Quelqu’un est à l’eau dans un fleuve ou une sorte de mangrove et s’attache à un engin flottant ressemblant à une espèce de moteur sur lequel se trouve un objet métallique semblable à une barre de fer qui ne devait pas s’y trouver à la réaction confuse et agitée de la femme sur le bateau qui peut être un canot pneumatique. On a peut-être jeté la personne depuis un autre hors-bord avec l’engin à livrer. La femme sur l’autre bateau duquel s’approche la personne à l’eau tente de le récupérer tout en essayant de comprendre la situation. La personne qu’elle semble aider menace d'utiliser la barre métallique devant être un lance-roquettes. La femme surprise n'interfère pas, se rend, est autrement neutralisée ou jetée à l’eau par la personne à l’engin et celle-ci accélère le bateau en direction de l’aval, droit devant ou en faisant demi-tour, dans le sens contraire ou non du hors-bord d’où elle provenait, sur sa droite. Les deux bateaux arrivent sur une espèce de plateforme en béton ressemblant à un port de fortune où la personne à l’engin, une femme aux cheveux châtains et un grand homme à la peau sombre, musclé, portant des lunettes de soleil et une sorte de gilet de sauvetage rappelant un uniforme cubain se retrouvent face à d’autres personnes devant eux. La personne à l’engin le livre aux individus en face. Puis, alors que les transporteurs s’apprêtent à retourner à leur bateau, un individu aux mêmes caractéristiques physiques et vestimentaires que l’homme au gilet, prend un lance-roquette ou celui de l’engin et vise les transporteurs. L’individu qui a transporté l’appareil fuit le regard de l’arme du mieux qu’il peut et remarque la trajectoire de celle-ci qui partage la direction de sa fuite, sur sa droite, et comprend avec horreur la cible du projectile. L’homme armé tire et la femme aux cheveux châtains est touchée par l’explosion. Le reste de l’équipage lui vient en aide et pendant que l’individu à l’engin observe la scène dans sa fuite, l’homme au gilet cubain emmène la blessée avec lui. Brisé par les événements, l’homme à l’engin, sans arrêter sa course, se jette à l’eau ou à l’arrière du navire-citerne de fortune de leurs clients et monte les échafaudages d’une grande citerne sur laquelle ses ennemis ne peuvent tirer sans risquer de la faire exploser. L’équipage de ce navire essaye trop tard d’arrêter l’intrus lorsqu’ils le voient que déjà celui-ci continue de grimper la structure de l’échafaudage. Peut-être menace-t-il même de faire exploser la citerne avec un pistolet qu’il aurait subtilisé à un membre d’équipage. Il arrive enfin dans une cabine de pilotage qui donne sur l’arrière du navire, prêt à faire éclater sa rage, à venger son équipière.