Rêver,un droit ou un devoir ?
Rêver à quoi bon!
Vivre à quoi cela sert?
C'est penser qui est nécessaire,
Ne pas s'éloigner de la vérité qui est bon!
Mais qui peut juger du bien ou du mal?
Qui peut s'assurer que quand l'on va mal on peut rêver de bien?
Et puis au final,
C'est aussi savoir être libre,j'aime!
Je dis des sottises,
J’écarte mes livres,
Je sors des pages,
Et je vois le monde de tous les âges.
Je nage,je brave,je silionne.
Je parle,je bavarde, je m'illusionne.
Je peux rêver de nouveaux mots,
Vivre au treizième siècle, et revivre ma vie à nouveau.
Quelle importance? Ce sont de simples pensées,
A bas la censure! Je tiens à ma liberté.
Je me rafale sur ma table, à écrire,à réfléchir,et à travailler,
Je me concentre dans mes études,mon travaille,mes ambitions mes souhaits.
Et ré-amusons nous ! je replonge,je sombre encore,cette fois je croise mes démons,
Mes peurs d'agir et de changer ce triste monde,
J'ai peur de revoir la mort de mes proches,
De m’ouvrir aux autres .
Je me dis que si je vieillis,c'est que je supporte toutes les injustices,je me dis que si l'on m'insulte,
C'est que c'est pour une question de cultes .
Alors je rêve de trêve sur le chemin de la différence,
Où l'opinion ne sera pas acheté par des plus hautes puissances.
Car ce monde est fait d'injustes, d'injures, de guerres et d'ordures,
Que de belles choses à contempler, monde d'Hommes et de ratures.
Car mes rêves sont similaires à des bombes,je préfère m’arrêter pour éviter de choquer,
Car chaque jour je me morfonds et me tais, car à personne ces mots plaisent, car personne de supportait ces idées.
Ce ne sont pourtant que des rêves, de la mélancolie, et l'âme d'un poète.
Je ne rêve pas de fête, de joie, d'amour, mais de haine.
On dit que les monstres n'ont pas de rêve, alors je m’arrête.
je travaille, j'oublie, je retravaille pour que mes parents soient fières.
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