Chapitre 89
Anaïs dort profondément, fatiguée de la nuit car la jeune femme a écouté à la porte de sa sœur et du lieutenant.
Son sommeil est agité, ses mains froissent les draps à plusieurs reprises.
La femme aux beaux cheveux châtains clairs est dans un rêve erotique dans lequel un bel étalon musclé lui fait divinement bien l’amour.
Anaïs se réveil dans un gémissement qui la fait asseoir dans son lit, son corps est en sueur et son cœur cogne fortement sous sa poitrine. Ses mains viennent vérifier qu’elle est habillée et qu’il n’y a personne dans son lit.
Elle porte une main à sa culotte se croyant nue et constate que celle-ci est légèrement humide.
Ses yeux se dirigent vers son portable qui affiche 6:30. Elle soupire et reste longuement assise. Ce rêve ne la pas laissée de marbre, elle ressent des picotements autour de son sexe.
D’un geste aisé elle retire tous les vêtements qu’elle porte pour se mettre nue. Elle s’allonge à plat ventre contre les draps et caresse tendrement ses tous petits seins. Ses tétons sont sensibles et il est excitant pour elle de les titiller.
Ils durcissent très rapidement et la jeune femme se tord de plaisir. Inconsciemment sa vulve remue contre les draps et elle se rend compte que ça lui procure une sensation de bien être et de plaisir.
Anaïs installe en travers du lit son polochon et se met à califourchon dessus tout en caressant ses seins ronds.
Lentement elle se frotte dessus sans aller vite pour ne pas être excitée trop vite. Ses fesses vont et viennent sensuellement offrant une vision excitante de la jolie femme en pleine masturbation solitaire.
Anaïs est douce dans ses gestes, elle ferme les yeux imaginant qu’on lui pince ses petits tétons entre pouce et index, chevaucher un bel homme sur lequel elle serait empalée profondément.
Sa respiration s’accélère, la jeune femme se penche en avant et s’agrippe au polochon qui est bien courbé contre sa vulve. Son plaisir est en train de monter et cela lui plaît beaucoup.
Son petit bouton est sollicité par le contact appuyé du polochon calé entre ses cuisses. Elle accélère le mouvement, des vagues de plaisir l’envahissent très rapidement. Cela la déstabilise, jamais elle n’a fait quelque chose d’aussi sensuel elle est même surprise de s’entendre gémir doucement.
Anaïs serre les dents, elle fait l’amour à son polochon d’une manière douce et très belle... c’est même terriblement excitant de la voir remuer ainsi son bassin fin.
La jeune fille halète de plus en plus ressentant pour la première fois du vrai plaisir. Le polochon est à présent bien mouillé et sa fente glisse vivement dessus et remue par des mouvements circulaires.
Anaïs ralentit la cadence et obtient un orgasme clitoridien, la jeune femme ne parvient pas à jouir silencieusement.
Elle reste hébétée de longues minutes au calme puis une envie de pénétration lui prend. Son rêve l’a énormément excitée qu’elle ressent le besoin de se faire du bien.
Elle réfléchit à ce qu’elle pourrait utiliser comme objet pour se faire plaisir, elle cour fouiller dans sa trousse de toilette et extrait une brosse à cheveux dont le manche fera très bien l’affaire.
Anaïs s’allonge, sa peau est brûlante, délicatement elle se caresse le clitoris avec le manche ce qui l’excite de nouveau et lui fait du bien.
Elle le dirige lentement vers sa fente déjà humide et l’enfonce très doucement dans son intimité qui l’avale sans difficulté.
Elle commence par de petits mouvements peu élargis, ses cuisses s’ouvrent encore plus.
Son autre main caresse son petit bouton et à tour de rôle ses seins qui réclament autant d’attention que le reste.
C’est agréable et ça glisse bien. Sa main guide un va et vient plus rapide et son bassin accompagne ses gestes.
Anaïs ne résiste pas longtemps avant d’être très excitée. Son envie est si vite montée... elle grogne de plaisir et la brosse la ´´ baise ´´ par de grands à coups.
Elle tourne ses doigts sur son clitoris se crispant à multiples reprises.
Ses seins pointent et des perles de sueurs coulent le long de ceux-ci. Ses jambes limites maigres flagellent énormément tellement le plaisir et l’excitation sont grands.
Anaïs est prise de petits cris excitants, son intimité est sur le point d’exploser. Alors elle continue..... continue.... accélère .... se pince le bout des tétons ...... crie de plaisir.....accélère les mouvements sur son petit bouton et à l’intérieur de son vagin.
Trente secondes après c’est le feu d’artifice, son corps entier se cambre, ondule énormément, ses jambes tremblent, elle est parcourue de frissons, de sursauts, de cris incontrôlables. Oui Anaïs est en train de jouir !!!!
Elle grogne plusieurs ´´ mmmmm ohhhhhh ouiiiiii mmmmmm’´.
Doucement elle retire la brosse sur laquelle s’y trouve de la mouille bien blanche à laquelle elle souhaite goûter, elle suce délicatement le manche de la brosse s’imaginant en train de faire une fellation à l’homme dont elle est amoureuse.
Elle s’arrête assez vite car elle se sent encore excitée. Elle enfile son pyjama et prend sa trousse de toilette pour prendre sa petite douche.
Lorsqu’elle ouvre la porte de sa chambre elle se trouve face à Matt qui s’approche pour lui faire la bise. Involontairement ses yeux s’arrêtent sur la poitrine de sa belle sœur qui pointe sous son pyjama.
Anaïs l’attrape par le bras contre lequel elle se blottit et lui fait une énorme bise bien appuyée et la seconde un peu ratée quasiment dans le coin de la bouche, elle s’excuse toute gênée. Matt se sent rougir car il sent contre son bras la poitrine d’Anaïs qui s’est collée fortement à lui.
Il se libère comme il peut de son étreinte et se dirige vers la cafetière pour se faire un café tout en la regardant se diriger vers la salle de bains, la transparence de son pyjama laisse apercevoir qu’elle porte un string.
Perturbé Matt oublié de mettre la tasse sous la cafetière et crie un ´´ oh putain ´ lorsqu’il s’en rend compte... il se précipite pour en mettre une rapidement dessous et il aura plus qu’à nettoyer les bêtises qu’il a fait.... machinalement il passe un coup de lavette autour de celle ci tout en étant pensif. Le comportement de sa belle-sœur commence à le mettre terriblement mal à l’aise attisant régulièrement la jalousie de sa femme.
Il est dérangé par le fait qu’Anaïs soit très tactile avec lui et ne sait pas comment la remettre à sa place sans la blesser plus qu’elle ne l’est déjà.
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