Étant dos à lui je ne sais pas trop s’il me regarde ou non, entendant qu’il continue sa petite affaire je me demande si je ne ferais pas la même chose après tout.

Très vite je me décide à moi aussi de me faire du bien, je fais le mouvement très lentement tachant de rester discret, je ne veux pas qu’il se rende compte de ce que je fais.

Dans un premier temps ma main caresse lentement mon sexe au travers de mon slip. Je fais de lentes caresses, dans mon esprit Erwan est persuadé que je dors, sans quoi il n’aurait jamais commencé à faire ça.

Mon sexe commence à durcir fortement et mon gland à titiller le haut de l’élastique de mon sous-vêtement. Un petit mouvement pour baisser le devant de mon boxer et je libère mon phallus de sa prison, une fois libéré je l’empoigne.

Je me demande si Erwan à enlevé son slip et si oui s’il a le sexe a l’air libre ou sous les draps. Je m’interroge sur le côté « aventureux » de mon voisin de chambre.

L’entendant de plus en plus je me décide à parler de nouveau.

- Moi : Moi aussi je bande avec tes bêtises !

- Erwan haletant légèrement : Désolé j’ai trop envie !

- Moi : Bah c’est contagieux.

- Erwan : Faut soigner le mal.

- Moi : Je peux me retourner ?

- Erwan : Tu fais ce que tu veux !

- Moi amusé : Tu t’en fous que je la voie ?

- Erwan : Euh je suis sous les draps.

Par politesse, j’ai préféré lui demander mais il avait pris des risques donc j’aurais très bien pu me retourner sans crier gare. Je me retourne et jette un œil vers la couchette adjacente, effectivement il ne m’est pas possible de voir quoi que ce soit si ce n’est la bosse formée par sa main positionnée sur son engin.

- Moi : Tu as tout enlevé ?

- Erwan : Euh... techniquement non.

- Moi curieux : C’est-à-dire ?

- Erwan amusé : T’es bien curieux !

Il m’imite et j’en fais de même je rougis, il est vrai que soudain j’attache un intérêt à en savoir plus sur mon camarade.

- Erwan me répondant malgré tout : J’ai juste baissé le slip et soulevé le t-shirt pas plus.

Je me ressaisis et j’essaye d’oublier la question que je viens de lui poser, je commence à mon tour à me masturber sous les draps.

- Erwan soufflant fortement et après quelques minutes : T’en es où ?

- Moi amusé : Je bande toujours et je me fais du bien.

- Erwan amusé : Oui ça j’avais cru deviner, mais t’es loin de jouir ?

- Moi souriant : Je commence tout juste les choses sérieuses donc ça va dépendre de mon envie de finir vite ou non. Pourquoi ?