Adelmo...
Satisfait, sa bouche s'empara de la sienne. Puis l'homme se redressa et accéléra ses mouvements qu'il avait finalement ralentis pour permettre à Amaël de répondre à son désir. Le triton se laissa complètement emporter, oubliant tout ce qui n'était pas la sensation de ce sexe qui bougeait en lui, frottant cet endroit si particulier qui lui faisait voir des étoiles, et le plaisir qui le brûlait jusqu'à finir par le faire exploser. Quelques va-et-vient de cet homme et il sentit sa semence le remplir. Amaël aima cette sensation. Il se sentait marqué par cet homme et savait que jamais il n'oublierait ce moment particulièrement intense.
Jusqu'à ce qu'il rencontre Adelmo, le triton ne savait pas que son corps était capable de ressentir toutes ces choses merveilleuses. Et il savait qu'il lui serait toujours reconnaissant de lui avoir fait découvrir ce monde voluptueux et exaltant. Même s'il n'oubliait pas qu'il était encore son prisonnier, et qu'il comptait s'enfuir - ses projets n'avaient pas changé -, sa personnalité aventureuse avait aimé ce qui venait de se passer entre eux...
L'homme se retira et Amaël en gémit de frustration. Il aurait voulu le garder contre lui, en lui. Leurs jambes de détendirent, leurs corps devinrent mous, et Adelmo vint entièrement le recouvrir, peau contre peau, ce qui ravit Amaël. Il se sentait aimé dans ses bras, son souffle contre son oreille.
Ils restèrent ainsi, nus, en sueur, l'un contre l'autre, jusqu'à s'endormir, les sens comblés. Mais pas seulement, une étincelle nouvelle dans leur cœur ayant fait son apparition. Les deux hommes solitaires venaient de lier leurs corps. Et peut-être également quelque chose de plus important encore...
(Voilà enfin la suite !!! XD Oui, avec moi, faut pas être pressé, désolée^^ Quand ma vie sera plus calme et rangée, je pense que j'aurai un meilleur rythme de publication. Surtout que cette histoire sera une histoire courte et donc vite terminée !
Ma vie "après études universitaires" est plus compliquée que ce à quoi je m'attendais, je n'avais plus trop le moral et j'ai arrêté d'écrire... Et c'est dur de s'y remettre lorsque l'on arrête un long moment. Mais comme vous le voyez depuis quelques mois, je m'y suis remise ! Je le répète, je n'abandonne aucune de mes histoires ! :) Bisous les gens !)
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