Poli
- Jean rougissant : Et bien moi un peu aussi mais moins que lui.
- Moi : Ça te plaisait pas ?
- Jean : Disons plutôt que lui suçait plusieurs fois lors de nos rapports, dont certaines fois ou j'aurais pas forcément osé le faire.
- Moi curieux : Du genre ?
- Jean : Tu devines pas ?
- Moi essayant de rester poli : Après que tu l’ai pris par derrière ?
- Jean amusé : Oui et franchement j'avais pas envie de le sucer après qu’il m’ait enculé….
- Moi un peu choqué : Le terme est pas très joli…. Mais oui effectivement ça semble pas terrible….
- Jean accélérant sa masturbation : J’aimais bien son cul n’empêche.
Comme seule réponse, je me contente de lui sourire et d'accélérer moi aussi mon mouvement masturbatoire le long de mon sexe.Je bande bien déjà et l’envie est bien montée surtout en me souvenant de ma toute première expérience avec Alan.
Ah ce souvenir... qu’il me semble lointain! mais qu’il est bon aussi! Je me souviens encore des doutes qu’ils ont engendrés chez moi. Aujourd’hui, je n’ai plus aucun regret j’en ai parlé à ma chérie et elle l’a accepté.
Me souvenir de cette pipe gagnée lors du strip-poker m’excite beaucoup et il ne faut que quelques instants pour que je jouisse. De son côté, Jean est surpris par ma rapidité mais a besoin d’un peu plus de temps pour jouir. J’ai le temps de m'essuyer avant qu’il ne jouisse.
- Moi taquin : Dommage qu’il n’y ai pas eu d’enjeu cette fois-ci !
- Jean amusé : Oui j’avoue tu aurais largement gagné.
- Moi : Je devrais te donner un gage pour la peine !
- Jean s’essuyant : Rêve !
Je regrette presque de ne pas y avoir pensé avant. Je me rhabille tout en y repensant et en fin de compte je me dis que c’est pas plus mal : au moins, je n'aurai pas besoin de me creuser la tête pour trouver une idée de gage.
Je me dis également que le gage aurait été en partie sexuel et qu’il aurait peut-être donné de nouveau envie à Jean. Je pense qu’on a suffisamment profité de ces “retrouvailles” entre frangins et que de ne pas avoir de nouvelle occasion de se masturber ensemble n’est peut-être pas une si mauvaise chose.
Me voilà de nouveau habillé “normalement” et Jean en fait de même avant qu’on ne descende. Toujours aucune traces de nos parents mais on ne s’inquiète pas. On fouille dans la cuisine et on trouve quelques gâteaux à grignoter.
- Jean : La branlette, ça creuse !
- Moi amusé : J'aurais pas dit mieux.
- Jean : Le sexe encore plus !
- Moi taquin : Faudrait que tu pratique pour le savoir.
- Jean un peu vexé : Connard !
- Moi : Je plaisante ! Je sais que tu connais un peu maintenant.
- Jean : Un peu ?
- Moi : Bah tu est toujours puceau des filles.
- Jean : Et toi des culs !
- Moi taquin : Qu'est-ce que tu en sais ?
- Jean curieux : Ah bon, tu as testé ?
- Moi mystérieux : Peut-être….. peut-être pas….
- Jean : Oui... donc non!
- Moi surpris : Comment tu peux l’affirmer ?
- Jean : Je te connais.
- Moi : Bon oui tu as raison.
Jean et moi échangeons un long moment sur nos vies sexuelles. Jean dit lui même qu’il en a une plus atypique que moi. Je ne suis pas totalement d’accord avec lui notamment vu mes premières et différentes expériences. Après une longue discussion Jean reconnais que j’ai effectivement des pratiques originales.
Je le rassure : sa relation avec Alan est effectivement peu classique, je lui rappelle que dans le monde, certains n'accepteraient pas sa sexualité. Il dit comprendre pour que je le laisse mais je pense qu’il n’a pas conscience de ce dont je parle.
Nous ne nous attardons pas sur le sujet, nous entendons dehors des portières de voiture qui se referment. On se précipite à la porte se sont nos parents qui rentrent de courses. En nous voyant ils nous demandent de l’aide, tâche pour laquelle nous n'hésitons pas une seconde.
Après avoir tout sorti de la voiture, on trie tous ensemble. On constate qu’il y a peu de nourriture et c’est logique vu que nous ne serons pas là de la semaine. Il ont pris beaucoup de fournitures pour nos rentrées.
Papa et maman font une rapide distribution des fournitures scolaires. Ils ont rapporté un peu de tout, des classeurs, des stylos des feuilles... en bref le strict minimum. On s’échange les classeurs avec Jean en fonction de nos goûts ou de rudes négociations sur les tâches ménagères. Dès que c’est fait, on remonte l’un et l’autre dans nos chambres et je range tout soigneusement dans mon sac à dos.
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