Alors qu’il s’installe sur mon lit je ne peux m'empêcher de regarder son sexe. Il disait ne pas bander je constate que son sexe regarde déjà bien vers l’avant et qu’il n’est pas pendouillant comme il devrait l’être au repos. Je vois quelques poils disséminés sur son pubis ; apparemment ça y est : Jean a grandi ce n’est pas encore très touffu mais c’est déjà un bon début.

Nous voilà repartis comme dans notre jeunesse à nous branler côte à côte. C’est un moment que j’aime bien vivre avec mon frangin de temps en temps. J’espère que je pourrais le faire seul de temps à autre mais cette fois-ci j’apprécie bien sa compagnie. Étant déjà très excité je prends mon temps de façon à ce que mon frère puisse bien se motiver.

- Moi : Ça te branche un petit jeu ?

- Jean curieux : À quoi tu penses ?

- Moi : Le dernier qui ejacule a un gage.

- Jean souriant : Pourquoi pas mais quel gage ?

- Moi : Je sais pas on verra bien….

- Jean : Moi je veux savoir avant …

- Moi taquin : Non justement car en fonction tu fera tout pour perdre.

- Jean amusé : D’accord juste pas d’abus.

- Moi : Ça me va.

Nous voilà tous les deux lancé dans la course, on peut voir une grande différence notamment sur la vitesse des aller-retours, c’est bien plus vif que quelques instants auparavant .

Je me sens de plus en plus proche de la jouissance et je me vois déjà gagnant. Jean jouit et malheureusement moi aussi mais juste quelques instants après. Il a visiblement l’habitude de s’astiquer le manche d’une façon plus efficace que moi. Je me dis que je n’y suis peut-être pas pour rien vu que monsieur semble aussi excité par les hommes.

- Moi bon joueur : Bien joué, maintenant faudra me trouver un gage.

- Jean : J’y réfléchit déjà ….

- Moi : D’accord, mais vite !

- Jean : Oui bah c’est pas facile qu’est-ce que tu m’aurais donné toi ?

- Moi amusé : J’en sais rien.

- Jean : Tu mets ton slip de bain le plus moulant pour le reste de la journée et chaque fois que je te le demande tu me le montres. Et j’ai bien dit slip pas boxer !

- Moi amusé : D’accord mais juste entre nous, il est hors de question que tu me le fasses faire en public.

- Jean : Oui bien sûr !

- Moi : D’accord tu as gagné donc je le fais.

- Jean : C’est bien t’es bon perdant.

- Moi taquin : J’ose espérer que tu l'aurais été aussi.

- Jean : Oui !

Après qu’on se soit essuyé avec des mouchoirs, je me lève de mon lit puis je jette mes mouchoirs et tends la poubelle à Jean qui en fait de même. J’ouvre mon armoire et fouille dans mes affaires à la recherche d’un de mes slips de bains ; je n’en ai plus beaucoup mais je fini par en trouver deux qui sont censés m’aller encore.

Je laisse à Jean le choix entre un bleu-ciel de marque Speedo et un noir dont la marque a apparemment disparu et dont je ne me souvenais même plus. Il apprécie que je le laisse choisir mais désigne le bleu-ciel qui serait “plus sexy” selon lui. Je m’amuse du critère de choix de Jean, mais ayant perdu je me plie à son désir sans broncher.

Jean me regarde l’enfiler et je constate qu’il avait raison le petit coquin. Malgré le fait que mon érection soit bien redescendue, le slip moule bien mon sexe, je me dis même qu’il est probablement un poil trop petit. On a bientôt tous les deux revêtu une tenue plus “complète”.

Connaissant une piscine ayant rendu obligatoire le slip de bain, je dois penser à demander à maman de m’en racheter un nouveau si un jour on souhaiter aller là bas pour se baigner en famille.